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Du sang dans les rues

(Getty Images)

Du sang dans les rues

Comprenez la signification de la violence choquante qui frappe la Grande-Bretagne et l’Amérique.

«L’Amérique, la Grande-Bretagne et Israël ont un problème épouvantable sur les bras: la violence. Violence à partir de troubles intérieurs, comme les émeutes raciales; violence à partir d’attaques terroristes. Beaucoup de gens ont été affectés par ce fléau dans ces pays. Je crois qu’ils vont plus que probablement reconnaître le caractère sérieux de cette question. Si vous n’avez pas été personnellement affecté, il est facile de vouloir classer de tels problèmes comme des incidents isolés. Dans ce chapitre, je vous montrerai que cette violence est un danger beaucoup plus sérieux que la plupart des gens ne l’imaginent!»

Le rédacteur général de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit ces paroles opportunément—en 2002. C’était des années avant que Londres ne s’embrase et que des foules sporadiques ne pillent des villes américaines, durant l’été 2011. Et même des années avant que la race ne devienne une question qui divise plus ouvertement l’opinion, lors des élections présidentielles américaines de 2008.

La première édition de cette même brochure a fortement souligné les émeutes raciales à Los Angeles, avec un chapitre intitulé, «Émeutes de Los Angeles—seulement le début!», qui proclamait: «Alors que l’économie se détériore, ou est assiégée, les émeutiers vont incendier de plus en plus…» Cela a été écrit en 1992. M. Flurry comprenait alors que ce problème apparemment isolé se répandait, et était voué à croître.

Quand on prévoit comme cela, en termes de décennies, et non pas en cycles de nouvelles de 24 heures, (cela vaut la peine de demander), comment savait-il?

Avec le recul donc, une telle violence semblait limitée et isolée—une tempête de 100 ans, si vous voulez. Des nations comme les États-Unis et la Grande-Bretagne étaient civilisées et riches, et en grande partie vues comme des pays se situant au-delà des problèmes de races.

Mais il y avait quelque chose de laid sous la surface. Quelque chose de moins isolé et de plus dangereux auquel la plupart d’entre nous n’avions pas pensé. Et un jour cela pourrait éclater.

Ce jour est arrivé

La tension raciale est enracinée dans l’histoire américaine, et elle fait partie d’un plus grand problème non résolu qui devient très laid, très vite. Nous ne savons pas comment nous gouverner—ou même préserver une société stable. L’année passée nous a présenté quelques exemples insolents de cela: pillages par la foule, passages à tabac et vandalisme de style anarchiste ont éclaté dans des villes à travers le pays.

En décembre dernier, des douzaines d’adolescents Noirs, en Floride, ont été mis à la porte par la direction d’un cinéma après qu’un autre amateur du 7ème art leur a dit d’arrêter de faire du bruit et de parler au téléphone pendant la projection. Mais ils ont attendu que l’homme et sa femme sortent dans le parking, ils les ont alors battus tous les deux, et ont même frappé les policiers qui sont arrivés sur les lieux. Frederico Freire, un fusilier marin, venait juste d’arriver d’Irak; le couple était à son premier rendez-vous depuis qu’il était parti.

En février, pas moins de 50 jeunes, à St Paul, dans le Minnesota, ont fait irruption dans un magasin de quartier, ont assailli un employé, et ont ensuite pillé le magasin. C’était la deuxième fois en quatre mois que cela se passait dans la ville.

En avril, un autre groupe d’environ 20 personnes a fait une descente sur un magasin de vêtements, à Washington d.c., et rapidement a saisi pour environ 14 000 euros de marchandises avant de s’enfuir dans toutes les directions.

En mai, un groupe d’adolescents de New York a utilisé des médias sociaux pour coordonner une attaque sur un restaurant, se montrant au grand jour et saccageant l’endroit sans avoir été provoqué, donnant des coups de pied aux tables, jetant des chaises sur les employés et détruisant les équipements. Ensuite, ils ont saisi des aliments et des boissons, et sont partis aussi brusquement qu’ils étaient arrivés.

Chicago a également eu plusieurs incidents récents de truands attaquant sans avoir été provoqués. Le grabuge était tellement considérable que l’on a dit aux touristes d’éviter le Magnificent Mile, zone d’achats et de restauration de la Michigan Avenue. Malgré le budget et les forces réduites, d’autres policiers ont été appelées à Chicago, et quelques députés ont même envisagé le déploiement de la Garde nationale de l’Illinois.

