Le général Michael Flynn fut rétabli sur Twitter à l’occasion de l’anniversaire du 6 janvier

L’ancien conseiller à la Sécurité nationale, Michael Flynn, a vu son compte Twitter rétabli à l’occasion du deuxième anniversaire de « l’insurrection » du 6 janvier 2020, après que le consultant politique américain Roger Stone a tweeté un appel à Elon Musk pour réintégrer Flynn. Le général a été banni de Twitter après avoir suggéré au président Donald Trump de saisir les machines à voter et d’ordonner aux militaires de refaire l’élection. Cette persécution flagrante ne l’a pas dissuadé de construire un mouvement conservateur dédié à la dénonciation de la fraude électorale. De sa plateforme sur Twitter, il avertit désormais les gauchistes qu’un grand réalignement politique se prépare en Amérique.

Un héros américain : Le général Flynn est un ancien combattant décoré qui a sauvé d’innombrables vies en traquant les terroristes islamiques en Irak et en Afghanistan. Le président Barack Obama l’a nommé directeur de l’Agence du renseignement de la défense des États-Unis, mais l’a renvoyé après qu’il a révélé comment Obama aidait l’État islamique et d’autres ennemis américains. Obama menait également des opérations massives d’espionnage illégal de citoyens américains et était terrifié par ce que Flynn pourrait dire. Flynn était bien formé aux techniques de collecte de renseignements et disposait de contacts dans tout le gouvernement, alors Obama cherchait désespérément à le faire taire.

Faire taire un critique : Deux jours seulement après l’élection de Trump, Obama lui a dit que Flynn était l’un des deux hommes les plus dangereux pour l’Amérique, l’autre étant le dictateur nord-coréen Kim Jong-un. Pourtant, le président Trump a quand même nommé Flynn comme conseiller à la sécurité nationale. Lorsque Flynn a appelé un ambassadeur russe pour discuter de ce que serait la politique étrangère des États-Unis sous la future administration Trump, Obama a demandé à ses collaborateurs de divulguer les détails de l’appel aux médias (détails dont ils disposaient uniquement parce qu’ils avaient illégalement mis le téléphone de Flynn sur écoute). Obama s’est servi de ce scandale pour invoquer la loi Logan, une loi inconstitutionnelle du 18^e siècle interdisant aux citoyens privés de discuter de politique étrangère avec des gouvernements étrangers. En conséquence, Flynn a été contraint de quitter ses fonctions. Mais la véritable raison pour laquelle Obama craignait Flynn n’avait rien à voir avec la collusion Trump-Russie ; il craignait que Flynn ne le dénonce, lui et ses alliés.

Le marteau : Avec Steve Bannon, Sidney Powell, Mike Lindell et d’autres patriotes, le général Flynn a poussé l’idée que le gouvernement a conçu un superordinateur nommé « Hammer » et un logiciel appelé « Scorecard » pour truquer les élections dans le monde entier. Selon cette théorie, l’administration Obama a utilisé ces outils pour voler l’élection de 2012 et toutes les élections suivantes (à l’exception de celle de 2016, où les choses ne se sont pas déroulées comme prévu). Cette théorie n’a pas été vérifiée, mais le PDG de MyPillow, Mike Lindell, affirme toujours avoir la « preuve absolue » que l’élection présidentielle de 2020 a été « volée » dans « la plus grande cyberattaque de l’histoire ». Seul le temps nous dira s’il a raison. Lindell travaille en étroite collaboration avec Flynn.

La prophétie dit : Dans son article « Prêt pour la guerre », le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit : « Mike Lindell est une autre des rares personnes qui s’en prennent à Barack Obama et à ces machines depuis le début. Bien trop peu l’écoutent, lui et les preuves qu’il a présentées, mais dès le début, il a dit que si vous ne vous débarrassez pas des machines que les démocrates ont utilisées pour voler l’élection de 2020, vous ne gagnerez pas d’autres élections. » C’est vrai. Flynn le sait, Lindell le sait, et beaucoup d’autres personnes le savent. Une prophétie dans 2 Rois 14 : 26-28 montre qu’un roi Jéroboam II du temps de la fin devra se battre et faire la guerre pour récupérer quelque chose qui lui a été volé. Donald Trump est ce Jéroboam, et l’élection est ce qui a été volé.

Pour en savoir plus : Lisez le chapitre 5 du livre L’Amérique sous attaque de Gerald Flurry.