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Steve Jobs et sa passion dévorante pour la perfection

(Getty Images)

Steve Jobs et sa passion dévorante pour la perfection

Leçons tirées de l’histoire du plus grand PDG qui soit.

Au moment de sa mort, en octobre dernier, Steve Jobs veillait sur la société ayant le plus de valeur sur terre. Il était le principal auteur du succès spectaculaire d’Apple Inc., c’est pourquoi beaucoup disent qu’il était le plus grand des pdg.

Il y a beaucoup de choses que nous pouvons apprendre de M. Jobs. En fait, beaucoup de ses traits de caractère les plus exceptionnels sont appuyés dans la Parole de Dieu.

Peut-être que sa qualité la plus distinctive, et qui le rendait plus fort, tout en étant la plus importante, c’était qu’il était un perfectionniste. Dans un monde qui tolère et même glorifie l’imperfection, le succès qu’a connu M. Jobs, à cause de sa recherche de la perfection, vaut la peine qu’on s’y arrête.

Le cas du châssis imparfait

Dans tous les détails de la création d’ordinateurs et de petits appareils—même dans l’édification de l’empire Apple et de sa culture distincte, presque fascinante—Steve Jobs voulait que tout soit parfait. Ce désir de l’appareil parfait, du lancement du produit parfait, du magasin Apple parfait, l’a propulsé à un succès incomparable plus que tout autre chose.

Six semaines avant que l’iPod n’ait été planifié pour être dévoilé, en 2001, il avait un écran en plastique. Soudainement, S. Jobs a été convaincu que le plastique se rayerait trop facilement et que l’écran devrait être en verre. Sa décision de faire le changement a envoyé des ondes de choc dans la société : les dessinateurs, les ingénieurs et les techniciens ont été alertés pour redessiner le châssis. « Aucun autre pdg sur terre n’aurait fait cette demande », a écrit Time magazine (17 octobre 2011).

Steve Jobs ne s’est pas soucié du coût supplémentaire ou de la manière dont les médias réagiraient. Son principal point de concentration, c’était de sortir le produit le plus parfait possible!

Pendant la création de l’ordinateur Apple ii, à la fin des années 1970, S. Jobs devait choisir la couleur du châssis, et il lui a été donné 2 000 nuances de beige dans lesquelles choisir. Pas une n’était assez bonne pour S. Jobs. Il voulait créer sa propre nuance parfaite de beige.

Même quand il était enfant, observant son père travailler sur des voitures, Steve, écrit Walter Isaacson dans son livre Steve Jobs, était « fasciné par le besoin de perfection ».

Jobs exigeait que des vis de la plus haute qualité soient utilisées pour les composants à l’intérieur de l’ordinateur. Il a même insisté pour qu’il y ait de belles finitions à l’intérieur, même si seuls les réparateurs pourraient les voir. « Jobs… cédait toujours à son obsession que les parties invisibles d’un produit devraient être tout autant travaillées, avec art, que sa façade, tout comme son père lui avait appris quand ils construisaient une barrière », écrit W. Isaacson.

Quelle façon unique de penser : créer un produit qui soit aussi beau à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pas étonnant que les produits Apple fassent l’objet d’une demande aussi élevée !

La détermination pour atteindre la perfection est une qualité remarquable. Dans un sens très réel, elle nous dirige vers Dieu ! Dans Matthieu 5 : 48, Jésus-Christ ordonne à Ses disciples : « Soyez [ou Devenez] donc parfaits comme votre Père céleste est parfait ». Il s’agit d’une Écriture profonde. Elle incarne vraiment l’Évangile de Dieu ! Cela a tout à voir avec les êtres humains devenant vraiment comme Dieu Lui-même! Dieu est un perfectionniste !

Être perfectionniste, c’est une qualité divine—c’est la raison pour laquelle cela marche.

Steve Jobs a incarné cette qualité dans sa poursuite de l’appareil parfait, et voyez le succès qu’il a connu dans cette arène. Le Christ nous lance le défi d’appliquer cela dans les secteurs de notre vie qui importent vraiment le plus !

À quel point êtes-vous perfectionniste ? Vous battez-vous pour avoir un mariage parfait, des enfants parfaits ? Quand vous êtes au travail, insistez-vous pour avoir le produit le plus parfait possible ? Si nous faisons cela, de bonnes choses arriveront. Dieu nous dit de développer cette quête de la perfection dans tout ce que nous faisons !

