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L’incroyable secret derrière le couronnement du roi Charles

Roi Charles III [WPA POOL/GETTY IMAGES]

L’incroyable secret derrière le couronnement du roi Charles

Un nuage sombre plane sur la famille royale, mais Dieu a un plan pour préserver la plus grande dynastie au monde !

Des millions, voire des milliards de personnes dans le monde entier suivront bientôt le couronnement du roi Charles III.  Ce sera probablement le plus grand événement médiatique depuis la mort de la Reine.

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Le monde entier aura les yeux rivés sur un ensemble de rituels vieux de plusieurs milliers d’années. La dernière fois que ces mêmes rituels ont été observés, c’était il y a 70 ans.

Origine du trône

En 1953, le magazine de Herbert W. Armstrong, Plain Truth (La pure vérité), a envoyé un correspondant pour couvrir le couronnement de la Reine. Voici un extrait de son article :

Une reine a été couronnée—celle de la plus ancienne dynastie régnante au monde ! ...

Pourtant, la véritable signification n’était pas l’aspect pompeux et cérémonial ni le rituel de l’Église d’Angleterre, auquel les Anglais s’accrochent pour se consoler de leurs problèmes. La véritable signification—et le fait le plus étonnant—est que sur le trône d’Angleterre siège un descendant de la plus ancienne dynastie régnante au monde—une dynastie que Dieu a établie et qu’Il a protégée et perpétuée à travers toutes les générations depuis près de 3 000 ans. ...

Le couronnement d’Élizabeth II a eu lieu dans l’abbaye de Westminster que Dick Armstrong et moi-même avons visitée l’été dernier. Entourée de dignitaires royaux dans l’abbaye, la Reine a été ointe, a reçu la toge royale, les joyaux de la couronne et a finalement été couronnée sur le célèbre trône du couronnement qui a été spécialement construit pour la pierre du destin—une pierre qui a été présente dans l’histoire documentée depuis 3 700 ans !

Connaissez-vous la signification de cette pierre ? Du trône d’Angleterre ? De cette dynastie que Dieu considère si importante qu’il l’a préservée pendant près de trois millénaires ?

Lors d’une visite à l’abbaye de Westminster, Dick Armstrong et moi-même avons vu cette intrigante pierre du destin, de couleur gris acier, mêlée de veines rouges, longue de 22 pouces (56 centimètres environ), large de 13 pouces (33 cm) et épaisse de 11 pouces (28 cm environ). Aux deux extrémités sont attachés deux anneaux de fer usés qui permettent de porter la pierre. Cette pierre n’est pas belle, mais elle est plus importante que tous les joyaux de la couronne !

Pourquoi ?

Quelle est la véritable raison pour laquelle Élisabeth II a dû être couronnée sur cette pierre ? Des siècles auparavant, les rois d’Écosse—les ancêtres de l’actuelle famille royale britannique—ont été couronnés sur cette pierre. C’est également sur cette pierre qu’ont été couronnés les anciens rois irlandais de cette même famille royale, même aussi loin que 5½ siècles avant la naissance de Jésus-Christ.

Pourquoi ? Quelle est la véritable signification de cette pierre ? D’où vient-elle ?

Les anciennes annales irlandaises prouvent que la pierre—qu’ils appelaient « Lia fail, » ce qui signifie pierre du destin—ne provenait pas d’Irlande, mais est arrivée de l’Orient, en passant par l’Espagne. Elle a été apportée par un vieil homme aux cheveux blancs—un prophète—qui a également amené la fille d’un roi oriental. Par son mariage avec le roi d’Irlande, elle a non seulement continué le trône de son père, mais est aussi devenue l’ancêtre d’une dynastie qui s’est poursuivie jusqu’à Élizabeth II, qui a été couronnée reine le 2 juin sur la pierre du destin.

Si vous vous rendez à l’abbaye de Westminster, vous verrez que cette pierre est appelée oreiller de Jacob ou la pierre du pilier de Jacob ! Croyez-le ou non, il s’agit de la pierre sur laquelle le patriarche Jacob a reposé sa tête ce soir-là, il y a environ 3 700 ans, alors qu’il fuyait la maison de son père !

