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Guerre en Ukraine : comprendre le blocus de la mer Noire

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Grenier à blé de l’Europe, les exportations de l’Ukraine tournent au ralenti. Odessa, la principale « porte de sortie » des céréales ruthènes vers le reste du monde fonctionne au ralenti depuis le 24 février, date du début de l’invasion russe en Ukraine. Au cours d’une conférence de presse organisée à Kiev le 5 juin, le président Volodymyr Zelensky a alerté sur le danger d’un blocage prolongé et le risque d’une grave crise alimentaire à l’échelle mondiale. « Actuellement, entre 20 et 25 millions de tonnes de céréales sont bloquées et cet automne ce chiffre pourrait augmenter à 70 à 75 millions de tonnes », assure-t-il. Il est urgent pour l’Ukraine de vider les silos et permettre aux navires marchands arrimés à quai de prendre le large. Au cours de cette même allocution, le dirigeant ukrainien a précisé qu’une reprise du trafic maritime permettrait d’exporter plusieurs millions de tonnes par mois et de relâcher un peu la pression sur les prix de certaines denrées alimentaires. Toujours selon Volodymyr Zelensky, « des millions de personnes pourraient mourir de faim si le blocus de la Russie se poursuit en mer Noire. »

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la Trompette dit...

« Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines… », déclare Matthieu 24 : 7. Il est également prophétisé que « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ».

Ces événements ne sont que des avertissements, des avant-gouts du pire temps de souffrance jamais connu par l’homme, également prophétisé dans Matthieu 24 (versets 21-22). Les pénuries et guerres deviendront beaucoup pires dans un avenir proche, jusqu’à ce qu’elles menacent l’existence de l’humanité toute entière. Mais cette même prophétie révèle comment toute la souffrance prendra fin et donne un espoir plus puissant que toutes les mauvaises nouvelles. La Trompette vous propose notre brochure gratuite L’Harmaguédon nucléaire est « à la porte » par Gerald Flurry.