Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

Au procès du 13-Novembre, la procédure et l’émotion

«

Ce mercredi 8 septembre, le palais de justice de l'île de la Cité est l'un des lieux les plus sécurisés de France. Les rues sont barrées par des cars de CRS, impossible de longer le bâtiment. Celui qui s'est trompé d'entrée doit retraverser le pont qu'il vient de prendre pour en emprunter un autre. Il lui faut ensuite passer deux points de contrôle tenus par des uniformes, en présentant à chaque fois une pièce d'identité. On entre alors dans le palais comme on accède à la salle d'embarquement d'un aéroport, avec contrôle des sacs et portiques de sécurité.

Tout est balisé, fléché et surveillé par les gendarmes. À chacun sa couleur de badge. Les leurs sont pourvus d'une lanière jaune. Elle est noire pour les avocats, bleue pour les organisateurs, orange pour les journalistes, rouge pour les parties civiles ne souhaitant pas leur parler et verte pour celles qui l'acceptent. Mais ce mercredi, les lanières rouges et vertes sont rares. Ces trois premiers jours d'audience sont consacrés aux formalités procédurales : l’appel des parties, puis la lecture du rapport du président de la cour. Ce sera long, fastidieux, frustrant pour beaucoup. Les avocats ont conseillé à leurs clients de ne pas se déplacer.

»
la Trompette dit...

Lorsque la France est encore une fois visée par la terreur islamique, des gens voient que les grandes communautés de migrants, avec leur culture et leurs valeurs différentes de celles de la France, cause de plus en plus des tensions, des affrontements et même parfois des attaques meurtrières. La Bible avertit que cela mène vers l’affrontement ultime entre deux puissances très spécifiques qui existent sur la scène mondiale d’aujourd’hui : l’Iran, qui sponsorise le terrorisme, et l’Europe, qui s’unira brièvement pour faire face à cette situation.

Commandez ou télécharger votre brochure gratuite « Le roi du sud » pour en savoir plus.