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Comment une activiste en Allemagne s'est réveillée face aux dangers de l'immigration musulmane

GETTY IMAGES

Comment une activiste en Allemagne s'est réveillée face aux dangers de l'immigration musulmane

Elle a déjà accueilli des migrants à bras ouverts. Puis elle a réalisé qu'on lui mentait, et que son Allemagne natale se bat pour sa survie.

Ceci est une histoire à propos d'un éveil à la vérité

Il est facile de croire si fortement en quelque chose que vous êtes certain que c'est vrai—alors qu'en fait c'est une illusion, une tromperie.

C'est arrivé à une activiste allemande des droits de l'homme, une conseillère pour les Nations Unies, une artiste et cinéaste du nom de Rebecca Sommer.

Son histoire donne un aperçu d'une transformation cruciale qui se déroule en Allemagne aujourd'hui.

Comme la chancelière allemande Angela Merkel, Rebecca a fortement soutenu l'immigration. Ce n'était pas juste une opinion politique qu'elle a posté sur les médias sociaux. Elle a consacré une grande partie de son temps à faire le sale boulot d'aider les immigrants. Elle a fondé une organisation pour aider les immigrants à s'intégrer et les a guidés à travers la bureaucratie pour leur procurer un logement, des meubles, des vêtements, des emplois, de l'éducation.

Puis vint le réveillon du Nouvel An de 2015. Cette nuit-là à Cologne, une foule d'environ un millier de migrants s'est rassemblée devant la gare centrale et a commencé à molester, voler et même violer les passantes. Des centaines de crimes ont été signalés à la police de Cologne, la majorité étant des infractions sexuelles. Un rapport de police divulgué a déclaré : « Les femmes devaient littéralement courir et passer au travers une foule d’hommes ivres, d'une manière que vous ne pouvez pas décrire. » Des incidents similaires se sont produits cette nuit-là dans d'autres villes allemandes.

C'est à ce moment-là que je me suis dit : « Rebecca, maintenant il est temps de tirer sur le frein d'urgence, simplement parce qu'en tant que défenseur des droits des femmes, tu portes la responsabilité collective en tant que femme. »

Ce sont les propres mots de Rebecca, dans une entrevue publiée le mois dernier, sur le site internet de son organisation humanitaire. Voici ce que Rebecca a rappelé à propos de l'incident de Cologne :

Jusqu’alors, j'avais essayé d’une certaine façon de justifier à moi-même ces attitudes et comportements constamment récurrents de la plupart des réfugiés, de leur façon de percevoir le monde, basé sur leur religion—l'Islam—et leur culture. Par exemple, je me disais qu'ils se comportaient ainsi simplement parce qu'ils étaient des nouveaux arrivants. Je pensais que leurs points de vue du moyen âge changeraient graduellement avec le temps. … Mais après avoir jeté un regard sur des années d'expériences récurrentes de ce genre dans mon travail de volontaire, j'ai dû admettre à moi-même que les réfugiés musulmans ont grandi avec des valeurs complètement différentes des nôtres, que depuis leur enfance ils ont été conditionnés et endoctrinés avec l'Islam, et la plupart d'entre eux n'ont aucune intention d'adopter nos valeurs. Pire, ils jettent sur nous les incroyants, un regard de dédain et mépris. J'appelle cela le « voile dans leurs têtes ».

Après les assauts de masse du réveillon du Nouvel An, le gouvernement allemand a répondu, mais pas la façon dont vous penseriez. Le gouvernement de la chancelière Merkel a été profondément investi dans une politique pro-immigration, et plutôt que de se ranger du côté des victimes et de promouvoir des politiques pour prévenir ce genre de barbarie dans l’avenir, il a tenté de dissimuler les agressions. La police et même les médias sont restés silencieux pendant plusieurs jours, craignant une réaction contre les immigrés. Mais avant longtemps, le mensonge s'est effondré. La vérité a atteint le public : les agresseurs, les voleurs et les violeurs étaient pour la plupart des demandeurs d'asile originaires des pays d'Afrique du Nord.