Malheureusement, l’étiquette reliant cette pierre au patriarche Jacob a été retirée depuis, et la pierre elle-même a été renvoyée en Écosse. Cette pierre symbolisait le lien des descendants de Jacob—et ultimement de toute l’humanité—avec leur Créateur ! À une certaine époque, de nombreux Anglais se seraient battus jusqu’à la mort pour conserver cette pierre. Mais l’Angleterre l’a cédée, sans bruit ni fanfare, en 1996.

La Grande-Bretagne a oublié Dieu

Le formidable secret derrière le couronnement est que le roi Charles est un descendant direct du roi David. Mais le mépris de sa mère pour la pierre de Jacob et le mépris de sa famille pour son histoire avec Dieu ont des effets catastrophiques.

En 2016, la BBC a publié une magnifique brochure célébrant le 90e anniversaire de la reine Élisabeth : « Queen Elizabeth : 90 Glorious Years » (La reine Élisabeth : 90 années glorieuses). En commentant la mort de son père, le roi George VI, les rédacteurs de la BBC ont écrit : « Il y a 64 ans, la Grande-Bretagne était un pays presqu’inimaginablement différent en termes de perspectives, d’attitudes, de morale et d’éthique par rapport à aujourd’hui, sans parler de la technologie. Les sondages d’opinion réalisés au début des années 1960 ont montré qu’un tiers des personnes interrogées pensaient que la Reine avait été choisie par Dieu plutôt que par le droit de succession à son père. »

La cérémonie de couronnement sera imprégnée de références bibliques et de signification spirituelle. Un chœur interprétera l’hymne choral de Haendel « Tsadok le sacrificateur, » avec un texte tiré de 1 Rois 1 : 38-40 concernant l’onction de Salomon en tant que roi. Un documentaire sur le couronnement de la reine dit ceci à propos de l’onction d’Élizabeth avec de l’huile : « C’est une cérémonie si ancienne que l’histoire a du mal à remonter assez loin pour la comprendre. »

Selon l’ordre de service prépublié, le modérateur de l’Assemblée générale de l’Église d’Écosse remettra au roi une Bible, qu’il qualifiera de « chose la plus précieuse que ce monde puisse offrir. » « Ce sont les oracles vivants de Dieu, » dira le modérateur.

Dans le serment du couronnement, l’archevêque de Canterbury demandera au roi : « Voulez-vous, dans toute la mesure de vos moyens, maintenir les lois de Dieu et la véritable profession de l’Évangile ? Voulez-vous, dans toute la mesure de votre pouvoir, maintenir au Royaume-Uni la religion protestante réformée établie par la loi ? Maintiendrez-vous et préserverez-vous de manière inviolable l’établissement de l’Église d’Angleterre, sa doctrine, son culte, sa discipline et son gouvernement, tels qu’ils sont établis par la loi en Angleterre ? Conserverez-vous aux évêques et au clergé d’Angleterre, ainsi qu’aux églises qui leur sont confiées, tous les droits et privilèges qui leur reviennent ou leur reviendront en vertu de la loi ? Et il répondra : « Je promets de faire tout cela. »

Pourtant, pour de nombreux téléspectateurs, tout cela semblera étrange et exotique. La Grande-Bretagne n’a plus un tel respect pour la Bible ou pour Dieu ! Il existe un lien indiscutable entre la perte de la foi en Dieu et de Son lien avec la monarchie—et les changements massifs, pour le pire, dans « les perspectives, les attitudes, la morale et l’éthique » de la Grande-Bretagne. La Grande-Bretagne a perdu sa foi en Dieu et en son roi, et elle a perdu ses amarres morales en même temps !

