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Justin Trudeau : Premier ministre fantoche du Canada

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau s’exprime lors d’une conférence de presse à Ottawa, au Canada, le 26 octobre 2021. [GETTY IMAGES]

Justin Trudeau : Premier ministre fantoche du Canada

L’ingérence étrangère a aidé à Trudeau de se faire élire à plusieurs reprises.

Justin Trudeau est-il un faux premier ministre ? Des fuites scandaleuses provenant du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) au Globe and Mail révèlent que le Parti communiste chinois s’est ingéré dans les élections de 2019 et 2021 pour assurer la réélection de Justin Trudeau à la tête d’un gouvernement minoritaire.

Le détail le plus accablant est que le premier ministre a été informé de la menace d’ingérence chinoise en 2019 et 2021, mais qu’il n’a rien fait pour arrêter les opérations chinoises lors de ces deux élections. Pourquoi ?

Trudeau fait maintenant face à des demandes d’ouverture d’une enquête publique sur l’ingérence étrangère, mais il s’y refuse catégoriquement. Le premier ministre nommera à la place son propre enquêteur indépendant pour diriger l’enquête. Trudeau enquête également sur les lanceurs d’alerte afin de déterminer s’ils ont enfreint les lois sur les informations relatives à la sécurité nationale. Il semble que les libéraux suivent le vieil adage selon lequel on ne met en place une commission d’enquête que si l’on en connaît les résultats à l’avance.

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À plusieurs reprises, le Premier ministre a été pris en flagrant délit de mensonge, donnant des réponses contradictoires, et il refuse de répondre aux questions directes sur la controverse. Que cache-t-il ?

Après huit années de scandales et de corruption, le gouvernement Trudeau semble être dans une situation précaire. Il est rafraîchissant de voir enfin des lanceurs d’alerte courageux et des médias prêts à examiner les détails du scandale. Cependant, ils sont en retard sur l’histoire. La Trompette a rapporté ce scandale d’interférence quelques jours seulement après l’élection. Le 30 septembre 2021, la Trompette a écrit dans « Did China Steal Canada’s Election?  » (« La Chine a-t-elle volé l’élection du Canada ? » ; disponible en anglais uniquement) :

Cependant, le plus grand gagnant des élections canadiennes est le Parti communiste chinois (PCC).

Des preuves d’une ingérence chinoise ayant entraîné des irrégularités dans le scrutin commencent à apparaître. Ce que l’on a appelé « l’élection du statu quo » donnera en fait au Canada le Parlement le plus favorable à la Chine qu’il ait jamais connu. Elle a également redonné le pouvoir au dirigeant le plus autoritaire de l’histoire du pays.

La corruption profonde des relations sino-canadiennes est en train d’être révélée au grand jour. Le plus étonnant est que l’élite canadienne a délibérément poursuivi cette relation dangereuse pendant des décennies.

Les élections illégitimes ont des conséquences. Toutefois, il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg de la corruption entre la Chine et Trudeau. Il existe un lien générationnel entre le Parti communiste chinois, la famille Trudeau et le Parti libéral. Aujourd’hui, ce réseau de corruption a piégé toute la nation et façonne le Canada pour en faire une marionnette des puissances étrangères.

L’ingérence chinoise

Robert Fife et Steven Chase, du Globe and Mail, ont examiné des documents classifiés du CSIS sur ce que le gouvernement savait de l’ingérence chinoise avant les élections de 2021. « La Chine a utilisé une stratégie sophistiquée pour perturber la démocratie canadienne lors de la campagne électorale fédérale de 2021, car les diplomates chinois et leurs mandataires ont soutenu la réélection des libéraux de Justin Trudeau—mais seulement pour un autre gouvernement minoritaire—et se sont efforcés de vaincre les politiciens conservateurs considérés comme hostiles à Pékin », ont-ils rapporté.

Les Chinois ont déployé une vaste stratégie consistant à utiliser leurs consulats pour faire pression sur les membres de la communauté sino-canadienne et les médias en langue chinoise afin qu’ils soutiennent certains candidats. Les mandataires canadiens du PCC ont mené des campagnes de désinformation contre les candidats qui soutenaient des politiques « anti-chinoises » fortes. Les consulats ont également fait pression sur les nouveaux immigrants au Canada pour qu’ils votent pour les candidats préférés. « Le SCRS a également expliqué comment les diplomates chinois menaient des opérations d’ingérence à l’étranger pour soutenir des candidats politiques et des élus », poursuivent Fife et Chase. « Les tactiques utilisées comprennent des dons en espèces non déclarés à des campagnes politiques ou l’embauche, par des propriétaires d’entreprises, d’étudiants chinois internationaux pour leur ‘assigner à des campagnes électorales en tant que bénévoles à plein temps’. »

Après les élections, l’ancienne consule générale à Vancouver, Tong Xiaoling, s’est vantée d’avoir contribué à la défaite de deux candidats conservateurs en 2021. D’autres diplomates chinois ont admis que le PCC préférait un gouvernement minoritaire pour que les partis « se battent entre eux », ce qui affaiblit la résistance aux intentions chinoises.

