Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

La guerre de la désinformation

FABRICE COFFRINI/AFP/ VIA GETTY IMAGES, PATRICK PLEUL/POOL/AFP/ VIA GETTY IMAGES, PAUL ELLIS/AFP VIA GETTY IMAGES, GETTY IMAGES

La guerre de la désinformation

Les gauchistes radicaux ne veulent pas d’un débat que-les-meilleurs-fait-gagnent. Ils veulent le pouvoir.

La guerre culturelle est désormais un conflit ouvert à l’échelle nationale. Les révolutionnaires ont pris et consolidé le pouvoir sur les médias d’information et les médias sociaux. Ils utilisent ce pouvoir pour fracasser la tradition, la religion, l’histoire, la famille, l’enfance et même la biologie, se rebellant ainsi contre la réalité elle-même. Et ils utilisent leur pouvoir pour censurer les personnes qui s’opposent à eux.

Maintenant, ils s’en prennent contre l’existence même de la liberté d’expression.

En réaction à la censure radicale des technologies, l’entrepreneur Elon Musk, l’homme le plus riche au monde, a conclu un accord en avril pour acheter Twitter. Une lutte est actuellement en cours pour empêcher cet achat de se produire.

M. Musk est un utilisateur actif de Twitter depuis des années et a déclaré qu’il considérait que ce réseau était peut-être la meilleure « place publique » du monde, un moyen d’échanger et de débattre librement des idées. Il se considère comme un libéral modéré, délaissé par ses collègues libéraux ces dernières années, qui sont devenus de plus en plus radicaux. Il a également remarqué, comme beaucoup d’autres, que Twitter semblait secrètement rejeter certaines personnes et idées, et même certains candidats politiques, tout en augmentant l’influence de l’autre camp.

Ce soupçon a été confirmé au monde entier après la fraude entourant l’élection présidentielle de 2020.

Les cadres de Twitter sont intervenus activement pour interdire des informations négatives mais vraies sur Joe Biden en octobre 2020, lorsque des informations obtenues légalement sur l’ordinateur portable de son fils ont été rendues publiques. Ils ont bloqué puis gelé le compte d’un très ancien, très grand et légitime éditeur de nouvelles, le New York Post, pour avoir rapporté l’histoire et ont empêché tous les utilisateurs de Twitter de partager cette information. Plus tard, après lélection, le directeur général de Twitter, Jack Dorsey, a affirmé qu’il s’agissait d’une « erreur totale » et d’une « erreur de procédure » qui n’était « pas dirigée contre eux [le Post] d’une manière quelconque ». Il a fait cette déclaration après que Joe Biden était déjà installé à la Maison Blanche, et a refusé de répondre à un membre du Congrès qui demandait qui a pris la décision d’interdire cette information.

Les dirigeants de Twitter ont pris une mesure tout aussi radicale au début de 2021. Après l’apparition de preuves que l’élection de 2020 avait non seulement été injustement influencée par la couverture médiatique et la censure, mais aussi que des dizaines de milliers de votes réels avaient été manipulés, les Américains ont protesté, le président des États-Unis Donald Trump parmi eux. Ils ont exigé que les tribunaux, les législatures et les procureurs concernés enquêtent sur la fraude, disqualifient les votes illégaux et veillent à ce que l’élection soit constitutionnelle—ou même simplement démocratique. Mais le grand vol s’est poursuivi, depuis le milieu de la nuit le soir même de l’élection, le 3 novembre, jusqu’à la certification par le Congrès, le 6 janvier. En fait, plus de 100 représentants et sénateurs américains étaient prêts à contester la certification en raison de preuves de fraude dans six États clés, mais ceux qui étaient derrière le grand vol s’attendaient à cela. La manifestation du 6 janvier est devenue indisciplinée et, dans certains cas, violente. Des preuves ont fait surface qui montrent que le gouvernement fédéral lui-même, par le biais du Bureau Fédéral du Renseignement (FBI), a contribué à provoquer ces émeutes pour discréditer l’opposition et forcer la certification. Cela a fonctionné.