Vision

Proverbes 29 : 18 dit, [d’après la King James] : « Quand il n’y a pas de vision, le peuple périt ». Si nous appliquons cela spirituellement ou même dans notre vie physique—notre travail, notre mariage, notre famille—cela reste vrai : les gens ont besoin de vision. Pour vraiment réussir, nous devons avoir notre esprit fixé sur le but—quelque chose de grand, quelque chose d’important à poursuivre, et auquel aspirer.

Steve Jobs était toujours obsédé par sa vision ultime.

En 1983, Steve Jobs cherchaient un pdg pour diriger Apple. Il s’est approché de John Scully, qui travaillait chez Pepsi-cola, à l’époque, et ne semblait pas intéressé par le poste. Finalement, après des mois de demandes infructueuses à J. Scully pour qu’il rejoigne l’équipe d’Apple, S. Jobs lui a dit catégoriquement : « Voulez-vous passer le reste de votre vie à vendre de l’eau sucrée ? Ou voulez-vous d’une chance de changer le monde ? »

Cet homme n’était pas dans l’informatique simplement pour créer des appareils, ou construire une société mondiale, ou même transformer l’industrie des ordinateurs. Son ambition suprême, c’était de « changer le monde ».

S. Jobs a souvent été cité comme disant à ses collaborateurs : « Nous sommes là pour ébranler l’univers ». C’était son but pour Apple, et il a fait de son mieux pour en faire le but de tous les employés travaillant à Apple.

Quelle est la portée de votre vision ? Dieu a donné aux êtres humains un potentiel qui repoussera votre imagination jusqu’à ses limites ! Il veut que cette vision nous propulse en avant et vers le haut, pour nous motiver à chercher la grandeur ! Vous pouvez en apprendre sur cette vision dans notre livre L’incroyable potentialité de l’homme. Nous vous enverrons un exemplaire gratuitement.

Steve Jobs avait une nouvelle façon pour recruter des employés, en 1981. Pendant l’entrevue, il amenait le candidat dans une pièce où un prototype du Mac était recouvert par un tissu. Alors, de manière dramatique, il déchirait le voile sur sa création—et observerait ensuite la réaction. « Si les yeux du candidat s’allumaient, s’il allait directement sur la souris et commençait à pointer et à cliquer », rappelait Andrea Cunningham, « Steve souriait et l’embauchait ».

S. Jobs s’est entouré de gens qui aimaient Apple. Il n’a voulu travailler qu’avec les gens qui avaient la même vision, les mêmes espoirs et les mêmes rêves pour les produits et les services d’Apple. Quand on lui demandait ce qu’il recherchait quand il embauchait un cadre supérieur, S. Jobs répondait : « Il doit être vraiment intelligent. Mais la question réelle pour moi, c’est : va-t-il tomber amoureux d’Apple ? »

C’est aussi un principe biblique. Dieu construit une équipe de gens qui sont unis dans leur enthousiasme pour Ses plans et Son mode de vie. Par dessus tout, Il veut des hommes et des femmes « selon [S]on cœur, qui accomplir[ont] toutes [Ses] volontés » (Actes 13 : 22). Il nous dit, par l’apôtre Paul, de « cherche[r] les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu », et de « [nous] affectionne[r] aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre » (Colossiens 3 : 1-2).

Un des défis les plus grands dans la création d’un produit Apple touchait l’équilibre entre l’attrait esthétique et l’ingénierie. Steve Jobs ne voulait pas seulement le meilleur produit, technologiquement parlant : il voulait également qu’il soit visuellement attrayant, aussi simple et pur que possible.

D’un point de vue technique, ce n’était jamais facile. Souvent, les ingénieurs ou les fabricants disaient à S. Jobs qu’il demandait l’impossible, et que, simplement, il fallait faire un compromis avec le style. S. Jobs répliquait toujours : Nous allons le faire ! Un employé qui persistait à ne pas croire était renvoyé.

S. Jobs ne pouvait pas travailler avec des opposants systématiques, des gens qui étaient négatifs et qui n’étaient pas entièrement investis dans sa vision. Il savait que de telles personnes les videraient, lui et le reste de son équipe, de leur optimisme et de leur énergie.

