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États-Unis contre États-Unis

GETTY IMAGES

États-Unis contre États-Unis

Soyez avisés : il s’agit bien d’une guerre.

« Deuxième guerre civile américaine ». Il y a une génération, ce concept était si improbable qu’il n’était même pas alarmant. L’un des rares endroits où vous pouviez le trouver, si vous le cherchiez pour une raison quelconque, était la Trompette philadelphienne. Les auteurs de la Trompette en discutaient sérieusement, sachant que peu de gens prendraient ce concept au sérieux.

Aujourd’hui, la perspective grave d’une deuxième guerre civile américaine émane de sources autres que la Trompette : le New York Times, l’Economist, le Financial Times, Politico, Time, le New Yorker, Tablet, Salon, Vice, le Telegraph, l’Independent, The Guardian, CNN, MSNBC, la National Public Radio, Brookings et d’autres encore. Il y a maintenant quelques années, sur Fox News, un ancien président de la Chambre des représentants déclara que les Américains devraient « prendre au sérieux la menace d’une guerre civile » et soit s’unifier, soit « commencer à creuser des bunkers et des tombes ».

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Eurasia Review désigna comme « risque majeur » dans le monde entier pour 2024 « les États-Unis contre eux-mêmes ». L’étude montre que la confiance des Américains envers les trois branches du gouvernement, les écoles publiques, les médias et la religion organisée a chuté à des niveaux historiquement bas au cours de la dernière génération, et que l’hostilité politique a atteint des sommets historiques. Il mit en garde contre les effets déstabilisateurs à l’échelle mondiale de la perte de crédibilité de l’Amérique.

Un sondage réalisé l’année dernière par le Public Religion Research Institute auprès de plus de 8 000 Américains a révélé que plus de 10 pour cent d’entre eux pensent qu’il y aura une guerre civile dans le pays « dans les prochaines années » et que 7 pour cent estiment que la violence politique deviendra nécessaire. Plus de 30 pour cent ont déclaré qu’ils pensaient que la violence était nécessaire pour défendre des principes politiques importants, et 1 pour cent ont déclaré qu’il était probable qu’ils tirent sur quelqu’un.

Bien sûr, les « voix éminentes » disent beaucoup de choses. Les instituts, les cabinets de conseil, les publications et les réseaux ont des cycles d’information à remplir et une masse salariale à honorer. Ainsi, si les Américains s’inquiètent de la guerre civile, ils publieront quelque chose sur la guerre civile.

Mais le but de la Trompette est de fournir la bonne explication de la prophétie biblique au plus grand nombre possible de personnes, que le concept soit ou non d’actualité cette semaine ou cette décennie.

Et la Trompette est toujours là pour vous avertir que des effets significatifs proviennent de causes significatives telles que le matérialisme effréné, la rupture de nos mariages et de nos familles, la trahison de nos amis et le fait de récompenser nos ennemis, de tolérer des perversions parmi nos dirigeants, la pornographie pandémique, le fait de sacrifier nos enfants à la déviance, l'accumulation de la dette par milliers de milliards ; l’effacement des frontières, l’affaiblissement de l’armée ; la suppression des droits, la rupture de la Constitution, et le rejet de la Bible. Nous enfreignons les lois physiques, mathématiques, physiologiques, familiales, sociales, civiles, mentales, émotionnelles et spirituelles de cause à effet.

Comme notre président nous a justement avertis lors de notre première guerre civile : « Nous avons oublié Dieu. »

Cet avertissement provenait de la Bible. Et aujourd’hui, le but de la Trompette est de vous fournir le même avertissement.

Mais alors qu'il se fait tard et que la nation est en train d'imploser, comment un homme peut-il prendre position ? Pas en s’équipant d’un uniforme, en s’entraînant avec une arme d’épaule et en marchant vers Gettysburg. Et non pas en faisant de l’activisme politique ; ni en se cachant dans les bois avec des quantités décroissantes de nourriture, d’eau, de carburant, de masques à gaz et de trousses médicales ; ni en stockant des armes à feu et des munitions.

Nous ne pouvons pas voter, attendre, ou tirer pour nous en sortir. Nous n’en sortirons qu’en rebroussant chemin sur la voie par laquelle nous y sommes entrés. Et nous sommes arrivés au bord de la guerre civile en rejetant la Bible et en enfreignant les lois de cause à effet. Nous en sommes arrivés là en oubliant Dieu.

Même avec toutes les provisions qu’un 4x4 peut transporter, vous seriez toujours impuissant face aux émeutes à grande échelle, à la guerre raciale, à la lutte entre factions, à la révolution ratée, à l’intervention étrangère, au désastre humanitaire, à la famine et au désert inéluctable que constituerait une guerre civile moderne du monde développé.

Mais en réalité, vous avez le pouvoir dont vous avez besoin. Parce que vous avez le pouvoir sur votre propre esprit, vos propres appareils, votre propre temps, votre propre maison, votre propre mariage, votre propre famille. C’est la guerre—non pas à travers le pays mais à travers votre propre vie. Vous avez le pouvoir de vous tourner vers Dieu et de rechercher les causes de l’autodestruction, autrement dit du péché . Si vous le faites, cette même Bible promet la protection de votre vie physique et, plus important encore, elle explique la raison d’être de la vie physique.

« ...Compte tenu qu’il est du devoir des nations comme des hommes de reconnaître leur dépendance à l’égard de la puissance dominante de Dieu, de confesser leurs péchés et leurs transgressions dans une humble tristesse, mais avec l’espoir assuré qu’un repentir authentique conduira à la miséricorde et au pardon, et de reconnaître la vérité sublime, annoncée dans les Saintes Écritures et prouvée par toute l’histoire, que seules sont bénies les nations dont le Dieu est l’Éternel : et dans la mesure où nous savons que par Sa loi divine, les nations, comme les individus, sont soumises à des punitions et châtiments dans ce monde, […] il nous appartient donc de nous humilier devant la puissance offensée, de confesser nos péchés nationaux [et personnels], et de prier pour la clémence et le pardon. » —Abraham Lincoln.

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