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Le Hamas ne disparaît pas. Il entre dans la clandestinité.
La commission « sans Hamas, technocratique et politiquement neutre » qui gouvernera Gaza après le départ des forces israéliennes est remplie de membres nommés par le Hamas, ont rapporté hier les médias israéliens. Selon des « sources diplomatiques régionales », environ la moitié des membres du nouveau corps sont des « individus dont les principes s'alignent sur ceux du Hamas, bien qu'ils ne soient pas ouvertement affiliés à l'organisation », comme le dit Ynetnews :
Les autres candidats auraient été choisis par l'Autorité palestinienne, l'Égypte et d'autres médiateurs arabes étant pleinement conscients du rôle joué par le Hamas dans l'élaboration de la liste. Selon le rapport, la liste complète des personnes proposées a été présentée au Hamas pour approbation, dans le but de s'assurer le soutien tacite du groupe. Cette décision est considérée comme un moyen de garantir l'influence continue du Hamas à Gaza, même après la fin de la guerre, malgré les appels internationaux en faveur de son désarmement et de son retrait du pouvoir.
La Trompette a toujours affirmé que le Hamas n'accepterait jamais un accord dans lequel il renoncerait totalement à son pouvoir sur les habitants de Gaza. Le groupe qui a terrorisé, abattu, tailladé, torturé, violé et massacré 1 200 innocents le 7 octobre continue de poursuivre ouvertement l'objectif de son alliance fondateur : « Israël existera et continuera d'exister jusqu'à ce que l'Islam l'anéantisse, comme il a anéanti les autres avant lui. »
Osée 5 : 13 est une prophétie selon laquelle Juda, ou le peuple juif d'aujourd'hui, a une « plaie » incurable. Dans Jérusalem selon la prophétie, Gerald Flurry explique que cette plaie est le processus de paix avec les Palestiniens : le fait de faire confiance aux hommes instables et remplis de haine plutôt qu'à Dieu.
Cette prophétie dépeint une image claire : plus la nation juive fait confiance aux négociations, plus la plaie devient grave. Les célébrations de la fin de la guerre entre Israël et le Hamas et le début d'une « paix véritable » sont malvenues. La nomination de dirigeants du Hamas à Gaza après le départ des forces israéliennes souligne à quel point ce processus de paix est une plaie grave.
