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La croisade pour annuler le Canada

ISTOCK.COM/FRANCKREPORTER

La croisade pour annuler le Canada

La véritable identité du pays est presque perdue.

C’est la deuxième année consécutive que les célébrations de la fête du Canada sont annulées à travers le pays. L’an dernier, la nation était en émoi à la suite de la découverte présumée de restes d’enfants dans un pensionnat de Kamloops, en Colombie-Britannique, ce qui a entraîné l’annulation de la fête du Canada et la mise en berne du drapeau pendant plus de six mois. Il a été prouvé que les tombes anonymes étaient un canular, mais le gouvernement et les médias de la gauche radicale continuent de soutenir ce récit.

De nombreuses villes ont annoncé qu’elles souffraient de problèmes budgétaires et ont choisi d’annuler les activités de la fête du Canada. À Ottawa, la capitale du pays, les célébrations ont été déplacées de la colline du Parlement en raison des travaux de construction, même si le nouvel emplacement se trouvait à côté d’un projet de construction apparemment plus dangereux que celui qui se trouvait devant le Parlement.

Dans certains endroits, la fête du Canada a été complètement éradiquée. À Winnipeg, où une foule de manifestants a arraché et profané les statues des reines Victoria et Elisabeth II le 1er juillet de l’année dernière, la fête du Canada est désormais connue sous le nom de « A New Day » [Un nouveau jour]. Les célébrations souligneront les traditions autochtones et seront « à la fois représentatives et festives ».

Ce thème des événements et de la planification axés sur les Autochtones se déroule également à Vancouver, Saskatoon, Halifax, Ottawa et bien d’autres villes. L’effort pour « reconstruire » la fête du Canada est une démonstration très publique de l’efficacité du faux récit concernant l’histoire et l’identité canadiennes. En 1982, le Premier ministre Pierre Trudeau a changé la « fête du Dominion » en la « fête du Canada ». Combien d’années encore avant que la fête du Canada ne soit complètement effacée ?

La Trompette a mis en garde contre la façon dont le gouvernement gauchiste radical du Premier ministre Justin Trudeau veut faire du Canada le premier pays post-national, c’est-à-dire une nation qui n’a pas d’identité ou de caractéristique unificatrice. Cela fait partie du programme communiste de la gauche radicale. « Reconstruire le Canada » transforme fondamentalement le Canada en un État communiste.

L’effacement de l’histoire et des traditions britanniques est au cœur de ce programme. Le passé est en train d’être révisé pour présenter le Canada comme une nation systématiquement raciste née du colonialisme britannique. Le passé colonial est coupable de crimes contre l’humanité, de génocide culturel, de lois intrinsèquement biaisées contre les minorités raciales, et d’institutions qui promeuvent la supériorité raciale des Blancs. En raison de cette conception, tous les Canadiens appartenant à une minorité non raciale et toutes les institutions qui ont existé portent désormais la culpabilité collective de ces péchés. C’est de la propagande et du révisionnisme à l’extrême.

Bien que les premiers colons britanniques et le gouvernement canadien aient commis de nombreuses erreurs tragiques, dont les pires sont la gestion des pensionnats et le fait d’avoir permis à l’Église catholique d’abuser de nombreux enfants autochtones, cela ne justifie pas une culpabilité éternelle ou le démantèlement d’institutions qui ont permis la liberté et la prospérité. Le racisme est une réalité, mais il n’est pas inscrit dans l’ADN des Canadiens. Ce faux récit est utilisé pour justifier une attaque communiste contre le Canada. La gauche radicale gagne cette guerre culturelle depuis plus de 40 ans, et le gouvernement de Justin Trudeau tire la prochaine salve vers les écoliers canadiens.

Le Blacklock’s Reporter a écrit le 30 juin : « Le Cabinet a approuvé hier une brochure pour les écoliers, financé par les contribuables, qui qualifie le drapeau du Red Ensign [l’ancien drapeau du Canada] de symbole de haine et identifie nommément le Parti conservateur comme la cible d'une ‘infiltration’ par des racistes. » Cette brochure produite par le gouvernement fait partie d’une « boîte à outils de valeurs » qui a été produit par l’Anti-Hate Network [Réseau contre la haine], une tierce partie parrainée par le gouvernement qui surveille l’Internet à la recherche de tout ce qui est considéré comme raciste ou extrême. Le gouvernement canadien a dépensé 268 400 dollars pour aider à produire cette brochure et a dépensé près de 100 millions de dollars pour financer des projets similaires.

