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La faillite de la Republic First Bank pourrait être le signe d’autres faillites bancaires à venir

LA TROMPETTE

La faillite de la Republic First Bank pourrait être le signe d’autres faillites bancaires à venir

La Republic First Bank est devenue la première banque à faire faillite de l’année le 26 avril lorsqu’elle a été fermée par l’autorité de régulation bancaire de Pennsylvanie et que la Federal Deposit Insurance Corp. a saisi ses actifs.

La Fulton Bank a accepté de racheter les actifs de Republic First, estimés à 6 milliards de dollars, mais un expert de la réforme de la réglementation financière estime que cet effondrement pourrait être le signe d’autres faillites à venir.

Cette faillite bancaire indique que d’autres faillites se produiront et qu’elles concerneront aussi bien les petites banques que les grandes. La cause est double : les dépôts à coût élevé dépassant le rendement des titres du Trésor à faible rendement et des investissements similaires détenus par les banques, et la détérioration du marché de l’immobilier commercial et des prêts immobiliers commerciaux.
—Joseph Lynyak, avocat spécialisé dans le secteur bancaire au sein du cabinet d’avocats Dorsey & Whitney


Les dominos : Trois des quatre plus grandes faillites bancaires de l’histoire des États-Unis ont eu lieu l’année dernière, lorsque la First Republic Bank (229 milliards de dollars), la Silicon Valley Bank (209 milliards de dollars) et la Signature Bank (118 milliards de dollars) ont fait faillite.

La secrétaire d’État au Trésor, Janet Yellen, a tenté de calmer les esprits en assurant aux Américains que le gouvernement interviendrait pour protéger les banques trop importantes pour faire faillite. Cela a incité les gens à retirer 120 milliards de dollars des petites banques et à déposer 67 milliards de dollars dans de grandes banques comme JPMorgan Chase et Wells Fargo.

Alors que la Fulton Bank s’apprête à doubler sa présence sur le marché de Philadelphie, en Pennsylvanie, en achetant la Republic First Bank, il est probable que les banques de petite et moyenne taille continueront à faire faillite, étant donné que le système bancaire américain est centralisé entre les mains de quelques grandes institutions. La hausse des taux d’intérêt, les pertes sur l’immobilier commercial et la surveillance réglementaire accrue centralisent peu à peu tous les crédits entre les mains de quelques acteurs puissants.

Une crise orchestrée : Le cinquième pilier du Manifeste communiste de Karl Marx est la « centralisation du crédit entre les mains de l’État, au moyen d’une banque nationale dotée d’un capital d’État et d’un monopole exclusif ». Avant de pouvoir atteindre cet objectif, les communistes doivent détruire les banques locales.

À cette fin, la crise bancaire actuelle a été une aubaine pour les responsables de la gauche radicale qui préfèrent travailler avec quelques grandes institutions financières.

L’effondrement à venir : Le regretté Herbert W. Armstrong a averti que le communisme priverait l’Amérique de ses bénédictions—les plus grandes bénédictions jamais conférées à un peuple—parce que le peuple américain s’est détourné des lois de Dieu.

M. Armstrong a spécifiquement averti que le communisme pervertirait les mœurs de l’Amérique, saboterait son système éducatif, détruirait sa structure sociale, détruirait sa vie spirituelle, affaiblirait son armée et saperait sa force économique.

Aujourd’hui, nous assistons à un effort orchestré visant à affaiblir l’économie américaine au point que le gouvernement puisse la nationaliser.

En savoir plus : Lisez les chapitres « Notre 11 septembre financier était prophétisé ! » et « L’infiltration communiste de l’Amérique a été prophétisée » dans notre brochure Il avait raison.