Depuis lors, des rapports similaires de migrants musulmans se livrant à des comportements criminels dangereux ont émergé. Le problème des immigrés a soulevé de vives critiques à l'égard de la chancelière Merkel, qui tente toujours de maintenir des politiques d'immigration assez indulgentes. Cela a également contribué de manière significative au séisme électoral de septembre dernier, au cours duquel des partis traditionnels pro-immigration comme celui de Merkel ont reçu un soutien historiquement bas, tandis que le parti anti-immigration, Alternative für Deutschland, a obtenu son meilleur résultat électoral. Lors de sa création en avril 2013, Alternative für Deutschland était considérée comme un groupe marginal d'extrême droite. Cinq ans plus tard, certains sondages ont démontré que c'était le deuxième parti politique le plus populaire en Allemagne.

Écouter l'ancienne idéaliste pro-migrante Rebecca Sommer vous aide à comprendre pourquoi.

Peu de temps après l'incident du Nouvel An, Rebecca a vécu une autre expérience de désillusion. Elle avait investi beaucoup de travail pour aider un groupe de réfugiés musulmans, et ils avaient été très amicaux avec elle. Mais un jour, elle a appris que même si ces personnes acceptaient volontiers sa charité avec un sourire, derrière son dos ils l'appelaient « une stupide putain allemande ».

Rebecca était profondément blessée. La gentillesse, la gratitude et la camaraderie des personnes qu'elle essayait d'aider étaient simplement une tromperie.

Rebecca a réexaminé les cas individuels sur lesquels elle avait travaillé, les regardant maintenant avec un œil plus perspicace. Elle a rapidement vu des preuves abondantes que les migrants qu'elle aidait et en qui elle avait confiance tiraient traitreusement profit de sa naïveté.

Beaucoup n'ont toujours pas de travail, et beaucoup ne parlent uniquement qu’un mauvais allemand. De plus, ils restent entre eux, ils ont peu d'amis allemands ou pas du tout. D'autres se sont même tournés vers le crime ou se sont radicalisés. Ou par exemple, j’ai découvert plus tard qu'ils avaient été des combattants d'al-Nosra ou de l'État islamique (ei) qui admirent toujours ces organisations.

Bien sûr, il y a des exceptions—des gens qui ont un travail et parlent un bon allemand—mais la plupart d'entre eux gardent le soi-disant voile dans leurs têtes, leur sentiment de supériorité parce qu'ils sont musulmans, ce mépris insupportable pour nous.

Rebecca dit qu'elle « peut compter sur une main » le nombre d'immigrés avec lesquels elle a travaillé qui sont « à mon avis, complètement intégrés avec succès », ce qui signifie que même s'ils ont conservé leur propre culture, ils ont accepté la culture allemande plutôt que de vivre dans une société musulmane séparée, en parallèle, à l’intérieur de l’Allemagne. Et on peut supposer qu'ils ne considèrent pas leurs bienfaiteurs comme des « stupides putains allemandes ».

Son témoignage révèle que le problème est pire que ce qui a été rapporté—non seulement à cause des efforts du gouvernement pour le minimiser, mais aussi à cause de l'autocensure des Allemands soucieux de paraître culturellement insensible.

Les bénévoles sont constamment sujettes au harcèlement sexuel ici et là, mais aucune d'entre nous n'en a jamais fait part à la police parce que nous ne voulions pas être perçues comme des ennemies des réfugiés, ou causer des problèmes dans les refuges pour réfugiés. Dans ces cas, le comportement des volontaires est dicté par le même mécanisme qui a dicté le mien—une constante rationalisation : Il est nouveau ici ; il est désemparé ; il ne comprend pas notre culture.

Rebecca a mis fin à une telle rationalisation. Elle veut toujours aider ceux qui ont vraiment besoin d'aide, « qui veulent rester ici pour toujours et qui ont de très bonnes raisons—ceux qui sont persécutés dans leur patrie, souvent parce qu'ils ont une foi différente : Chrétiens, Yézidis, ex-Musulmans ». Mais elle a déterminé qu'elle n'allait plus aider les Musulmans qui conservent des croyances religieuses fondamentales, telles que l'abaissement musulman traditionnel des femmes.