La reine Élisabeth a également juré de maintenir la religion britannique. Ce qu’elle n’a pas fait. Cela ne veut pas dire que la religion protestante réformée est la seule vraie religion. Mais dans la mesure où elle suivait la Bible, la Grande-Bretagne a été bénie pour l’avoir maintenue. Aujourd’hui, cependant, la Grande-Bretagne est un bourbier de laïcité, de dangereuse confusion religieuse multiculturelle et de soumission à la religion de l’Europe à laquelle elle s’était autrefois fermement opposée. La reine a pris des mesures sans précédent pour se réconcilier avec le Vatican : visitant le pape Jean-Paul II à Rome, accueillant sa visite en Grande-Bretagne en 1982—le premier pape à le faire depuis la Réforme, l’autorisant à tenir des services communs (œcuméniques) avec l’archevêque de Canterbury et nommant un catholique romain comme son aumônier.

Le roi Charles est encore plus attaché aux religions étrangères que sa mère. Des fragments de ce que l’on prétend être la « Vraie Croix » offerte par le pape dirigeront l’ensemble du couronnement. En 1999, Charles a déclaré que s’il devait succéder au trône, il souhaiterait assumer le titre officiel non pas de « Défenseur de la foi, » comme l’ont fait des générations de monarques avant lui, mais de « Défenseur de foi » ”—protégeant ainsi toutes les religions en Grande-Bretagne. Il n’a pas donné suite à cette idée. Mais il a ajouté une section au couronnement : une salutation par les chefs religieux. Des représentants des juifs, hindous, sikhs, musulmans et bouddhistes de Grande-Bretagne salueront le roi immédiatement après le couronnement et le chant de l’hymne national. L’ordre du service prévoit qu’ils prononcent les paroles suivantes « Nous nous unissons aux personnes de toutes confessions et croyances dans l’action de grâce et dans le service avec vous pour le bien commun. »

Pour beaucoup de gens aujourd’hui, cela sonne juste. La société moderne a pratiquement gobé le mensonge selon lequel « la diversité est notre force. » Mais il suffit de regarder les résultats désastreux d’une telle pensée. Elle a laissé la Grande-Bretagne dépourvue de foi, matérialiste, divisée et vulnérable aux extrémistes étrangers. L’Église d’Angleterre a perdu son autorité morale, assouplissant ses normes sur toutes les questions brûlantes du moment—les femmes dans le clergé, les relations sexuelles avant le mariage, l’homosexualité. La monarchie, au lieu de s’efforcer d’empêcher le dérapage moral et de maintenir des normes pieuses, a simplement regardé le phénomène se produire et l’a même accompagné. La société britannique en a énormément souffert.

Tragique histoire récente et future

À un moment donné, la reine Élisabeth II a été chef d’État dans 32 pays autres que le Royaume-Uni. Dix-sept d’entre eux ont depuis revendiqué leur indépendance : la Barbade, le Sri Lanka, Fidji, la Gambie, la Guyane, le Kenya, le Malawi, Malte, la république de Maurice, le Nigeria, le Pakistan, la Rhodésie, la Sierra Leone, l’Afrique du Sud, le Tanganyika, Trinité-et-Tobago et l’Ouganda. Même parmi les 15 pays qui restent sous la monarchie, nombreux sont ceux qui font pression pour rejeter la couronne.

La Barbade a renoncé à la monarchie le 1er novembre 2021. Elle fait toujours partie du Commonwealth, mais s’est transformée en république et a supprimé le monarque en tant que chef d’État. Le roi Charles reste le chef d’État des petits pays des Caraïbes que sont Antigua-et-Barbuda, les Bahamas, le Belize, la Grenade, la Jamaïque, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Lucie et Saint-Vincent-et-les-Grenadines, ainsi que des petits pays du Pacifique que sont la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Îles Salomon et Tuvalu. Selon un sondage réalisé début mai, six de ces pays voteraient en faveur de l’abolition de la monarchie s’ils organisaient un référendum à ce sujet.

En Australie, 42 pour cent des personnes interrogées ont déclaré qu’elles voulaient devenir une république, tandis que 35 pour cent seulement souhaitaient conserver le monarque.

Au Canada, la suppression de la monarchie nécessiterait une réforme constitutionnelle et l’approbation du Parlement et des dix provinces, dont certaines sont très favorables à la monarchie. Néanmoins, le sondage a révélé que 47 pour cent des personnes interrogées souhaitaient couper les liens avec la monarchie, 23 pour cent seulement voulant rester avec le roi. Le Canada est doté d’un gouvernement radicalement libéral qui s’efforce d’apporter de nombreux changements radicaux.