Quelques heures plus tard, les censeurs de Twitter sont passés à l’acte, suspendant effectivement le compte du président, le bloquant de l’un de ses moyens de communication les plus utilisés. Le lendemain, l’ancienne Première dame Michelle Obama a demandé à Twitter de bannir définitivement le président. Twitter a obtempéré dans les 24 heures. Il a bloqué définitivement le compte du président Donald Trump, y compris toutes les publications antérieures, le coupant ainsi de ses 88 millions d’adeptes. (Joe Biden en avait 20 millions).

M. Musk a fait partie de ceux qui ont protesté contre la censure de style activiste de Twitter. Il n’était pas un partisan de Trump, ne pensait pas nécessairement qu’il était un bon président et avait des différends importants avec lui, notamment en s’opposant au retrait de l’Amérique des Accords de Paris sur le climat, une priorité majeure de Barack Obama et d’autres gauchistes. Bien qu’il ne soutienne pas Trump, Elon Musk a reconnu le fait évident que la liberté d’expression fait partie intégrante de la liberté elle-même. Il a qualifié d’insensée l’idée qu’une entreprise technologique bannisse de sa plateforme un président en exercice.

Aujourd’hui, M. Musk cherche à savoir s’il peut faire quelque chose à ce sujet. Il a déclaré que si son rachat de Twitter réussit, il veut rendre l’entreprise impartiale et transparente, et même révéler le code informatique sous-jacent afin que les utilisateurs puissent prouver par eux-mêmes comment les dirigeants de Twitter déterminent ce qu’ils voient, et s’ils réduisent artificiellement la portée de certains contenus et augmentent celle des autres. Il a ajouté qu’une autre priorité absolue était de se débarrasser des « bots ». Il s’agit de comptes Twitter automatisés utilisés pour promouvoir des produits ou des personnes, pour perpétrer des escroqueries monétaires et pour amplifier artificiellement certains points de vue. Cela aurait pour effet de révéler combien de personnes réelles soutiennent telle ou telle idée, et combien de comptes sont l’équivalent de faux bulletins de vote sur les réseaux sociaux.

M. Musk souhaite que les dirigeants de Twitter utilisent le contrôle qu’ils exercent sur la plateforme pour faire appliquer les lois en vigueur, mais outre cela il n’y a guère de règles supplémentaires. Dans une république constitutionnelle comme les États-Unis, si les gens veulent que quelque chose soit arrêté, ils créent une loi par l’intermédiaire de leurs représentants élus. M. Musk a déclaré que ce sont ces lois qui devraient régir ce qui peut être publié sur une plateforme de médias sociaux, et non un conseil de censure qui tient des idées radicales. C’est un cas clair et net pour la liberté d’expression.

Les gauchistes radicaux ne veulent pas cela.

Ils sont furieux ! Le plan d’action de nombre d’entre eux n’est pas que M. Musk échoue à introduire la liberté d’expression sur Twitter ; ils tiennent le propos qu’il va réussir, et que la liberté d’expression est mauvaise.

Un présentateur d’informations libéral et radical a déclaré que les changements apportés par M. Musk à Twitter « pourraient affecter le sort de la planète ».

« Si vous possédez l’intégralité de Twitter ou Facebook, ou de quoi que ce soit, vous n’avez pas à vous expliquer, vous n’avez même pas à être transparent. Vous pourriez secrètement interdire le candidat d’un parti, ou tous ses candidats, tous ses nominés. Ou vous pourriez simplement réduire secrètement la portée de leurs activités et augmenter la portée d’autres activités, et le reste d’entre nous ne le découvrira peut-être qu’après l’élection. » —Ari Melber, animateur sur MSNBC


Ils ont des raisons impérieuses de combattre Elon Musk et de continuer à nier la liberté d’expression sur Twitter et ailleurs. Que se passerait-il si les gens pouvaient discuter plus librement des effets indésirables des vaccins contre la COVID-19, des véritables effets de la pandémie de COVID-19 elle-même, de la corruption effrénée de la famille Biden et de la fraude massive de l’élection présidentielle de 2020 ? Leur emprise sur le pouvoir dépend de la censure de la vérité.

La Bible a prédit que, de notre vivant, la vérité serait jetée par terre par une influence organisée et malveillante. Mais elle promet également que tout secret sera révélé au grand jour.

