Cardiologue de renom : Les vaccins à l’ARNm pourraient ‘modifier le génome humain’

À la suite de la pandémie de la COVID-19 , les responsables pharmaceutiques se vantaient de faire progresser la science des vaccins à la vitesse de l’éclair. Aujourd’hui, des preuves apparaissent que les fabricants de vaccins contre la COVID -19 ont caché les effets secondaires afin d’accélérer la commercialisation des vaccins. Le nombre de myocardites, de caillots sanguins, de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers et de décès parmi les vaccinés monte en flèche, et un éminent cardiologue rapporte que les vaccins à l’ARNm pourraient modifier la génétique humaine.

• Dans une interview accordée le 24 novembre à Action4Canada [Action pour le Canada], le Dr Peter McCullough, ancien vice-chef du service de médecine interne du Baylor University Medical Center, a révélé que les vaccins à l’ARNm peuvent modifier l’anatomie humaine, et même « changer le génome humain ».

Nouvelle technologie : Les vaccins traditionnels utilisaient des agents pathogènes tués ou inactifs pour inciter les cellules humaines à commencer à fabriquer des anticorps contre ces agents pathogènes. Le vaccin contre la COVID-19 est différent. Il s’agit du tout premier vaccin à l’ARNm, ce qui signifie qu’il utilise une séquence spécialisée d’acide ribonucléique pour détourner la machinerie protéinique d’une cellule humaine et lui ordonner de commencer à fabriquer des protéines de coronavirus, en particulier la protéine qui donne au coronavirus son apparence de couronne.

Effets indésirables : Lorsque le vaccin a été mis sur le marché, Tal Brosh, chef de l’unité des maladies infectieuses à l’hôpital Samson Assuta d’Ashdod, a assuré à la population qu’il ne modifiait pas le code génétique des gens. Selon lui, les molécules de l’ARNm agissaient plutôt comme une clé USB inséré dans le corps humain, exécutant un certain programme sans altérer le « disque dur ». Mais les scientifiques n’ont toujours aucune idée réelle de toutes les conséquences de l’injection de l’ARNm expérimental.

Pourtant, le Dr McCullough pense qu’il existe des preuves que cette « clé USB » modifie le « disque dur » par un processus appelé « transcription inverse ».

Les vaccins contre la COVID-19, tels qu’ils existent, ne sont pas suffisamment sûrs et pas suffisamment efficaces pour être utilisés sur la population humaine. Il semble qu’ils s’installent de façon permanente dans le génome humain par ce que nous appelons la transcription inverse. Il est donc inquiétant de constater que non seulement le vaccin n’est pas éliminé du corps, mais qu’en plus il modifie le génome humain. Cela est démontré dans la lignée cellulaire de l’hépatome humain. Il est donc concevable que deux personnes vaccinées puissent transmettre le code de Pfizer ou Moderna au bébé de façon permanente.
—Le Dr Peter McCullough

Psychose de formation de masse : Le Dr Robert Malone, l’un des architectes de la technologie de l’ARNm, est d’accord pour dire que les vaccins à l’ARNm ne sont pas sûrs pour une utilisation dans la population humaine. Il pense également que le gouvernement américain a agi sans respecter les lois lorsqu’il a approuvé ces vaccins, mais que les gens ont suivi le mouvement parce que le confinement les rendait sensibles à la « psychose de formation de masse ». Selon le Dr Malone, cet état mental se produit lorsque les gens sont « découplés les uns des autres et ont une anxiété flottante » parce qu’ils ne peuvent pas donner un sens à ce qui se passe. « Alors leur attention se focalise sur un petit point, à cause d’un dirigeant ou une série d’événements, tout comme l’hypnose », a-t-il déclaré. « Ils deviennent littéralement hypnotisés et peuvent être menés n’importe où. Ils suivront cette personne. Peu importe si elle leur ment ou quoi qu’il en soit. »

En savoir plus : La Trompette a écrit beaucoup plus clairement et puissamment sur les causes de la psychose de formation de masse. Pour comprendre ce phénomène, lisez « La ‘psychose de formation de masse’ » et « Le culte de la volonté  ».