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L'armée chinoise dépasse celle de l'Amérique, Merz critique Israël, et le roi Charles III ouvre le Parlement canadien
Le président Donald Trump augmente les dépenses militaires de l'Amérique. Mais il réduit les engagements de l'Amérique à l'étranger, en retirant des troupes et en encourageant d'autres pays à assumer la responsabilité de leur propre défense.
Après le conflit qui a opposé le Pakistan à l'Inde la semaine dernière, de nombreuses personnes s'interrogent :
Les forces armées chinoises surpassent-elles celles des États-Unis ? Le Pakistan utilisait un équipement fabriqué en Chine : l'avion J-10 et le missile PL-15 ont été utilisés pour la première fois en combat, et ils s'avèrent très performants. Geopolitical Futures a écrit :
« L'incident a démontré qu'après des années de recherche et des milliards de dollars d'investissements, la Chine devient de plus en plus compétitive dans le domaine de l'aviation et de l'avionique. Ces développements redéfinissent désormais les perceptions de l'armée chinoise alors qu'elle projette sa puissance à travers le Pacifique. »
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La marine chinoise est désormais la plus grande du monde, comptant 400 navires de guerre.
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Son armée de l'air compte 2 000 chasseurs, contre 1 700 pour les États-Unis.
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Elle a construit 100 nouvelles armes nucléaires en 2023, portant son arsenal nucléaire à 600 ogives.
Ces chiffres ne reflètent pas les différences de qualité. En général, l'Amérique est à l'origine des nouvelles avancées que la Chine copie. Cela donne plus de systèmes avancés aux États-Unis, mais la Chine peut rattraper son retard à un prix nettement plus bas.
La Chine vise également à contrecarrer les systèmes de l'Amérique en utilisant des mesures moins chères. Par exemple, elle a investi dans des « missiles tueurs de porte-avions » conçus pour détruire la flotte américaine de porte-avions, sans égal dans le monde. Les performances du matériel chinois lors du bref conflit entre le Pakistan et l'Inde montrent que la Chine peut produire un équipement de haute qualité.
« La Chine intimide les nations de l'Asie du Sud-Est pour les soumettre à sa volonté », a averti M. Flurry en 2016. « Elle les contraint à faire ce qu'elle veut. Tout va dans le sens de la guerre. » Cet article, « La Chine dirige le monde vers la guerre », indique comment la Chine a de plus en plus la volonté et la capacité de s'opposer aux États-Unis.
Le chancelier allemand Friedrich Merz critique Israël pour son opération militaire à Gaza. Lundi, il a déclaré que cela « causait des souffrances à la population civile » d'une manière qui « ne peut plus être justifiée par la lutte contre le terrorisme du Hamas ». Il a ajouté : « Le gouvernement israélien ne doit rien faire que même ses meilleurs amis ne sont plus prêts à accepter. »
C'est une critique inhabituellement forte de la part de l'Allemagne. Comme l'a noté M. Merz, l'Allemagne doit être « plus réservée que tout autre pays dans le monde » lorsqu'elle s'exprime contre Israël. Mais il a déclaré que les prétendues violations du droit humanitaire international nécessitent d'être condamnés. Le gouvernement allemand déclare que Gaza et la Cisjordanie appartiennent aux Palestiniens et doivent donc faire partie d'un futur État palestinien. Les actions actuelles d'Israël compromettent cet objectif.
L'Allemagne est le plus grand fournisseur d'armes d'Israël après les États-Unis. Mais, bien que l'Allemagne prétende être l'un des « meilleurs amis » d'Israël, sa solution proposée est un piège mortel. Si Israël n'est pas autorisé à éliminer le Hamas de la bande de Gaza, accepter une solution à deux États signifie avoir un État terroriste en tant que voisin permanent.
« Aujourd'hui, les Arabes vivent dans à peu près la moitié de Jérusalem. Ils ne le contrôlent pas encore », écrivait Gerald Flurry . Mais, a-t-il poursuivi, « Dieu a donné toute la ville de Jérusalem aux Juifs, et à cause de leurs péchés, Il va donner leur pays à l'ennemi. » La quasi-totalité du monde pousse Israël à accepter cette issue. Mais au lieu de se tourner vers Dieu dans un esprit de repentance, Israël essaie de résoudre ce grave problème tout seul — ou pire encore, avec l'aide de son ennemi historique.
Le roi du Canada, Charles III, a ouvert le Parlement lors d'un discours historique mardi. C'est seulement la troisième fois que le monarque britannique ouvre personnellement le Parlement canadien. Les deux autres ont été présidées par la mère de Charles, la reine Elizabeth II, en 1957 et en 1977.
Le roi a visité le Canada à la demande du nouveau Premier ministre, Mark Carney. La visite est présentée comme une manière d'établir la souveraineté du Canada face au désir de Donald Trump d'intégrer le Canada aux États-Unis. La présence de Charles vise à montrer que « le Canada n'est pas à vendre ». Ainsi, le gouvernement libéral utilise tous les moyens possibles pour créer un événement grandiose. M. Carney a déclaré dans un communiqué :
« La visite royale est un rappel du lien qui unit le Canada et la couronne, un lien forgé au cours des générations, façonné par des histoires communes et fondé sur des valeurs partagées. »
Tout cela est de l'hypocrisie. Les libéraux et le gouverneur général ont passé des années à attaquer, à insulter et à effacer l'histoire, la réputation et l'autorité constitutionnelle de la couronne. En réalité, cette visite expose l'agenda du gouvernement libéral pour saper ce trône.
Le Canada est une nation en crise, et en réalité, l'histoire de ce trône indique aux Canadiens les solutions à leurs afflictions. Abraham Blondeau a un excellent article dans le prochain numéro de la Trompette, qui dévoile le véritable agenda de l'administration Carney par rapport au trône britannique.
Il semble que ce que nous pensions savoir sur les faux, était faux : Francesca Gino est une éminente spécialiste des sciences du comportement, bien connue pour ses travaux sur l'éthique et ses recherches sur les raisons qui poussent les gens à mentir et à tricher. Le problème, c'est qu'elle mentait et trichait.
En 2021, les chercheurs avaient identifié des données frauduleuses dans plusieurs études de Gino s'étalant sur plus d'une décennie. Après une enquête de 18 mois qui a confirmé les résultats, Harvard l'a placée en congé sans solde en juin 2023. Elle a déposé une plainte de 25 millions de dollars, affirmant qu'il s'agissait d'une « campagne de diffamation ». Un juge fédéral a rejeté ses allégations, et cette semaine, Harvard lui a retiré son titre. Gino maintient son innocence.
Les travaux de Gino ont été publiés dans plusieurs revues scientifiques ; c'est le genre de travail qui est cité et référencé dans les journaux et dans les émissions d'actualité. Il y a quatre ans, elle a donné une conférence TED très appréciée et a écrit un livre acclamé. Mais elle a vendu de l'erreur.
Un article de l'Atlantic datant de novembre dernier et consacré à Gino abordait le problème plus vaste de la « science » de la psychologie des affaires — l'étendue des données manipulées, l'absence des chaînes de contrôle, l'intérêt personnel des revues à ignorer les manipulations et d'autres fraudes académiques. La science se présente comme un fait indiscutable, mais malheureusement, ce genre de fraude est beaucoup trop courant. Comme l'a dit Ronald Reagan, nous savons beaucoup de choses qui ne sont pas vraies.
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