Les libéraux craquent

L’animateur de MSNBC Ari Melber a déclaré : « Si vous possédez l’intégralité de Twitter ou Facebook, ou de quoi que ce soit, vous n’avez pas à vous expliquer, vous n’avez même pas à être transparent. Vous pourriez secrètement interdire le candidat d’un parti, ou tous ses candidats, tous ses nominés. » Il a poursuivi : « Ou vous pourriez simplement réduire secrètement la portée de leurs activités et augmenter la portée d’autres activités, et le reste d’entre nous ne le découvrira peut-être qu’après l’élection. »

M. Melber et ses amis radicaux de gauche de MSNBC ont agi comme s’il n’avait aucune idée que le monde sait que c’est exactement ce que les censeurs de Twitter ont ouvertement fait autour de l’élection historique de 2020 ! Twitter a complètement bloqué les informations légitimes et légales concernant l’ordinateur portable du fils de Joe Biden, et il a banni de manière permanente le président des États-Unis en exercice, Donald Trump.

C’est de la « rectitude politique » tardive. C’est de la censure radicale en faveur d’une culture.

Des employés de Twitter ont déjà été filmés en train d’admettre que l’entreprise « bannit secrètement » les conservateurs et signale les messages contenant des mots comme « Dieu » ou « Amérique ». Après l’annonce de l’acceptation de l’offre initiale de M. Musk, les dirigeants de Twitter semblent avoir modifié leurs algorithmes pour réduire l’ampleur de la manipulation de l’information. Des conservateurs éminents ont soudainement constaté qu’ils avaient beaucoup plus de partisans, et des libéraux éminents qu’ils en avaient beaucoup moins.

Censurer vos adversaires ne prouve pas qu’ils aient tort. Cela prouve seulement que vous craignez ce qu’ils pourraient dire. C’est pourquoi les gauchistes radicaux et les propagandistes des médias explosent de colère contre Elon Musk. Ils projettent sur lui leurs propres crimes.

M. Musk affirme que les discours ne devraient être régis que par les lois adoptées par les représentants démocratiquement élus. Mais certaines personnes, comme Elizabeth Warren, une sénatrice américaine, affirment que c’est « dangereux pour la démocratie ».

Pourtant, faire de Twitter une machine de propagande alignée sur les démocrates ? Ce n’est pas dangereux pour la démocratie, dirait-elle, car elle est démocrate.

Les gauchistes comme Mme Warren craignent non seulement que Twitter reflète désormais les opinions réelles des gens avec un ratio 1 sur 1, mais ils craignent aussi de voir révélé au grand jour ce que Twitter faisait dans le passé.

On pourrait penser que les sénateurs et autres politiciens, ou surtout les journalistes, même s’ils sont démocrates, éviteraient de s’attaquer avec véhémence à une valeur aussi fondamentale et chère que la liberté d’expression. Mais nous sommes maintenant dans les stades avancés de la guerre culturelle. Les gauchistes radicaux sont profondément engagés dans leur longue marche de destruction des institutions américaines.

Le magazine Time a récemment publié un article intitulé « Elon Musk and the Tech Bro Obsession With ‘Free Speech’ » [Elon Musk et l’obsession des Tech Bro pour la ‘liberté d’expression’]. Cet article affirmait en fait que la liberté d’expression est raciste : « La rhétorique technologique autour de la liberté d’expression est devenue une obsession des membres de l’élite technologique, composé majoritairement des hommes blancs, qui ont gagné leurs milliards au cours des décennies avant qu’une diversification rapide de la main-d’œuvre n’ait changé la culture de la plupart des grandes entreprises de la Silicon Valley » (29 avril).

Même les élites technologiques californiennes—dont la plupart votent pour les démocrates, et dont beaucoup font la promotion des démocrates, font des dons aux démocrates et utilisent la liberté d’expression pour amplifier les politiques démocrates—sont racistes si elles sont favorables à la liberté d’expression.

Joy Reid, de MSNBC, a accusé Elon Musk de militer pour la liberté d’expression parce qu’il veut ramener l’ère de l’apartheid de son Afrique du Sud natale. Vous avez bien lu. M. Musk est un milliardaire libéral qui consacre une grande partie de sa fortune à la lutte contre le changement climatique et qui a soutenu Barack Obama. Mais il veut la liberté d’expression sur Twitter, alors maintenant les forces d’attaque libérales le traitent de raciste blanc.