Durant une célébration du 4 juillet, dans le Kilbourn Reservoir Park, dans le Milwaukee, environ 60 jeunes Noirs ont battu et volé un groupe plus petit qui regardait des feux d’artifice. Une des victimes se rappelle avoir reçu un coup de poing au visage avant que ne lui soit volé sa carte de paiement et son téléphone cellulaire. «Ils ont juste dit: ‘Oh, la blanche saigne beaucoup’, se rappelle-t-elle. Il y a des témoignages selon lesquelles le même groupe venait juste de se précipiter dans un ou probablement deux magasins de quartier voisin et voler, en jubilant, tout ce qu’ils pouvaient emporter alors que filmaient des caméras de sécurité et regardaient, choqués, des clients qui faisaient la queue aux caisses.

En août, Kansas-City a finalement répondu à sa propre peste: de grandes foules d’adolescents non surveillés et d’enfants pas plus âgés que 7 ans vagabondant dans les rues longtemps après minuit et intimidants les visiteurs dans le quartier chic de la grand-place. Le gouvernement de la ville a finalement mis en place un couvre-feu à 21h00 pour les enfants après que le maire a visité le secteur pour voir si les choses étaient aussi mauvaises que le disaient les gens, et que des coups de feu ont été tirés à environ une centaine de mètres, blessant des enfants de 16, 15 et 13 ans.

La pire émeute raciale dans l’histoire du Wisconsin s’est produite le 4 août pendant la nuit inaugurale de la foire de l’État du Wisconsin. À mesure que l’obscurité se faisait sur les champs de foire, des centaines de jeunes Noirs ont surgi dans le parking, recherchant des visiteurs caucasiens et les assaillant, brisant des vitres de voiture, lançant des pierres et battant les passants avec tout ce qu’ils trouvaient sous la main.

Un ancien combattant de l’Irak a comparé la scène à une zone de combat. Les adolescents ont même attaqué les quelques policiers qui étaient sur les lieux.

Cette tendance a également été incarnée dans «la ville de l’amour fraternel» qui a été assaillie par des foules d’adolescents peu fortunés se rencontrant dans des emplacements prédéterminés pour se déchaîner à travers les rues et faire du grabuge. En juillet dernier, 20 à 30 jeunes sont descendus dans le centre-ville de Philadelphie, après la tombée de la nuit, pour battre et voler des spectateurs. Un homme a été projeté au sol et sauvagement frappé à coups de pied, le crâne fracturé. En août, après deux ans de barbarie, le maire, Michael A. Nutter, a imposé un couvre-feu à tous les mineurs, et a délivré un message brutal aux parents Noirs, et une réprimande cinglante sur leur manque de contrôle sur leurs enfants, disant qu’ils avaient terni la réputation de leur propre race (voir l’article page 23).

Maintes de ces attaques chaotiques se sont produites dans les parties les plus chics des plus grandes villes de l’Amérique. Certaines ont eu lieu en plein jour, la majorité commises par des jeunes gens qui n’étaient pas si pauvres puisqu’ils pouvaient se permettre d’avoir des Smartphones pour coordonner leurs méfaits, et presque tous étaient scandaleusement stupides.

L’embrasement de Londres

De l’autre côté de l’Atlantique se trouve une ville mondiale parmi les autres villes mondiales, autrefois capitale d’un grand empire, centre de la finance et de la culture, et un modèle pour la politesse. Il se trouve qu’elle soit également prévue pour accueillir les Jeux olympiques d’été de 2012, dans moins d’un an. Mais en ce moment, Londres est synonyme de quelque chose de tout à fait différent.

Le 4 août, les policiers, dans le voisinage de Tottenham, ont tiré et ont tué un suspect connu qui était apparemment armé. Un groupe a, par la suite, répondu à la mort de Mark Duggan, qui était noir, par une marche paisible vers le commissariat de police pour protester contre les coups de feu. Mais cela a bientôt donné place à des foules haineuses de jeunes gens «réclamant justice» dans le style de Los Angeles, en 1992, en brisant des fenêtres, mettant le feu à des entreprises et à des maisons, se battant avec la police, volant des marchandises, assaillant des citoyens et assassinant même des gens.