Même ce principe a un corollaire biblique. « Deux hommes marchent-ils ensemble, sans en être convenus ? », a écrit le prophète Amos. Comme l’a écrit l’apôtre Paul : « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres (2 Corinthiens 6 : 14). Dans 1 Corinthiens 15 : 33, Paul écrit : « Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs ».

Concentration

La vision claire de ce qu’il voulait permettait à Steve Jobs de se concentrer, comme un rayon laser, sur ce qu’il voulait accomplir. Il disait souvent à ses cadres que décider quoi ne pas faire est aussi important que décider quoi faire.

Bien qu’il ait cofondé Apple en 1976, S. Jobs a été renvoyé, en 1985. Quand il est retourné dans la société, en 1997, c’était le désordre. S. Jobs a immédiatement entrepris une enquête sur la société, ses employés et ses produits—et ce qu’il a découvert l’a exaspéré. Il y avait trop de produits, trop de versions de logiciels, trop de visions rivalisantes pour la société.

Il a passé des mois à travailler pour trier dans le marais. Finalement, lors d’une session de stratégie de produit, S. Jobs a hurlé « Stop ! » C’est fou, a-t-il dit. Il est allé au tableau, et l’a divisé en quatre en tirant une ligne horizontale et une ligne verticale. Voici ce que nous allons faire, a-t-il expliqué : Apple va faire un produit pour chaque quart. Au lieu de développer beaucoup de produits différents, voire même de s’étendre en d’autres industries, il voulait qu’Apple se concentre sur une industrie, et sur trois ou quatre produits.

Dans les mois qui ont suivi son retour, Apple avait supprimé 70 pour cent de ses modèles et produits, et consacrait toutes ses ressources à une poignée de projets. Cette nouvelle stratégie, très concentrée, a payé, et bientôt la société grandissait de nouveau.

Selon W. Isaacson, la capacité de Steve Jobs à se concentrer—et de forcer ceux qui sont autour de lui de se concentrer—« a sauvé Apple ».

Une fois encore, S. Jobs employait un principe spirituel. Dans Matthieu 6 : 33, Jésus dit à Ses disciples : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus ». Dieu sait que si notre vie est dispersée dans trop de directions, nous échouerons dans tout. Les choses vraiment importantes seront évincées par des futilités. « Lorsque ton œil est en bon état », a dit Jésus, « tout ton corps est éclairé » (Luc 11 : 34). Dieu exige que nous maintenions notre concentration sur ce qui importe vraiment.

Le composant manquant

Comme tous les hommes, Steve Jobs avait sa part de défauts. Steve Wozniack, son associé à Apple, et l’homme en grande partie responsable de l’ingénierie de l’empire, a dit qu’il ne pouvait « jamais avoir confiance en son intégrité [celle de S. Jobs] ».

Ce grand magnat de l’informatique était égocentrique, fortement explosif et souvent brutalement honnête dans ses critiques. Tôt dans sa carrière il a eu un enfant hors mariage. Bien qu’il fût millionnaire et un homme puissant, à l’époque, il a rejeté sa fille et a humilié sa mère dans la presse nationale.

Malgré tout son succès matériel, Steve Jobs recherchait constamment l’illumination spirituelle. Lorsqu’il était jeune homme, cette recherche l’a conduit à un usage assez intensif de la drogue. Il est allé à l’université pendant six mois, où il s’est intéressé au bouddhisme zen. Il a grandi près de gourous spirituels en vue, et participait régulièrement à des rituels bizarres.

En 1974, S. Jobs a dit à ses patrons, chez Atari, qu’il quittait son travail et allait en Inde à la recherche d’un gourou religieux qui pourrait l’aider à se trouver lui-même. De son tour en Inde, S. Jobs a dit plus tard : « Pour moi, c’était une recherche sérieuse. Je m’étais tourné vers l’idée d’illumination, et essayais d’arriver à comprendre qui j’étais et comment je me situais par rapport aux choses ». Daniel Kottke, un ami de S. Jobs, à l’époque, s’est rappelé qu’« il y avait un vide en lui, et il essayait de le combler ».

Ce vide est resté avec S. Jobs, sa vie entière. Après être revenu de l’Inde, il a continué sa recherche de l’illumination. Malgré sa grande intelligence intellectuelle et créatrice, spirituellement c’était un homme profondément dans la confusion. « Je pense que des religions différentes sont des portes différentes pour la même maison », a-t-il dit une fois. « Parfois je pense que la maison existe et d’autre fois non. C’est le grand mystère. »

Quelques mois avant sa mort, S. Jobs parlait avec W. Isaacson de la signification de la vie et de l’existence de Dieu. « Je crois environ à 50-50 en Dieu », a-t-il dit. « Pendant une grande partie de ma vie, j’ai estimé qu’il devait y avoir plus pour notre existence que ce que voit l’œil. »

N’est-ce pas triste ? Cet homme avait passé toute une vie à rechercher la planète d’une haute autorité, et la meilleure conclusion qu’il a pu tirer, c’était il y avait « plus pour notre existence que ce que voit l’œil ».

Cet homme brillant, fortement instruit a transformé le monde avec ses appareils éblouissants. Il était riche et puissant. Il pouvait décrocher le téléphone et parler aux présidents et aux Premiers ministres, aux pdg et aux scientifiques. Il a reçu en concerts privés des artistes de classe internationale. Il pouvait aller n’importe où et faire n’importe quoi, peu importait la dépense. Il avait tout!

Tout, sauf ce qu’il voulait le plus : l’illumination spirituelle.

S. Jobs a révolutionné l’industrie informatique, l’industrie du film, l’industrie du téléphone cellulaire, l’industrie de la musique—et vraiment le monde—avec sa technologie. Cependant il n’a jamais découvert les réponses aux questions les plus basiques et les plus importantes de la vie. Pendant une de ses dernières conversations avec W. Isaacson, S. Jobs a médité sur la façon dont il aimerait croire que quelque chose de grand était en dépôt pour les gens après leur mort. Alors de nouveau, il a déclaré : « Peut-être que [la vie] ressemble à un commutateur marche-arrêt. Clic ! Et vous êtes partis ».

Il a même plaisanté, disant que « peut-être était-ce pourquoi je n’ai jamais voulu mettre des commutateurs marche-arrêt sur les appareils Apple ».

C’est malheureux, n’est-ce pas ? Steve Jobs a transformé l’existence humaine avec sa technologie, mais il n’est jamais arrivé à comprendre pourquoi les humains existent. Il n’est jamais arrivé à comprendre s’il y avait un Dieu. Ou si l’homme a été mis sur la terre pour une raison spécifique. Ou s’il y a une vie après la mort. Cet homme brillant est mort ignorant. Steve Jobs lui-même savait qu’il y avait un composant manquant à sa vie extraordinairement couronnée de succès.

Qu’était-ce ?

Simplement dit, cet homme a manqué une relation avec l’omnipotent et tout-puissant Dieu vivant !

Qu’en est-il pour vous ? Avez-vous une relation vibrante, active et productive avec Dieu ? Vous le pouvez !

Le moment où Dieu a créé l’homme est enregistré dans Genèse 1:26. Notez bien, Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance… » Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi Dieu voulait créer l’homme à l’image, et selon la ressemblance, de Dieu ? Dans L’incroyable potentialité de l’homme, Herbert Armstrong explique ce petit verset stupéfiant : « Mais l’homme a été fait selon la forme et l’aspect de Dieu, pour avoir une relation spéciale avec Dieu—pour avoir la potentialité de naître dans la famille de Dieu ».

Avez-vous « une relation spéciale avec Dieu » ?

Il y a littéralement des centaines de versets dans la Bible comme Genèse 1 : 26. Des versets courts avec une signification profonde, qui change la vie. Des versets qui prouvent que Dieu existe, qui expliquent pourquoi l’homme a été mis sur la terre, qui expliquent le plan de Dieu pour l’homme, qui expliquent s’il y a une vie après la mort. Des versets qui fournissent une connaissance fascinante et pratique qui transformera votre vie.

Si vous voulez connaître les réponses à ces questions, découvrir pourquoi vous avez été mis sur la terre et, comment avoir une relation nouvelle et sincère avec Dieu, vous devez donc étudier ces passages de la Bible. Pour vous y aider, nous aimerions vous envoyer un exemplaire gratuit du livre de Herbert Armstrong, L’incroyable potentialité de l’homme.

Steve Jobs a poursuivi la connaissance contenue dans ce livre toute sa vie. Maintenant vous pouvez l’avoir gratuitement.  

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