George Soros, qui depuis des décennies utilise ses milliards pour détruire la Constitution et les traditions de l’Amérique, a utilisé son Initiative des marchés ouverts pour, ironiquement, tenter de bloquer le rachat de Twitter par Elon Musk. Les activistes, dont beaucoup remontent très certainement à des gens comme M. Soros, ciblent les plus gros annonceurs de Twitter pour tenter d’intimider ou de contrecarrer M. Musk.

Une autre attaque contre l’acquisition a été lancée par 26 organisations non gouvernementales et groupes de défenseurs de droits qui ont signé une lettre le 3 mai exhortant les plus grandes marques du pays—dont Coca-Cola, Disney et Kraft—à boycotter Twitter si Elon Musk mettrait son projet à exécution. « Sous la direction de M. Musk, Twitter risque de devenir un cloaque de désinformation », peut-on lire dans leur lettre. « Vos dollars publicitaires peuvent soit financer le projet de vanité de M. Musk, soit lui demander des comptes. Nous vous demandons d’exiger de M. Musk qu’il respecte ces normes fondamentales de confiance et de sécurité de la communauté, et de retirer vos dépenses publicitaires de Twitter s’il ne le fait pas. »

M. Musk a répondu à cette lettre en demandant qui finance ces groupes. La réponse ? Les fondations Open Society de George Soros ; diverses organisations non gouvernementales fondées par d’anciens membres des administrations Clinton et Obama ; de riches donateurs démocrates ; des syndicats ; et, dans certains cas, les gouvernements de pays européens. Tous ces groupes de gauche sont unis par leur conviction que la liberté d’expression doit passer après l’expression socialiste.

Et comment Barack Obama a-t-il réagi ?

Maintenant que les gauchistes risquent de perdre la capacité d’amplifier leur propre message et de censurer les conservateurs sur Twitter, Obama a appelé à l’intervention du gouvernement. Lors d’un discours à l’université de Stanford qu’il a prononcé alors que M. Musk négociait l’accord, Obama a envoyé un message en disant que plus de « réglementation doit faire partie de la réponse ». Moins d’une semaine plus tard, comme par enchantement, le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a annoncé qu’il créait ce qu’il appelle la Commission de gérance de la désinformation.

Le ministère de la vérité

La Commission de gérance de la désinformation a été comparé au « Ministère de la vérité » dystopique du roman 1984 par George Orwell. Son objectif présumé est de conseiller le secrétaire du DHS sur la manière d’analyser le contenu en ligne. Mais si l’on considère les décennies de censure « politiquement correcte » et maintenant la manipulation effrontée de l’information, on constate que ce conseil constitue une étape majeure sur la voie d’une censure comparable à celle du Parti communiste chinois.

Pour aider le projet, Biden a nommé Nina Jankowicz, une ancienne « experte » en désinformation au Centre Woodrow Wilson. Elle a apparemment déclaré, lorsque Trump était président, « Je ne voudrais jamais voir notre branche exécutive avoir ce genre de pouvoir »—c’est-à-dire, le genre de pouvoir qu’elle a maintenant. Lorsque Twitter a décidé de réduire une partie de sa censure sur la liberté d’expression concernant l’élection de 2020 plus tôt cette année, Mme Jankowicz a déclaré qu’elle était « consternée par cette décision » compte tenu « des dommages à long terme que ces mensonges causent à notre démocratie ». Elle doit être doublement consternée à l’idée que Twitter se dirige vers un tout nouveau propriétaire. En fin de compte, les gauchistes radicaux croient que la vraie information est ce qu’ils disent être la vraie information.

Mme Jankowicz est surtout connu pour avoir propagé la désinformation selon laquelle l’ordinateur portable de Hunter Biden était une « désinformation russe ». Maintenant que même le New York Times, radicalement libéral, admet que l’ordinateur portable de Hunter Biden était bien celui de Hunter Biden, Mme Jankowicz apparaît comme quelqu’un dont l’expertise en matière de désinformation ne consiste pas à l’arrêter mais à la propager.