Bientôt les pilleurs et leurs victimes incluaient toutes les différentes appartenances ethniques. Il ne s’agissait plus de colère ou de justice—il s’agissait de rentrer par une fenêtre brisée et de ressortir avec une TV. Une classe entière de gens avait compris que s’ils se montraient sauvages, seuls quelques-uns d’entre eux pourraient être arrêtés. Et s’ils pouvaient se coordonner en utilisant des Smartphones et des médias sociaux, ils pourraient réellement faire des dégâts avant la fin de la nuit.

La police a hésité à répondre. Le commentateur David Green a fait remarquer: «La police a été hypersensible au sujet de la race. Cette attitude est maintenant devenue tellement paradoxale qu’elle n’intervient pas quand les membres de minorités ethniques se font du tort. Les gens qui géraient des magasins, ou qui vivaient dans les appartements au-dessus, n’ont pas eu la protection qu’ils méritaient».

Après avoir cité quelques-unes des directives maladroites données à la police, il écrit: «Dans cette sorte d’atmosphère, il n’est pas surprenant que les officiers responsables en cas d’émeute pensent qu’il est plus sûr d’attendre des ordres de la hiérarchie plutôt que d’utiliser leur discrétion pour protéger le public sans crainte ou sans approbation.»

Les autorités craignaient qu’une réponse forte n’initie encore plus d’émeutes. Cependant, plus d’émeutes ont éclaté. Des villes britanniques ont été officiellement hors de contrôle: Birmingham, Bristol, Liverpool, Manchester et environ 10 autres centres urbains.

Vers la fin, 16 personnes avaient été blessées et cinq autres tuées, y compris un homme de 68 ans dont le seul tort a été d’essayer d’éteindre le feu qu’un incendiaire avait mis dans une poubelle. Cette explosion absurde de violence a également coûté des centaines de millions des livres de dégâts à une économie nationale déjà sur le fil du rasoir.

Et le chaos a eu lieu alors que les temps sont encore bons, la nourriture encore facile à obtenir et les rayons des magasins toujours pleins (de choses à piller, apparemment). Les jeunes Britanniques et Américains qui se déchaînent vivent dans le meilleur état d’abondance dans l’histoire du monde. Quel horreur verrons-nous alors quand nos économies chancelleront?

L’esprit des émeutiers

Qu’est-ce qui traverse l’esprit des gens qui détruisent leurs propres villes? La réponse à cette question commence à révéler comment, il y a deux décennies, notre rédacteur général a si exactement annoncé ce qui allait se passer.

Des images de garçons de 8 ans brisant des fenêtres et dérobant des baskets et des télévisions ont montré où ce problème avait ses racines: à la maison. Pourquoi une jeune personne erre-t-elle dans les rues et agresse-t-elle les gens pour prendre leurs biens, et jette-t-elle une bombe incendiaire sur la porte d’entrée de quelqu’un uniquement parce que ladite porte se trouve sur le chemin d’un magasin d’électronique dans lequel cette jeune personne veut aller voler? Pourquoi les gosses font-ils des choses affreuses pour «l’amusement»?

Les émeutiers ne le sont pas de naissance. Comme tous les autres, ils commencent comme de précieux enfants, ne connaissant rien à moins que l’on ne le leur apprenne. Mais qu’arrive-t-il quand ces merveilleux esprits sont blessés par la négligence et la haine, le dysfonctionnement et le non-respect des lois, année après année? Qu’arrive-t-il quand ils reçoivent peu d’éducation sur la vie, ou sur autre chose, à l’intérieur ou à l’extérieur du foyer familial?

Notre vie, dans une maison divisée et chaotique, se déverse finalement dans les rues.

On n’a simplement pas enseigné aux violents vandales de la Grande-Bretagne et de l’Amérique comment vivre.

C’est une clé majeure que M. Flurry a utilisée pour annoncer des événements comme ceux que nous voyons aujourd’hui. Et cela est écrit dans un des livres imprimés les plus anciens. Ésaïe 3 dit spécifiquement que nos familles seraient mises sens dessus dessous, et tomberaient en morceaux parce que nous ignorerions comment la famille est conçue pour fonctionner. À leur tour, les familles en désintégration mèneraient à une nation en désintégration. Comme Herbert W. Armstrong l’a écrit: «Une structure familiale solide, c’est le rempart fondamental de toute société stable et permanente…»

M. Armstrong a enseigné, et M. Flurry enseigne, que le démantèlement de nos familles mène finalement à la destruction nationale. Plus d’un Londonien aurait tendance à être d’accord. M. Flurry a également écrit, basé sur la doctrine biblique qui est nette à ce sujet, que la nature humaine n’est pas bonne, par essence, mais mauvaise: égoïste, partiale, jalouse, envieuse, encline à la compétition, vaine, lascive, avide, amère et violente.

