Les Dossiers Twitter révèlent la ‘machine à mensonge’ de la COVID-19

Le 17 mars, le journaliste d’investigation Matt Taibbi a publié un autre fil de 45 tweets exposant la manière dont le gouvernement des États-Unis s’est associé à l’université de Stanford et à de nombreuses autres organisations non gouvernementales dans le cadre du «  Virality Project » (projet sur la propagation en ligne). Ce projet aurait été lancé pour censurer les informations erronées concernant le Dr Anthony Fauci, la COVID -19  et les vaccins ARNm . Pourtant, le projet a fini par interdire délibérément de nombreuses histoires vraies.

Ce fil de discussion, intitulé Twitter Files 19.0, met en évidence les courriels du Virality Project qui décrivent des « histoires d’effets secondaires réels de vaccins » comme méritant d’être censurés. Ainsi, non seulement les censeurs des universités, des entreprises et des gouvernements ont travaillé ensemble pour supprimer les articles sur le Dr Fauci et la fuite du laboratoire de Wuhan sur les médias sociaux, mais ils ont également travaillé ensemble pour supprimer les articles sur les effets secondaires des vaccins ARNm qu’ils savaient être véridiques.

Nouveau modèle plus effrayant : Quiconque a pris connaissance des 18 premiers volets des Dossiers Twitter sait que le gouvernement américain indiquait et indique toujours aux médias sociaux ce qu’ils doivent censurer. Mais jusqu’à présent, il semblait que les censeurs gouvernementaux bloquaient principalement les opinions conservatrices qu’ils considéraient comme de la désinformation. Le 19^e volet des Dossiers Twitter constitue la première référence explicite à des censeurs gouvernementaux qui ont interdit des histoires qu’ils savaient être vraies pour des raisons purement politiques.

Bien que le Virality Project ait examiné des contenus à grande échelle, il a sciemment ciblé des documents véridiques et des opinions politiques légitimes, tout en se trompant souvent lui-même sur les faits. Cette histoire est importante pour deux raisons. Premièrement, en tant que preuve de concept orwellienne, le Virality Project a connu un succès retentissant. Le gouvernement, le monde universitaire et une oligarchie d’entreprises concurrentes potentielles se sont rapidement organisés derrière un effort secret et unifié pour contrôler les messages politiques. Deuxièmement, il a accéléré l’évolution de la censure numérique, l’éloignant de l’évaluation de la vérité ou de la contre-vérité vers un nouveau modèle plus effrayant, ouvertement axé sur le récit politique au détriment des faits.
—Matt Taibbi

Jeter la vérité par terre : Une prophétie biblique de la fin des temps montre qu’un esprit mauvais utilisera une armée pour abattre la vérité. « Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire. L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises » (Daniel 8 : 11-12).

La Strong’s Concordance définit le mot « armée » comme « une masse de personnes (ou, au sens figuré, de choses), en particulier des régiments organisés pour la guerre (une armée) ». Selon le contexte, l’expression désigne une armée de démons, d’anges ou d’hommes. L’armée de Daniel 8 est une armée de démons et d’hommes qui aident un Antiochos de la fin des temps. Cette armée vise à détruire les États-Unis, leur histoire judéo-chrétienne, leur forme constitutionnelle de gouvernement et les principes bibliques sur lesquels cette forme de gouvernement est basée. Les géants des médias sociaux comme Facebook, Google et TikTok donnent du pouvoir à cet hôte.

En savoir plus : Lire L’Amérique sous attaque, par le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry.