L’administration Biden annonce un plan d’élimination progressive des voitures à essence

L’administration Biden a annoncé le 20 mars son plan visant à éliminer progressivement la majorité des véhicules à essence d’ici 2032. L’administrateur de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), Michael S. Regan, a qualifié les nouvelles règles de « normes technologiques les plus strictes en matière de pollution des véhicules jamais finalisées dans l’histoire des États-Unis ».

Prévus pour entrer en vigueur en 2027, ces plans exigent des constructeurs automobiles qu’ils réduisent les émissions et augmentent les ventes de véhicules électriques (VE) pour qu’ils représentent 56 pour cent des nouvelles ventes d’ici à 2032. Les entreprises qui s’y conformeront bénéficieront d’incitations fiscales.

Faible demande : Les concessionnaires automobiles du pays affirment que les nouveaux objectifs ne correspondent pas à la demande de véhicules électriques.

La règle finale de l’EPA reste trop agressive et bien en avance sur la demande des consommateurs. Notre expérience quotidienne avec les consommateurs nous rend très sceptiques quant à l’adoption des VE par les consommateurs, à un niveau proche de celui requis. L’infrastructure de recharge n’est pas prête, les incitations actuelles ne sont pas suffisantes et les prix élevés des VE excluront du marché des voitures neuves des millions de consommateurs, en particulier les Américains à faibles revenus.
—Mike Stanton, PDG de l’Association nationale américaine des concessionnaires automobiles

Pourtant, certains États, comme la Californie et le district de Columbia, prévoient de ne vendre que des véhicules à zéro émission d’ici à 2035.

Si les nouveaux plans de l’administration Biden n’interdisent pas les véhicules à essence, les constructeurs devront au moins devenir « neutres sur le plan technologique » pour respecter les normes d’émission. Cela signifie qu’ils devront vendre plus de voitures hybrides ou améliorer l’efficacité des moteurs à essence.

Contrôle du climat : Dans l’article « De quoi l’Accord de Paris sur le climat s’agissait en réalité  », le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, écrit que les réglementations gouvernementales sur le climat ne visent pas à protéger l’environnement, mais à prendre le contrôle de la population :

Ces « écologistes » parlent comme si la communauté scientifique est d’accord à l’unanimité que la réduction des émissions de dioxyde de carbone est la solution, et que si nous ne prenons pas immédiatement des mesures, la planète est condamnée. La réalité est qu’il y a loin d’avoir un consensus scientifique sur ce point. (Lisez notre article « Effet de Serre—Apocalypse  »). En fait, les exemples de fraudes scientifiques prouvant supposément un changement climatique causé par l’activité humaine abondent.

Pourquoi les scientifiques tromperaient-ils le public sur ce sujet ? Eh bien, si vous voyez qui est vraiment derrière tout ceci, vous comprenez que le véritable enjeu ici est le contrôle.

La réglementation environnementale donne beaucoup plus de pouvoirs aux bureaucrates. Les gouvernements les plus favorables à la lutte contre le changement climatique sont les socialistes, des gouvernements de type marxistes qui veulent tout contrôler.