Malgré les faits avérés d’ingérence chinoise, le groupe de travail sur les menaces électorales en matière de sécurité et de renseignement, mis en place par Trudeau, n’a jamais informé le public des menaces d’ingérence chinoise. Le premier ministre a déclaré publiquement en novembre 2022 qu’il n’y avait pas eu d’ingérence étrangère dans les élections de 2019 et 2021, bien qu’il ait été informé à l’automne dernier que le consulat chinois de Toronto avait ciblé 11 circonscriptions lors de l’élection de 2019.

Le déni du premier ministre concernant l’ingérence étrangère contredit directement deux mémos obtenus par Sam Cooper à Global News, qui a écrit : « Justin Trudeau a déclaré qu’il n’avait jamais été informé de la question, et son conseiller en matière de sécurité l’a rejetée d’emblée, mais deux rapports de haut niveau sur la sécurité nationale avant et après les élections de 2019 suggèrent qu’ils ont été avertis que des représentants du gouvernement chinois acheminaient de l’argent vers des candidats politiques canadiens. »

L’ingérence chinoise a-t-elle influé sur le résultat des élections ? M. Trudeau a été réélu en 2021 avec la plus faible part de voix de l’histoire (34 pour cent). Seuls 5 millions de Canadiens ont voté pour le premier ministre, sur une population de 36 millions d’habitants. Le faible taux de participation a également atteint un niveau record en 2021. Sans l’ingérence de la Chine, la victoire de M. Trudeau aurait pu être très précaire. Un rapport officiel du gouvernement a conclu que l’ingérence n’avait pas affecté le résultat de l’élection de 2021—mais l’auteur a travaillé pour la Fondation Pierre Trudeau à l’époque où celle-ci recevait des dons de la Chine (je suis sûr que ce n’est qu’une coïncidence).

Ces allégations sont sérieuses, mais elles ne font que mettre en évidence un vaste réseau de collusion avec la Chine qui a débuté il y a une génération avec deux hommes puissants de Montréal.

Héritage familial de collusion

Lorsque Pierre Trudeau a été élu premier ministre en 1968, l’une de ses premières actions a été de reconnaître le gouvernement communiste de Mao Zedong, devenant ainsi le premier dirigeant occidental à le faire. L’un des principaux objectifs de sa politique étrangère était de faire pivoter le Canada vers la Chine communiste.

Mais Trudeau n’a pas agi seul. Il s’est allié à Paul Desmarais père, le milliardaire québécois propriétaire de Power Corp. qui jouit d’une grande influence dans l’industrie et la politique canadiennes. Trudeau et Desmarais ont fondé le Conseil d’affaires Canada-Chine (CCBC) en 1978 avec certaines des entreprises les plus puissantes du pays. Parmi les membres fondateurs du CCBC figurent la société d’État chinoise CITIC, Power Corp, BMO Financial Group, Bombardier, SNC-Lavalin (que Justin Trudeau a illégalement protégé des accusations de fraude), Barrick Gold Corp, Exportation et développement Canada, et les organisations financières Manulife et Sun Life. Tous ces groupes sont ou ont été basés à Montréal.

Le CCBC se consacre au lobbying auprès du gouvernement canadien pour promouvoir les affaires avec Pékin. Le CCBC est également devenu le « brain trust » (groupe de réflexion) du Parti libéral : presque tous les politiciens libéraux importants et influents des 40 dernières années ont des liens avec cette organisation. Des milliards de dollars sont en jeu, y compris des fortunes personnelles, pour que le Canada reste favorable à la Chine.

Dans ce processus, Desmarais est devenu la cheville ouvrière de l’élite laurentienne : le George Soros canadien. Au cours des quatre dernières décennies, quatre premiers ministres ont travaillé pour Desmarais ou sont liés à sa famille par mariage : Pierre Trudeau, Brian Mulroney, Jean Chrétien et Paul Martin font partie de son réseau d’influence. Le CCBC, le Parti libéral et l’alliance Desmarais ont poussé le Canada dans une position vulnérable vis-à-vis de la Chine communiste.