Maintenant, je comprends comment ils pensent. Maintenant, je suis devenue très prudente et extrêmement méfiante. Je pense que ceux qui ne nous conviennent pas devraient aller dans un pays musulman et y chercher asile ou emploi et une meilleure vie là, au lieu d'essayer d'imposer leurs valeurs médiévales misogynes sur nous, ce qui à long terme, nous nuira tout simplement.

Autrefois un fervent défenseur des droits des immigrants, Rebecca est devenue une franche critique des pratiques musulmanes inhumaines. L'une d'entre elles est la doctrine de la taqîya, que les migrants ont utilisé pour justifier leur tromperie envers elle et l'employaient régulièrement dans le but de jouer le système d'immigration allemand. Rebecca explique :

La plupart des Européens ne connaissent pas le mot taqîya. Les gens qui tentent de vous mettre en garde contre cette forme de malhonnêteté justifiée par la religion sont systématiquement stigmatisés comme racistes. ... Taqîya signifie « tromperie ». La taqîya permet aux musulmans d'être extrêmement sournois envers nous, les non-Musulmans, si cela aide à protéger l'Islam et les Musulmans. ... Il n'y a qu'une seule condition : un menteur doit croire fermement au Coran et à Allah. La taqîya permet même à un Musulman de prétendre qu'il n'est pas Musulman. Il a le droit de dire et de faire n'importe quoi pour tromper, en autant que cela aide, par exemple, à gagner la confiance de quelqu'un. Ou la confiance d'un pays. Maintenant pensez à quelle sorte d'idéologie religieuse nous faisons affaire ! ... Par conséquent, les volontaires allemands de bonne foi rencontrent une culture qu'ils ne peuvent tout simplement pas saisir.

Oui, l'Islam a une doctrine religieuse qui favorise le mensonge. Rebecca a régulièrement vu des immigrés mentir à propos de leurs niveau d’études, mentir sur leurs compétences, mentir sur leur amour pour les valeurs occidentales. Ils mentent sur la pauvreté ou le danger que leurs proches rencontrent chez eux pour convaincre les autorités de les laisser amener leur famille en Allemagne.

Soudainement, on voit des tantes, des oncles et des parents arriver en Allemagne, et tout à coup la famille décédée compte 15 personnes et possède trois appartements. Le jeune frère arrive et, contrairement à ce qu'ils vous ont dit, il n'est pas du tout sans défense, mais était en fait un combattant d'al-Nosra en Syrie.

Rebecca parle aussi de l'effet toxique que les Musulmans ont sur les refuges pour réfugiés. Ils traitent tous les réfugiés et travailleurs non-Musulmans comme inférieurs, ils considèrent toutes les formes de charité comme un signe de faiblesse (même s'ils continuent à absorber l'argent et les bénéfices), et ils considèrent toutes les femmes occidentales comme des putains.

Le fait est que, dans cette culture dominée par l'Islam, ce qui compte, c'est la loi du plus fort, et si vous aidez quelqu'un simplement par compassion, cela ne cadre pas avec leur vision du monde. Pour eux, cela fait de vous un crétin, un faible. Et c'est ainsi qu'ils nous voient : comme des idiots, comme une société déchue de faibles.

Rebecca est également farouchement critique du refus du gouvernement allemand de reconnaître ces réalités. Elle dit que les fonctionnaires exercent une « fausse tolérance », excusant et permettant un comportement criminel parce que « cela fait partie de leur culture [des immigrés] ». Elle dit que la tolérance élargie envers les Musulmans a effectivement donné lieu à un système juridique parallèle, dans lequel les gens sont tenus à une norme vraiment différente. L'effet est clair : Parmi les communautés musulmanes, elle permet plus de crime, y compris le commerce de la drogue, la polygamie, l'esclavage sexuel et le viol.

