Génération trans : « Je ressens donc je suis »
Aux États-Unis, en 2008, un étudiant sur 2 000 s’identifiait transgenre. 13 ans plus tard, en 2021, ils sont 100 fois plus nombreux : 1 sur 20 se disent transgenres. En Suède, en 2001, 12 jeunes de moins de 25 ans étaient diagnostiqués dysphoriques. 17 ans plus tard, en 2018, ils étaient 1 900. Au Royaume-Uni, les demandes de transition d’enfants augmentent de 2 570 % par an.
Que s’est-il passé ces deux dernières décennies dans nos sociétés occidentales auprès de la jeune génération pour provoquer une telle « euphorie transgenre » ? Ce sujet loin d’être anodin est à prendre très au sérieux, car les transitions de genre engagées par certains enfants dans l’hexagone ne sont pas sans risques. Elles s’avèrent souvent irréversibles et peuvent créer beaucoup de tourments, sans réellement répondre à un besoin identitaire.
Est-ce que l’idéologie transgenre apporte vraiment le bonheur ? Quelles en seront les conséquences pour l’individu et la société plus largement ? Et qu’en est-il de ces personnes désabusées qui font la « détransition » ? En revanche, quel en est le but de la famille traditionnelle ; vaut-elle toujours une place dans la société ? La plupart des gens favorisent les propos qui leur semblent convenables, sans jamais les remettre en question. Mais pour ceux qui sont prêts à examiner toute l’évidence, on ne peut pas négliger la perspective la plus souvent méconnue : celle de la Bible. Commandez notre brochure gratuite Redéfinir la famille pour en savoir plus.