N’avons-nous pas vu cette idée s’avérer, en 2011? Cette destruction insensée a révélé que nos sociétés théoriquement civilisées sont beaucoup, beaucoup plus proche de la folie primitive que nous n’aimons à le penser. Nous ne nous sommes pas aussi avancés que nous le pensions. Notre nature humaine n’est pas aussi «essentiellement bonne» que nous le pensions. Nous sommes capables de choses affreuses tant qu’un policier n’est pas à proximité—et parfois, même quand il y est.

Nous devons, en réalité, commencer à nous demander si nous pouvons même maintenir des sociétés coopératives et autogérées. Comme l’a dit un spectateur horrifié: «La raison principale pour laquelle vous n’êtes pas attaqué dans la rue, que les magasins ne sont pas constamment pillés et complètement brûlés, et que tous nous ne prenons pas des choses qui ne nous appartiennent pas, c’est parce que quelqu’un, quand nous étions petits, nous a appris la différence entre le bien et le mal».

Mais cela a changé en Grande-Bretagne et en Amérique, n’est-ce pas?

Nos chefs en charge du gouvernement, de l’éducation et de la culture ont successivement et systématiquement déchiré ces anciens absolus. Le mari et la femme sont liés pour la vie, les pères devraient diriger leur famille, on doit obéir aux lois quelles qu’elles soient, on devrait travailler dur à l’école, les criminels devraient être punis—ce sont des vertus vis-à-vis desquelles nous pensions être trop intelligents et trop avancés. Et maintenant, des parties de l’Angleterre ressemblent à des zones de guerre libyennes.

Ésaïe 3 l’a également annoncé. Dieu y dit que des dirigeants puissants, judicieux, prudents et sages seraient ôtés. «Je leur donnerai des jeunes gens pour chefs, et des enfants domineront sur eux. Il y aura réciprocité d’oppression parmi le peuple; l’un opprimera l’autre, chacun son prochain; le jeune homme attaquera le vieillard, et l’homme de rien celui qui est honoré» (versets 4-5). Cela ne semble-t-il pas familier?

Nous avons délibérément choisi d’être impies, trompeurs, immoraux et avides, et de rejeter toute pensée de Dieu et toute idée de la loi de Dieu. Et qu’en résulte-t-il? Préféreriez-vous plutôt vivre dans un endroit où ces vertus, basées sur la loi spirituelle de Dieu, les Dix Commandements, sont observées, ou préféreriez-vous plutôt vivre à Tottenham?

C’est une vérité cruelle, mais ce que font les jeunes Américains et Britanniques, c’est exactement ce qu’on leur a appris: il n’y a pas de choses de bien ou de mal, pas de péché ou de justice, Dieu est un mythe, indignez-vous contre l’autorité, faites ce que vous pensez être juste, il n’y a aucune conséquence réelle. Comme des parents qui dorlotent leurs enfants, nos gouvernements ont brisé ces vertus, et même les absolus, plutôt que de les soutenir. La réponse molle de la Grande-Bretagne, vis-à-vis des gens qui brûlaient sa capitale, est un exemple emblématique.

Nous sommes collés à la société que nos dirigeants ont créée, mais pouvons-nous encore espérer que nos politiciens et éducateurs tirent des leçons et mettent de l’ordre dans tout cela? Des comités examinent les choses. Davantage de programmes sociaux gouvernementaux inaccessibles et inefficaces sont mis en place. Vous savez ce que sera la réponse. Haranguer la nature humaine? Définir le bien et le mal? Se tourner vers Dieu? Il n’en est pas question.

C’est dans la Bible

Mais il y a une raison encore plus spécifique pour laquelle M. Flurry a si exactement annoncé une telle violence dans nos villes. Cela va au-delà des tendances de la nature humaine. Croyez-le ou pas, la violence de 2011 de Tottenham a été écrite par Ézéchiel, au cinquième siècle av. J.-C. Voici ce qu’il a écrit à propos des villes d’Amérique, de Grande-Bretagne et d’Israël:

«Un tiers de tes habitants mourra de la peste et sera consumé par la famine au milieu de toi; un tiers tombera par l’épée autour de toi; et j’en disperserai un tiers à tous les vents, et je tirerai l’épée derrière eux» (Ézéchiel 5:12).

