Canada et immigration : la nouvelle tour de Babel a du plomb dans l’aile…
Des décennies durant, le Canada a été donné en exemple pour sa politique migratoire ; pour le microcosme politico-médiatique s’entend. Pays de cocagne et miroir aux alouettes à la fois, cet ancien morceau de France préfigurait donc l’avenir, inclusif et bienveillant à la fois. Seulement voilà, malgré son immense surface, a priori propre à accueillir toute la misère du monde, le modèle babélien censé incarné la société à venir tendrait plutôt à avoir du plomb dans l’aile.
En effet, nous confirme Le Figaro du 28 août, l’immigration de masse ne serait pas forcément une chance pour nos lointains cousins. Le nombre d’immigrés y aurait doublé en dix ans, « passant de 259.000 en 2013 à 437.000 en 2022 ». Derrière cette véritable invasion, il y a évidemment des têtes « pensantes », soit le think tank L’Initiative du siècle, équivalent local de notre très socialiste Terra Nova, qui estime que « la croissance de la population canadienne est essentielle à la prospérité économique, l’inclusivité sociale et l’influence mondiale du pays ».
Le Canada vit une crise migratoire conçue pour transformer le pays de façon fondamentale. Tout comme son voisin au sud, Ottawa permet cet influx dans l’espoir d’en profiter sur le plan politique.
Comprendre la crise migratoire canadienne nécessite de comprendre celle des États-Unis ; comprendre l’esprit de radicalisme et d’autodestruction qui ronge le pays nous oblige de regarder ce qui se passe au sud, où cette tendance trouve sa genèse.
Notre brochure gratuite L’Amérique sous attaque éclaire toutes les raisons pour laquelle cet esprit de suicide national se propage, et indique ce à quoi s’attendre par la suite.