Les démocrates, socialistes, communistes et autres gauchistes s’en prennent à la liberté d’expression depuis des années. Le politiquement correct est passé d’une idée absurde à un facteur majeur dans notre politique et notre culture.


Lorsque la nouvelle est sortie du tristement célèbre, douteux et maintenant complètement discrédité dossier Steele, une tentative de dépeindre Donald Trump comme vulnérable au chantage de la Russie, Mme Jankowicz s’est portée garante de l’authenticité du dossier. En octobre 2020, alors que l’élection était en jeu, Mme Jankowicz est allée jusqu’à dire à CNN qu’elle pensait que les gens dans tout le pays craignaient que les partisans de Donald Trump se présentent dans les bureaux de vote avec des armes à feu pour effrayer les démocrates et les empêcher de voter. Cette désinformation sans fondement vous dit tout ce que vous devez savoir sur la façon dont Mme Jankowicz utiliserait le pouvoir de la Commission de gérance de la désinformation.

Jen Psaki, l’attachée de presse de la Maison Blanche à l’époque, a affirmé que Mme Jankowicz était une « experte » possédant des « qualifications étendues » pour son nouveau poste. Le secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, l’a décrite comme « éminemment qualifiée, une experte renommée dans le domaine de la désinformation ». « Et neutre ? » a demandé l’intervieweur. « Absolument. »

Cette nomination partisane radicale au sein d’une institution radicale et nouvelle a été délibérément conçue par les démocrates pour contrôler ce que vous êtes autorisés à voir et à entendre.

C’est l’année dernière que le Département de la Sécurité intérieure a pris la décision de former un conseil chargé d’examiner les questions de vie privée et de liberté civile pour les contenus en ligne. Mais le fait que la Commission de gérance de la désinformation ait été officiellement lancée juste après le discours de Barak Obama, et deux jours après l’annonce de l’achat de Twitter par Elon Musk, n’est probablement pas une coïncidence. Pour la gauche, lorsqu’un doigt glisse de son emprise sur les Big Tech [Grandes entreprises technologiques], sa réponse est le « Ministère de la vérité » au DHS bien armé.

Après un tollé contre le conseil et Mme Jankowicz, le DHS de Joe Biden a « mis sur pause » la mise en œuvre de la Commission. Mais lorsqu’on voit les différentes méthodes que les gauchistes radicaux ont utilisées, avec ou sans succès, pour essayer de contrôler l’information pendant des années, on sait que la pression du gouvernement pour contrôler l’information que nous voyons va continuer.

Les gauchistes ont beaucoup de travail de censure à faire. L’immigration illégale est hors de contrôle. Les faits concernant la COVID-19 sont en train d’être révélés. Des données sur les effets secondaires du vaccin contre la COVID sont rendues publiques. Des fraudes éhontées de plusieurs genres ont été commises à la vue de tous dans tout le pays avant et pendant la nuit des élections de 2020. Des informations émergent selon lesquelles le FBI a joué un rôle important dans l’incitation à la violence lors de la manifestation du 6 janvier.

Le commentateur conservateur Jack Posobiec a déclaré que M. Musk « n’a pas seulement acheté une plateforme, il a acheté des preuves ». Que ce soit son intention ou non, posséder Twitter pourrait signifier posséder des preuves que les gauchistes radicaux censurent et bannissent secrètement les conservateurs depuis des années. Nous pouvons nous attendre à des révélations choquantes si et lorsque M. Musk privatise Twitter et reprogramme la plateforme pour permettre la liberté d’expression. Le monde pourrait bien avoir un aperçu de ce que Twitter faisait, et cela lui donnerait un aperçu de ce que la gauche radicale a fait.

Les démocrates, socialistes, communistes et autres gauchistes s’en prennent à la liberté d’expression depuis des années. Le politiquement correct est passé d’une idée absurde à un facteur majeur dans notre politique et notre culture.

