Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

L’espion le plus nuisible de l’histoire des États-Unis libéré de prison

LA TROMPETTE

L’espion le plus nuisible de l’histoire des États-Unis libéré de prison

L’espionne cubaine la plus efficace, connue pour avoir pénétré les services de renseignement des États-Unis a été libérée d’une prison fédérale à Fort Worth, au Texas, le 6 janvier, après avoir purgé 21 ans de sa peine de 25 ans.

Ana Montes, une analyste principale à l’Agence du renseignement de la défense des États-Unis, a été arrêtée en 2001 pour avoir révélé les noms de deux agents secrets du renseignement américain et pour avoir reçu des messages chiffrés du gouvernement cubain. Le journaliste d’investigation Jim Popkin, auteur de Code Name Blue Wren : The True Story of America’s Most Dangerous Female Spy―and the Sister She Betrayed [Nom de code troglodyte bleu : l'histoire vraie de la plus dangereuse espionne américaine et de la sœur qu'elle a trahie], a déclaré à ABC News que Montes a parlé avec sa famille et qu’elle va probablement s’installer à Porto Rico, où de nombreuses personnes la considèrent comme une héroïne.

Troglodyte bleu : Au cours de ses deux décennies de carrière à Washington, Montes a remporté des citations et des prix pour son travail en tant que responsable de l’Agence du renseignement de la défense du bureau de Cuba. Certains collègues l’ont même appelée la « reine de Cuba », et pourtant, en dehors des heures de bureau, elle partageait des informations classifiées avec l’agence de renseignement du dictateur cubain Fidel Castro.

La vérification des antécédents de Montes par le Bureau fédéral d’enquête n’aurait pas permis de déceler ses sympathies socialistes ou son mépris pour la politique étrangère des États-Unis, si bien qu’elle a obtenu une habilitation de sécurité top secrète. Les secrets qu’elle a transmis à Cuba dans les années 1980 et 1990 ont aidé Castro à mettre en place des régimes anti-américains au Nicaragua et au Salvador. C’est pourquoi Jim Popkin et d’autres l’ont qualifiée de « l’une des espionnes les plus dangereuses de l’histoire des États-Unis ».

« L’État profond » : Un responsable de l’Agence nationale de sécurité a fini par démasquer Montes avant son arrestation en 2001, mais des questions subsistent quant à l’étendue des connaissances de ses supérieurs sur ses activités secrètes. Le directeur de la sécurité nationale sous Barack Obama, James Clapper, a dirigé l’Agence du renseignement de la défense de 1991 à 1995. Michael Waller, analyste principal en stratégie au Center for Security Policy [Centre pour la politique sécuritaire], pense que Clapper « a protégé Montes lorsqu’il dirigeait l’Agence du renseignement de la défense ». Après tout, il s’agit du même Clapper qui, selon Waller, « a subrepticement obtenu des laissez-passer pour que les principaux officiers de renseignement militaire russes se promènent au Pentagone ». Et c’est aussi le même Clapper qui a collaboré avec des sympathisants communistes connus, Barack Obama et John Brennan, dans leur tentative de faire accuser le président Donald Trump de crimes qu’il n’a jamais commis.

Centre d’espionnage : Herbert W. Armstrong a commencé à avertir dans les années 1940 que les États-Unis étaient en train d’être infiltrés par des révolutionnaires communistes qui voulaient renverser la Constitution américaine. Montes était l’une de ces révolutionnaires, mais elle était loin d’être la seule. Obama, Brennan et Clapper se sont pliés en quatre pour rétablir les relations diplomatiques avec Cuba en 2014, tout en sachant que Cuba continuait d’espionner les États-Unis. En fait, deux ans avant l’accord dangereux et mortel d’Obama avec Cuba, un rapport de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants intitulé « Cuba’s Global Network of Terrorism, Intelligence and Warfare » [Le réseau mondial cubain de terrorisme, de renseignement et de guerre] déclarait : « Cuba est parfaitement situé pour être en liaison descendante pour toutes les communications américaines. C’est, en fait, le seul endroit dans l’hémisphère occidental, en dehors de Fort Meade, où l’interception à grande échelle des communications est possible. » Depuis des décennies, l’emplacement de Cuba en a fait une cible pour toute puissance étrangère qui veut espionner les États-Unis, et maintenant les dirigeants américains leur facilitent la tâche en laissant pratiquement la porte déverrouillée.

La prophétie dit : Dans une prophétie, Dieu compare l’Israël du temps de la fin à une vigne protégée de tous côtés. Les États-Unis ont été protégés au nord, au sud, à l’est et à l’ouest par des nations non menaçantes et des fortifications géographiques. Mais à cause des péchés du peuple, Dieu avertit : « Je vous dirai maintenant ce que je vais faire à ma vigne. J'en arracherai la haie, pour qu'elle soit broutée ; j'en abattrai la clôture, pour qu'elle soit foulée aux pieds » (Ésaïe 5 : 5). En 1979, le magazine prédécesseur de la Trompette, la Plain Truth [La pure vérité], a identifié la révolution de 1959 de Castro comme la première brèche dans la haie protectrice de l’Amérique. À la lumière de la valeur que Cuba a eue pour les ennemis de l’Amérique dans le passé, vous devez surveiller ce qui se passe à Cuba. Pour commencer, lisez le livre L’Amérique sous attaque du rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry. 

L'AMÉRIQUE SOUS ATTAQUE

La prophétie biblique vous aidera à comprendre la trahison dans notre pays.