L’Anti-Hate Network se dit non partisan, mais considérez qui l’a aidé à produire cet ensemble. Selon son site Web : « Ce programme éducatif a été développé en partenariat avec le Western States Center [Centre des États de l’Ouest], l’une des principales organisations américaines qui lutte contre le nationalisme blanc. » Le Western States Center a produit une boîte à outils similaire pour les écoles américaines en 2019. L’organisation est financée par la Fondation de Bill et Melinda Gates, la Fondation Ford, le New Venture Fund [Fonds pour une nouvelle initiative], qui est contrôlé par Arabella Advisors [Conseillers Arabella], fondé par un ancien membre de la fondation Clinton, Eric Kessler, la Fondation Rockefeller, et une demi-douzaine d’autres organisations à but non lucratif qui soutiennent l’avortement. Le Western States Center a soutenu des manifestations de la gauche radicale dans le nord-ouest des États-Unis.

La brochure de 51 pages s’intitule « Confronter et prévenir la haine dans les écoles canadiennes : Une trousse à outils. Lisez le résumé de son contenu et considérez que c’est ce qui entrera dans les esprits de millions d’enfants au Canada cet automne.

La brochure cite le nationalisme et la suprématie blancs, et inclut comme exemples du discours de haine les personnes qui pensent que l’idéologie transgenre est une attaque contre la famille, et celles qui pensent que le féminisme ou l’idéologie transgenre ont nui à la société. La brochure identifie de nombreux groupes néo-nazis ou racistes réels, tout en employant des définitions larges qui peuvent être interprétées comme tout ce qui remet en cause un programme progressiste. Ils préviennent même que le Parti conservateur est vulnérable à l’infiltration raciste, écrivant : « Ils tentent parfois d’infiltrer les partis politiques conservateurs traditionnels pour influencer le changement. »

Elle comporte un certain nombre de pages encourageant les élèves à surveiller les autres, à enregistrer ce qu’ils disent et à rassembler des preuves ; il encourage même les administrateurs scolaires à fouiller dans les téléphones et les ordinateurs des élèves pour voir ce qu'ils ont visité. Elle encourage les enseignants à surveiller et à contrôler les livres et les sites Web que les enfants lisent. Si les parents et les enseignants doivent absolument surveiller et contrôler ce à quoi les enfants ont accès, il ne s'agit pas de les protéger des médias pervers ; mais de contrôler les idées qui entrent dans l'esprit des enfants et de s'assurer qu'elles sont conformes au spectre de la gauche radicale.

Ils énumèrent quelques exemples de choses à surveiller, notamment un enseignant qui souhaite un « mois de l’histoire européenne », un étudiant qui plaide en faveur de la construction d’un mur à la frontière comme celui de Donald Trump, et des étudiants qui demandent pourquoi il n’y a pas de « mois de la fierté hétéro » ou de « mois de l’histoire blanche ». Il s’agit d’étiqueter ouvertement Donald Trump et ses partisans comme des suprématistes blancs et de fermer tout débat contre le programme progressiste.

Il existe également une page sur la manière de contrer la propagande haineuse. On y parle de « liberté d’expression » et de contestation du « politiquement correct par des guerriers sociaux ». Tout cela fait partie de la tentative d’amener les enfants à contester le principe de la liberté d’expression si le discours ne correspond pas à leur politique ou à leur idéologie. Il s’agit également de préparer les jeunes à accepter la justice sociale comme un antiracisme, alors que la majeure partie du mouvement a été détournée par le mouvement communiste.

