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France-Maroc, le match identitaire

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Il fallait du culot mais la Macronie n’en manque pas. Interrogé sur Radio J au lendemain de la qualification du Maroc en demi-finale, le secrétaire général de Renaissance, Stéphane Séjourné, analysait la situation : « Je vois déjà les débats sur CNews : on va nous expliquer qu’il va y avoir de la conflictualité (…). Moi, j’espère que les choses vont bien se passer et si on commence par expliquer qu’elles vont de toute façon mal se passer (…), c’est auto-réalisateur. » Vous avez bien lu : après une nuit particulièrement délictueuse — voitures brûlées, vitrines cassées, 40 policiers blessés et 170 interpellés —, l’homme politique pointe la responsabilité de ceux qui osent voir ce que tout le monde voit. Pis, il reproche à ceux qui s’inquiètent de provoquer des débordements… qui ont déjà eu lieu.

Comment comprendre, dès lors, que le ministère de l’Intérieur — qui n’est pas dirigé par CNews — ait immédiatement mobilisé 2000 policiers pour le soir de la demi-finale ? Comment analyser la demande de la CFDT qui réclame la fermeture du réseau de transport en commun à Nantes le soir du match — alors que la presse locale, les yeux grands fermés, titrait elle aussi sur la liesse, la bonne humeur et la joie des supporters marocains ?

Personne ne veut voir ce qui est : nous avons un problème non seulement de violences, mais surtout d’assimilation. Sur les 117 interpellés de la soirée de quart de finale à Paris, 98 sont administrativement français, très rares sont les prénoms européens. L’immense majorité est née en France : leur cœur, lui, est attaché à un pays largement fantasmé. Leur déracinement est criant : ils se rêvent de là-bas, mais ils vivent bien ici. On connaît l’histoire par cœur avec l’Algérie, si bien que plus personne n’a d’ailleurs osé organiser une rencontre footballistique entre nos deux pays depuis 2001. À l’époque, la Marseillaise avait été sifflée en France, par des Français objectivement antifrançais. Rien n’a changé. Les mêmes qui hurlent au retour du fascisme quand 15 militants de droite déploient une banderole sans heurt ânonnent que ça s’est globalement bien passé. Ce qui est faux.

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la Trompette dit...

La coupe du monde a souligné une dure réalité : à savoir, l’existence d’une guerre culturelle qui ne dit pas son nom entre l’islam radical et les valeurs européennes.

Pour ceux qui observent la situation de loin, il serait facile de mettre en cause quelques supporteurs ivres. Mais ce n’est pas le cas ; il existe, depuis la crise de migrants, un affrontement généralisé de culture et de valeurs. Cet affrontement indique la véracité de ce que La Trompette prédit depuis longtemps : une confrontation violente est à venir entre l’Europe et le monde islamique.

Il est bien établi que l’État de l’Iran est à la tête d’un vaste réseau de terrorisme. Mais pourquoi croyons-nous que ce sera l’Europe qui y fera face ? Notre prévision repose sur le fondement de la prophétie biblique. Dans sa brochure Le roi du sud, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, explique que le 11e chapitre de Daniel prévoit qu’un « roi du septentrion » (du nord, à savoir l’Europe) affrontera un « roi du midi » (du sud, identifié comme l’Iran moderne).

Si tout cela vous semble impossible, la souffrance qu’entrainerait une telle guerre mérite d’examiner ce sujet de près. Pour découvrir comment la Bible décrit notre réalité moderne de façon exacte, lisez notre brochure gratuite Le roi du sud.