Beaucoup de ces crimes sont effroyablement barbares—des filles aussi jeunes que 12 ans sont vendus à des hommes pour le mariage ; les hommes vendant de la pornographie juvénile, de violer, puis de faire chanter des jeunes filles. Rebecca a appris que cela arrivait à une fille de 14 ans dont elle s'occupait. « J'ai envoyé des centaines de lettres aux médias, mais il ne s’est rien produit », a-t-elle dit. « La police a été bloquée ».

Des lois parallèles se sont développées, là où notre système juridique ne se rend plus. Il semble que tout le monde a peur d'eux : les juges, les avocats, la police. L'état a perdu tout contrôle. ...

Surtout, l'Islam politique en Allemagne s'efforce, comme ils disent, de mettre le pied dans la porte encore plus profondément. Les Musulmans essaient constamment de se présenter comme des victimes, se plaignant d'être insultés et discriminés, que l'Occident est responsable de tout .... C'est une erreur et une mauvaise compréhension de la tolérance, née du désir que personne ne devrait se sentir opprimé en Allemagne. Mais personne ne semble se rendre compte que c'est là que nos propres valeurs commencent à être discriminées et que nous sommes discriminés par les Musulmans. Cela me rend furieuse.

Rebecca est préoccupée par l'incursion culturelle musulmane qui érode les mœurs libérales de l'Allemagne. En décrivant les valeurs qu'elle veut préserver, elle nomme spécifiquement manger du porc et bronzer nue à la plage. « Cette liberté est très précieuse et très vulnérable », dit-elle. Mais ce qu’elle considère une liberté n'est guère une défense des principales vertus de la civilisation occidentale. Néanmoins, même une activiste libertine peut voir la réalité quand elle la regarde en face—et la trahit derrière son dos.

Les sondages nationaux et les élections fédérales révèlent que Rebecca n'est pas seule : Beaucoup d'Allemands sont furieux. Comme Rebecca, ils en sont venus à reconnaître l'illusion que l'accommodement de l'Islam politique est possible. Ils reconnaissent maintenant la nature fondamentalement antagoniste d'un important contingent musulman parmi eux. Et ils font campagne pour des mesures drastiques afin de confronter le problème.

Ce mois-ci, le ministre de l'Intérieur allemand Horst Seehofer a déclaré dans une entrevue avec Bild que « l'Islam n'appartient pas à l'Allemagne ». La chancelière Merkel l'a contredit publiquement pour tenter de pacifier les Musulmans, mais les sondages indiquent que les trois quarts des Allemands sont d'accord avec Seehofer. Un certain nombre d’anciens idéalistes comme Rebecca Sommer font face à la réalité et deviennent extrêmement intolérants envers les immigrants trompeurs et rapaces et les politiciens qui dissimulent la vérité à leur sujet.

Et leur résolution présage un changement dramatique, même violent, auquel nous sommes sur le point d'assister au sein du gouvernement allemand.

L'hostilité entre l'Europe catholique et l'Islam—en particulier l'Allemagne et l'Islam—est l'une des tendances les plus prophétiques dans le monde aujourd'hui. Le changement dans la mentalité allemande est déjà mesurable. La Bible prédit qu'un chef opportuniste saisira l’occasion et se présentera comme la solution pour repousser cette menace à la nation.

Les prophéties suggèrent également que cette même question pourrait aider à réunir plusieurs autres nations européennes derrière l'Allemagne, pour démontrer un front uni de résistance. Un empire européen unifié dirigé par les Allemands arrive ! Les manchettes d'aujourd'hui montrent l’état des travaux qui sont à des étapes avancées de préparation pour que cette prophétie biblique cruciale soit remplie.

Et les prophéties montrent que la première action majeure prise par cette superpuissance émergente sera une action rapide visant à affronter le problème à sa source—en déclenchant une spectaculaire guerre éclair blitzkrieg.

Pour en savoir plus sur les prophéties bibliques de cette guerre à venir, lisez la brochure de Gerald Flurry, Le Roi du Sud. 

Kos Fr Bo