La fin de l’argent liquide : un assaut contre la liberté en Europe

Le 7 décembre, le Conseil européen a approuvé une limite maximale à l’échelle de l’Union européenne de 10 000 euros (environ 10  600 dollars américains) pour les paiements en espèces. Une semaine plus tard, le principal régulateur allemand a appelé à une réglementation mondiale du secteur des crypto-monnaies « pour protéger les consommateurs, empêcher le blanchiment d’argent et préserver la stabilité financière », a rapporté Reuters.

L’objectif est clair : suivre ce que les gens dépensent.

Les terroristes et ceux qui les financent ne sont pas les bienvenus en Europe. Afin de blanchir l’argent sale, les individus et les organisations criminels ont dû chercher des vides juridiques dans nos règles existantes, qui sont déjà assez strictes. Mais notre intention est de combler ces lacunes et d’appliquer des règles encore plus strictes dans tous les États membres de l’UE. Les gros paiements en espèces de plus de 10 000 euros deviendront impossibles. Il sera beaucoup plus difficile d’essayer de rester anonyme lors de l’achat ou de la vente de crypto-actifs. Se cacher derrière de multiples couches de propriété de sociétés ne fonctionnera plus. Il deviendra même difficile de blanchir de l’argent sale via des bijoutiers ou des orfèvres.
—Zbyněk Stanjura, ministre des Finances de la République tchèque.

Un euro numérique : Seulement un mois plus tôt, le 7 novembre, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, s’est dit favorable à l’introduction d’un euro numérique. Entre-temps, la Banque centrale européenne se prépare à lancer une monnaie numérique de banque centrale (CBDC).

Nous ne savons pas qui utilise un billet de 100 dollars aujourd’hui, et nous ne savons pas qui utilise un billet de 1 000 pesos aujourd’hui. La principale différence avec la CBDC est que la banque centrale aura un contrôle absolu sur les règles et les réglementations qui détermineront l’utilisation de cette expression de la responsabilité de la banque centrale, et nous disposerons également de la technologie pour la faire respecter.
—Agustín Carstens, directeur général de la Banque des règlements internationaux.

Le contrôle absolu dans la prophétie : Apocalypse 13 : 17 prévient : « Personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête, ou le nombre de son nom. » Cette prophétie a fait l’objet de nombreuses spéculations au fil des ans. Même si nous approchons de son accomplissement final, peu de gens savent ce qu’est réellement la « marque de la bête ». Ce mystère est expliqué dans Qui est, ou qu'est-ce que, la bête prophétique ? par Herbert W. Armstrong.