La brochure dans laquelle M. Flurry parle de ces questions, dès 1992, s’appelle Ézéchiel: le prophète du temps de la fin. Il y écrit: «Remarquez que la peste est mentionnée en premier. Dans le passé, nous pensions que la peste serait la maladie résultant de la famine. En fait, la peste est la cause principale de la famine!

«Le mot peste signifie destruction ou mort… Cette peste pourrait donc être une épidémie de violence ou d’incendies». M. Flurry assimile ces incendies et cette violence dans nos nations aux émeutes de Los Angeles de 1992, voire même à l’impact d’une destruction encore pire: le terrorisme.

«Les troubles de Los Angeles ne sont qu’un type de ce qui va arriver aux grandes villes dans toute la nation!» a écrit M. Flurry, en 1992. «C’est une sévère prophétie concernant notre avenir!» Comment pourrait-on être plus précis?

«Des attaques terroristes, des émeutes et des incendies sont les principales manifestations de la peste mentionnée dans Ézéchiel 5», continue-t-il. «Et ces émeutes s’étendront à d’autres nations israélites—à moins que les gens ne se repentent! Dieu obtiendra notre attention de façon ou d’autre. Plus la violence et les incendies empireront, plus la famine se fera sentir. Plus la famine se fera sentir, plus intense sera la violence. Cela deviendra un cercle vicieux.»

Cela ne décrit-il pas parfaitement ce à quoi nous assistons dans les grandes villes de la Grande-Bretagne et de l’Amérique? «À mesure que les États-Unis et la Grande-Bretagne deviendront moins compétitives mondialement, le chômage augmentera régulièrement. À mesure que cela arrivera, des troubles et des violences internes deviendront beaucoup plus répandus…

«Les graines de cette calamité à venir ont déjà été semées. Le gouvernement a perdu le contrôle. Il y a une panne de l’ordre public… Nous sommes dangereusement proches de l’anarchie sociale et du chaos!»

Nous venons d’être témoins d’une avancée de cette plaie de violence et d’incendies de la société qui doit frapper nos grandes villes.

La Bible décrit même la réaction irresponsable de nos dirigeants à cette implosion de l’ordre. Mais la Bible a prophétisé ces problèmes, et elle ne dit pas qu’ils y sont faute d’une autre initiative de dépenses sociales.

Dans Ésaïe 1:5, parlant principalement des dirigeants de l’Amérique, de la Grande-Bretagne et de Juda, Dieu dit que la «tête entière est malade et tout le cœur est souffrant». Ceux qui sont responsables de la direction de nos peuples n’ont simplement pas le cœur ou la force pour s’affronter au mal, même quand il menace de détruire nos villes.

Par conséquent, tout le corps est malade—de la tête aux orteils (verset 6). Et cela conduit au fait que nos villes soient consumées par le feu allumé par «des étrangers».

«La Bible révèle aussi la cause des émeutes.» Après avoir cité Ésaïe 1:5-6, M. Flurry a dit: «Ni les dirigeants ni leurs sympathisants n’ont la volonté ou la force pour aller aux racines des émeutes raciales ou des attaques terroristes, et pour les résoudre une fois pour toutes (voir Daniel 12:9; 9:13; et Lévitique 26:19)».

Ces émeutes sont un avertissement au monde entier: c’est ce qui arrive quand une nation rejette les lois de Dieu, et se révolte contre Sa façon de construire une famille. Ces émeutes ne feront qu’empirer.

Et pourquoi cela arrive-t-il? Parce que c’est ce qu’il faut pour que nos peuples, finalement, en viennent à vraiment connaître leur Dieu. C’est ce qu’il faut pour que, finalement, nous admettions que la solution désespérément nécessaire n’est pas seulement encore une élection, seulement encore une loi, seulement encore un comité, seulement encore une initiative de dépenses, seulement encore un programme social plus avancé. C’est ce qu’il faut pour admettre que nous devons nous tourner vers Dieu! Et croire en Lui, et obéir à Ses lois résoudront ces problèmes chaotiques!

«Et ils sauront que je suis l’Éternel, et que ce n’est pas en vain que je les ai menacés de leur envoyer tous ces maux», dit-Il dans Ézéchiel 6:10. C’est cette grande leçon que Dieu veut que les Israélites modernes et le reste de ce monde, en fin de compte, apprennent—alors «ils sauront que je suis l’Éternel».