De temps en temps, vous entendrez des démocrates dire des choses positives sur la « liberté d’expression ». Mais ce droit fait partie du côté originel, constitutionnel et conservateur de la guerre culturelle. Le côté progressiste, socialiste, communiste de la guerre rejette fondamentalement la Constitution, le droit à la liberté d’expression, et les croyances sur Dieu qui sous-tendent finalement tout le concept des droits inaliénables. Ils n’y croient pas en premier lieu.

Les gauchistes radicaux ne veulent pas d’un débat que-les-meilleurs-fait-gagnent. Comme tout le reste dans notre société, ils veulent utiliser l’information comme une arme. Ils veulent que leurs opposants soient réduits au silence.

Nous voyons bien jusqu’où la gauche radicale est prête à aller pour maintenir son emprise sur le pouvoir. Dans son article de 2018 intitulé « Sauver l’Amérique de la gauche radicale—temporairement  » mon père, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit : « Si Hillary Clinton avait été élue, les tendances destructrices qui se sont manifestées pendant la présidence d’Obama se seraient poursuivies de manière incontrôlée, et elles se seraient sûrement intensifiées. Beaucoup de gens—y compris moi—croient que cela aurait signifié la fin de notre république constit utionnelle ! » À l’époque, ce point de vue pouvait sembler extrême. Certains ont pu penser que le Président Obama n’était pas un grand dirigeant. Mais détruire notre république ? Vraiment ?

La guerre autour de Twitter et de la désinformation en général montre à quel point mon père avait raison. La gauche radicale est sur le point de transformer ce bastion historique de la liberté en une nation totalement différente. Il est tout simplement miraculeux qu’Elon Musk ait pu aller aussi loin dans sa tentative de rétablir la liberté d’expression. Mais la gauche riposte avec audace de diverses manières, jusqu’à la création d’une Commission de gérance de la désinformation.

Le prophète Daniel a dit qu’un Antioche de la fin des temps « jetterait la vérité par terre » (Daniel 8 : 12). Cela s’applique à un dirigeant destructeur qui a utilisé son pouvoir sur l’Église de Dieu pour la détruire. Mais cela s’applique également à ce qui se passe actuellement en Amérique.

Barack Obama était à l’épicentre de l’effort de la gauche radicale pour empêcher Donald Trump d’être réélu, et il est à l’épicentre de l’effort pour empêcher les gens de le découvrir. C’est pourquoi ses alliés politiques et ses organisations ciblent le rachat de Twitter par Elon Musk.

Tout comme les gens de l’Église de Dieu ont permis que la vérité soit jetée à terre, les Américains, même ceux qui sont opposés au gauchisme radical, permettent également que la vérité soit jetée par terre. À ce stade avancé, ils sont bien trop faibles pour l’arrêter. Dieu doit intervenir pour sauver notre république. S’Il ne le faisait pas, la Trompette ne pourrait certainement pas faire passer notre message, et beaucoup de gens n’auraient jamais l’occasion d’entendre le message d’avertissement de Dieu. Dieu a promis de donner à l’Amérique une dernière opportunité de se repentir (Amos 7 : 8), donc Il doit absolument sauver ce pays des forces qui le musèlent et le détruisent.

« Car l’Éternel vit l’affliction d’Israël à son comble et l’extrémité à laquelle se trouvaient réduits esclaves et hommes libres, sans qu’il y eût personne pour venir au secours d’Israël. Or l’Éternel n’avait point résolu d’effacer le nom d’Israël de dessous les cieux, et il les délivra par Jéroboam, fils de Joas » (2 Rois 14 : 26-27). Cette description d’un moment crucial de l’histoire de l’ancien Israël est également une prophétie spécifique pour les descendants modernes de cette nation, y compris les Américains. Ce pays souffre en effet d’une grave affliction. Il est au bord de la destruction finale en tant que république constitutionnelle et même en tant que nation souveraine ! Mais il existe un type du roi Jéroboam II dans le temps de la fin : Donald Trump.

Dieu va sauver l’Amérique principalement à travers le président Trump. Mais pourquoi ? Il donne à ceux qui jettent la vérité par terre, et à ceux qui le permettent, l’occasion d’entendre Son message d’avertissement et de décider si oui ou non ils vont se repentir des péchés qui nous ont amenés à ce point. La marée est peut-être en train de tourner. Ce qui signifie que vous avez un choix à faire.

Atk Fr