Même l’Écosse, la nation qui a formé la Grande-Bretagne en s’unissant à l’Angleterre en 1707, fait pression pour se séparer ! Les Écossais ont demandé et obtenu un gouvernement décentralisé et leur propre parlement en 1998. En 2014, 45 pour cent d’entre eux ont voté en faveur d’une sécession complète. Le Royaume-Uni a quitté l’Union européenne en 2020, une sortie qui était et reste très impopulaire en Écosse. Le Scottish National Party (Parti national écossais), qui contrôle 80 pour cent des sièges au Parlement écossais, fait pression pour un nouveau référendum afin de rompre avec l’Angleterre et de réintégrer l’Union européenne.

Beaucoup de gens veulent demeurer dans le Commonwealth et rester liés au trône, mais il y a une force puissante qui pourrait l’emporter sur ce désir. Cette force a activement détruit la source de la force et de l’influence positive du trône britannique sur le monde : son lien avec le roi David et la Bible, et son obéissance à Dieu !

Par leurs décisions et leur comportement, les membres de la famille royale britannique—descendants de David—ont conduit la Grande-Bretagne à rejeter « le don le plus précieux que ce monde puisse offrir » et à désobéir et à méconnaître le Dieu du roi David ! La monarchie a toujours eu des défauts, mais jamais, jusqu’à ces dernières décennies, elle n’avait intentionnellement dévalorisé le trône de David. Il y a quelques générations, les Britanniques se seraient battus et seraient morts pour conserver la pierre du destin et tout ce qu’elle symbolise. Mais en 1996, la Reine et le Parlement ont rendu cette précieuse pierre à l’Écosse, révélant ainsi la dégénérescence de leur foi.

Le gouvernement britannique a permis à 17 pays de rejeter la monarchie, et la Reine a même félicité la Barbade de l’avoir fait. Les membres de la famille royale britannique, occupés à réinventer et à « moderniser » la monarchie, sont en proie à des problèmes et à des scandales dans leur propre vie.

Le roi Charles lui-même a eu un mariage terrible et infidèle, il n’a pas fait preuve de leadership et il défend la fausse théorie du changement climatique. Il a indiqué qu’il libéraliserait encore plus la monarchie. Alors que l’Église d’Angleterre a déjà libéralisé presque tous les enseignements moraux, la Grande-Bretagne sera encore plus dépourvue de foi, divisée et vulnérable.

Pendant ce temps, le prince William et le prince Harry semblent plus intéressés par des relations avec des célébrités que par l’histoire et la source de la force du trône. Le prince Harry a épousé Meghan Markle, une actrice américaine féministe et divorcée qui l’a poussé à quitter la famille royale et à déménager en Californie. Depuis, les deux ont entamé une guerre civile contre la famille royale, en portant notamment des accusations de racisme.

Cette conduite qui sème la discorde accélère la désintégration de ce trône, de son importance et de son histoire qui a permis d’élever des vies dans le monde entier. Pourquoi une attaque aussi soutenue, et pourquoi se concentre-t-elle sur la moralité ? Parce que la morale biblique et l’histoire avec Dieu sont la source de la force du trône de David. C’est pourquoi le diable voue une haine particulière à la famille royale britannique. Il sait que l’histoire et la prophétie du trône de David contiennent le plan directeur de Dieu !

Mais il ne l’emportera pas. Dieu tiendra les promesses qu’Il a faites à Abraham et à David ! Il a déjà apporté un changement majeur, miraculeux et inspirant à ce trône afin de tenir ces promesses. Avant même que ces changements ne soient apportés à la cérémonie du couronnement, Il avait apporté un changement significatif à ce trône. Je vous encourage à en prendre connaissance dans mon livre gratuit Le nouveau trône de David. 

LE NOUVEAU TRÔNE DE DAVID

Un changement spectaculaire dans la manière dont Dieu s’occupe de ce trône montre combien est proche le moment où Jésus-Christ Lui-même y sera assis !