Mais l’ingérence étrangère ne s’arrête pas là. L’ancien réseau Desmarais a utilisé l’ingérence étrangère pour faire entrer la nouvelle génération de dirigeants : Justin Trudeau. Dans la Trompette d’août 2022, nous avons écrit : « Avant l’élection de 2015 qui a porté Trudeau au pouvoir, le groupe de réflexion libéral Canada 2020 a mis en relation l’élite canadienne avec les membres de l’élite du Parti démocrate, notamment Barack Obama, Hillary Clinton, Al Gore, John Podesta et d’autres personnalités moins connues qui figurent dans les entourages proches d’Obama et de Trudeau. » Canada 2020 a fait appel à la machine électorale d’Obama pour porter Trudeau au pouvoir. C’est pourquoi Obama soutient Trudeau avant chaque élection, ce qui constitue une ingérence étrangère.

Qui était en charge de Canada 2020 ? Thomas Pitfield, qui travaillait auparavant pour la CCBC. Les liens ne s’arrêtent pas là. Le père de Pitfield, Michael Pitfield, était le principal fonctionnaire et le bras droit de Pierre Trudeau. Michael Pitfield était l’architecte principal des machinations internes du gouvernement Trudeau. Le diplomate John G. H. Halstead a décrit Pitfield comme une « influence maléfique » qui a créé l’énorme système bureaucratique du gouvernement canadien. Où Pitfield est-il allé après avoir quitté le gouvernement ? Du milieu des années 1980 à 2002, il a été vice-président de Power Corp. puis directeur émérite de la société.

Cette alliance Desmarais-Trudeau a ouvert la porte à l’influence d’Obama dans la politique canadienne. Il s’agit d’un événement important qui n’a été rapporté que par la Trompette. Obama est le fer de lance d’une génération de dirigeants qui veulent transformer fondamentalement le monde occidental avec le communisme. Trudeau utilise le manuel d’Obama pour transformer le Canada.

Les communistes Chinois ont également aidé Justin Trudeau à accéder au pouvoir. Jean-François Lisée a écrit une chronique dans Le Devoir montrant que Trudeau a organisé une collecte de fonds haut de gamme avec des hommes d’affaires chinois associés au PCC, qui ont finalement fait don de 200 000 dollars à la Fondation Pierre Trudeau. De plus, en juillet 2016, la circonscription de Trudeau à Montréal a reçu 70 000 dollars de la communauté chinoise de Vancouver, soit 68 pour cent de tous les dons de l’année.

Trudeau est-il un premier ministre légitime ou une marionnette d’Obama et du PCC ?

Le Canada sous attaque

Justin Trudeau n’a pas remporté une seule élection sans l’aide de Barack Obama ou de Xi Jinping. Il n’a rien fait pour mettre fin à l’ingérence étrangère, car à chaque fois, cela l’a aidé à accéder au pouvoir.

Le Canada est attaqué par une infiltration communiste, dont feu Herbert W. Armstrong avait prévenu qu’elle saperait nos nations. Il y a trois voies distinctes pour cette attaque. Premièrement, le gouvernement Trudeau cherche à transformer le Canada en un État communiste—une attaque de l’intérieur. La deuxième est l’influence directrice de Barack Obama, qui joue le rôle principal de cette attaque communiste dans la prophétie biblique ; vous pouvez lire à ce sujet dans L’Amérique sous attaque . Trudeau copie le manuel de jeu d’Obama. La troisième est l’influence étrangère de la Chine sur la politique canadienne. Non seulement nos dirigeants, nos éducateurs et nos institutions sont idéologiquement communistes, mais le dangereux dragon chinois influence indûment la trajectoire du gouvernement canadien. Osée 7 : 11 qualifie le Commonwealth britannique et le Canada de « colombe stupide » parce qu’ils font confiance aux pays étrangers au lieu de faire confiance à Dieu. Notre politique étrangère de colombe stupide a ouvert la porte à la Chine pour qu’elle s’immisce dans nos élections et influence nos dirigeants.

Toutes ces attaques reviennent à avoir un premier ministre qui est une marionnette des démagogues communistes radicaux.

Ces gros titres révèlent la pourriture profonde à l’intérieur du Canada. Il est grand temps que les Canadiens s’éveillent à l’avertissement de Dieu sur la direction que prend le pays et qu’ils voient la cause spirituelle très réelle derrière cette attaque. Vous pouvez voir la corruption ; il est maintenant temps d’envisager la solution décrite dans la Parole de Dieu. Lisez Les Anglo-Saxons selon la prophétie et L’Amérique sous attaque.

L'AMÉRIQUE SOUS ATTAQUE

La prophétie biblique vous aidera à comprendre la trahison dans notre pays.