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La NOAA exagère le réchauffement climatique

LA TROMPETTE

La NOAA exagère le réchauffement climatique

L’année dernière a été la plus chaude jamais enregistrée, a rapporté la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) des États-Unis. Le 12 janvier, la Dre Sarah Kapnick l’a confirmé :

L’année 2023 n’a pas seulement été la plus chaude des 174 années de relevés climatiques de la NOAA, elle a été de loin la plus chaude. Le fait que la planète se réchauffe signifie que nous devons nous préparer aux effets du changement climatique qui se produisent ici et maintenant, comme les phénomènes météorologiques extrêmes qui deviennent à la fois plus fréquents et plus graves.

La NOAA recommande aux gouvernements de prendre des mesures radicales pour réduire les émissions de dioxyde de carbone. Pourtant, d’autres scientifiques sont en train de dévoiler comment les données de la NOAA ont été falsifiées.


Données erronées : Le site officiel de la NOAA indique que « la température de la Terre a augmenté en moyenne de 0,11 degré Fahrenheit (0,06 degré Celsius) par décennie depuis 1850, soit environ 2 degrés Fahrenheit (1 degré Celsius) au total. Le taux de réchauffement depuis 1982 est plus de trois fois plus rapide, soit 0,36 degré Fahrenheit (0,2 degré Celsius) par décennie ».

Pourtant, Anthony Watts, chercheur principal pour l’environnement et le climat à l’Institut Heartland, a constaté que 96 pour cent des stations de surveillance de la température de la NOAA ont un biais thermique qui fausse les données en faveur de températures plus chaudes.

Les normes de la NOAA exigent que toutes les stations d’observation du climat soient situées à au moins 30 mètres des éléments qui absorbent la chaleur, tels que le béton, l’asphalte et les bâtiments. Or, dans un article publié en juillet 2022, M. Watts a montré que 96 pour cent des stations de la NOAA sont situées à moins de 30 mètres de ces éléments. L’augmentation de 0,2 degré Celsius par décennie annoncée par la NOAA est donc principalement due à l’expansion des zones urbaines.

Une image réaliste : Pour obtenir une image plus précise de l’évolution de la température de la Terre, John Christy, professeur de sciences atmosphériques à l’université de l’Alabama, a mis au point un ensemble de données de températures globales à partir de données micro-ondes collectées par les satellites.

Ses données montrent que le climat tempéré de la Terre a augmenté de 0,14 degré Fahrenheit (0,08 degré Celsius) par décennie depuis 1979. C’est moins de la moitié du chiffre fourni par les stations de mesure de la température de la NOAA.

Ainsi, si les températures mondiales ont probablement augmenté depuis la fin du petit âge glaciaire en 1850, le taux d’augmentation a été exagéré.

Un monde de fausseté : Ce que vous voyez dans les actualités n’est pas un débat scientifique ouvert, où l’on gagne grâce aux faits. C’est le résultat d’une manipulation politique destinée à effrayer les gens pour qu’ils abandonnent les droits que Dieu leur a accordés à un comité central de planification.

En 2017, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit : « Plus l’Amérique est faible, plus elle devient vulnérable à être contrôlée. C’est exactement ce que veut la gauche radicale. Elle utilise la question de l’environnement afin de l’obtenir. L’administration Obama ne voulait pas avoir le changement climatique sous contrôle ; elle voulait avoir l’Amérique sous son contrôle ! Les promoteurs d’accords comme celui-ci veulent contrôler le monde. »

En savoir plus : Lisez « L’armement de l’environnementalisme  ».