Après une section sur les « Mèmes d’extrême droite », on trouve une section sur les « symboles incitant à la haine ». Le tout premier symbole présenté est le Red Ensign, le drapeau du Canada avant que le Premier ministre Lester Pearson ne le change en 1965. C’était sous ce drapeau que le Canada combattait pendant les deux guerres mondiales. L’emblème présente un motif similaire à celui des armoiries britanniques et du Royal Standard, le drapeau représentant la famille royale, avec les trois fleurs de lys pour représenter le Québec et trois feuilles d’érable en dessous. Le Red Ensign représente le lien du Canada avec la famille royale et la Grande-Bretagne. Pourtant, la brochure indique que « son utilisation à l’époque moderne est un indicateur de croyances favorisant la haine ». Elle énumère ensuite six symboles d’extrême droite, dont les symboles nazis des SS, faisant en lien dans l’esprit des enfants entre le patrimoine britannique et le nazisme. Selon leur version de l’histoire, les deux sont coupables de génocide.

Cette brochure est un exemple flagrant de propagande gouvernementale qui s’apparente plus à la Corée du Nord qu’à une société démocratique. Comme l’explique le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, dans L’Amérique sous attaque , les communistes ont déjà pris le contrôle des institutions éducatives des nations anglophones. Cet endoctrinement de la gauche radicale vise les enfants canadiens, les dirigeants de demain. La gauche radicale est sur le point de remporter une victoire totale dans l’effacement de l’histoire et des traditions canadiennes.

Pourquoi le Canada devrait-il se souvenir de son histoire et de ses traditions ? Pourquoi faut-il que nous nous accrochions à des symboles comme le Red Ensign et ne pas les effacer ? La vraie raison n’a rien à voir avec la race ou la croyance que l’héritage britannique et européen est supérieur aux autres. L’histoire et les traditions canadiennes nous orientent vers le Dieu de la Bible.

Vers 1800, le monde a changé. La Grande-Bretagne est devenue un empire mondial et l’Amérique a commencé son ascension en tant que superpuissance mondiale. Ces bénédictions ne sont pas le résultat de la race, de l’exceptionnalité ou d’une quelconque supériorité des peuples britannique et américain. Ces formidables bénédictions de puissance et de prospérité nationales ont été données en raison de l’obéissance du patriarche Abraham, dont la Grande-Bretagne et l’Amérique sont les descendants. Toutes les bénédictions dont nous jouissons aujourd’hui au Canada sont dues à l’accomplissement par Dieu de ses promesses à Abraham. L’identité biblique du Canada peut aider les gens à développer une relation avec Dieu.

La gauche radicale communiste déteste Dieu et attaque ce lien avec la Bible. La Bible a prophétisé l’incroyable abondance et la paix dont le Canada a bénéficié, mais elle prophétise également des malédictions si nous nous détournons de Dieu en nous rebellant. Cela inclut cette attaque contre notre histoire et notre identité.

Il y a un livre que vous devriez lire le jour de la fête du Canada. Le regretté Herbert W. Armstrong a écrit l’ouvrage classique Les Anglo-Saxons selon la prophétie , qui explique en détail toutes les prophéties de la Bible concernant toutes les bénédictions et les bonnes choses dont nous jouissons au Canada. Nous pouvons utiliser la fête du Canada pour être reconnaissants pour toutes ces bénédictions et célébrer la fidélité et la grandeur de Dieu dans l’accomplissement de ses promesses. M. Armstrong a écrit :

Ce qui est stupéfiant, c’est que les États-Unis et la Grande Bretagne sont les seuls pays qui, bien que quasi-inconnus avant 1800, ont commencé à jouir brusquement, en l’espace de quelques années, des plus fabuleuses richesses et de la plus grande puissance économique qu’un peuple ait jamais possédées. Les îles britanniques devinrent la Grande-Bretagne—un immense Commonwealth, incroyablement prospère, composé d’une multitude de nations—les États-Unis, quant à eux, devinrent la plus grande nation de l’histoire.

Plus étonnant encore, sont les faits incroyablement choquants du présent—comment—et pourquoi—ils sont en train de perdre leurs bénédictions encore plus vite qu’ils ne les ont reçues !

Pourquoi ? Les faits incroyables, les raisons, et l’avenir de ces nations, c’est ce que nous verrons maintenant !

Lisez Les Anglo-Saxons selon la prophétie pour comprendre cette incroyable prophétie et ce que vous pouvez faire concernant les malédictions qui frappent le Canada aujourd’hui.

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