Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

Les journalistes ont-ils été de connivence avec le Hamas ?

LA TROMPETTE

Les journalistes ont-ils été de connivence avec le Hamas ?

Des photojournalistes de Gaza travaillant pour l’Associated Press,   Reuters et CNN ont rejoint les terroristes du Hamas lors des attaques du 7 octobre, a affirmé Honest Reporting le 8 novembre.

Le journaliste Hassan Eslaiah, un indépendant dont les contenus ont été utilisés par CNN et l’Associated Press, a accompagné les terroristes en Israël et a pris des photos d’un char israélien en feu et d’infiltrés pénétrant dans le kibboutz Kfar Aza. Une photo circulant sur Internet montre M. Eslaiah avec le chef du Hamas, Yahya Sinwar.


Le bon endroit, le bon moment ? Ali Mahmud et Hatem Ali, dont les photos ont été utilisées par l’Associated Press, ont affirmé qu’ils se trouvaient par hasard au bon endroit et au bon moment pour photographier les enlèvements d’Israéliens. Mahmud a pris une photo de la camionnette transportant le corps de l’Israélo-allemande Shani Louk.

Reuters a publié des photos de photographes qui se trouvaient à la frontière lors de l’infiltration du Hamas. L’un d’entre eux, Mohammed Fayq Abu Mostafa, a pris des photos alors qu’une foule s’en prenait au corps sans vie d’un soldat israélien extrait d’un char d’assaut.

Journalisme ou barbarie ? La présence de ces photojournalistes laisse entrevoir de graves problèmes éthiques en matière de journalisme, d’autant plus qu’il est désormais clair que le Hamas avait planifié cette attaque longtemps à l’avance. Pourquoi tant de photographes étaient-ils prêts à immortaliser les atrocités commises par le Hamas en ce qui aurait dû être un samedi matin ordinaire ?

« Était-ce coordonné avec le Hamas ? Les agences de presse respectables, qui ont publié leurs photos, ont-elles approuvé leur présence en territoire ennemi, aux côtés des terroristes infiltrés ? » s’interroge Honest Reporting. « Si leurs collaborateurs sur le terrain étaient de connivence avec le Hamas pour obtenir les photos, soit activement ou passivement, ils devraient être rappelés à l’ordre afin de rétablir la frontière entre le journalisme et la barbarie » (c’est nous qui soulignons).

Les journalistes qui étaient au courant du massacre et qui ont choisi de rester les bras croisés pendant que des enfants étaient massacrés ne sont pas différents des terroristes et doivent être traités comme tels.
—Benny Gantz, membre de la Knesset israélienne

Médias dangereux : Bien que nous ne puissions pas affirmer avec certitude que ces photojournalistes étaient de connivence avec le Hamas ou qu’ils auraient pu avertir les autorités israéliennes du danger à venir, les possibilités sont alarmantes.

Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a expliqué que la corruption, les mensonges, la désinformation et l’agenda de gauche radicale de la sphère médiatique constituent une force extrêmement dangereuse. En 2004, dans « The Deadly Left-Wing Media » [Les médias meurtriers de gauche], il a écrit :

Les médias de gauche rendent beaucoup de nos concitoyens aveugles à la réalité—à la façon dont les choses se passent réellement. Les nations terroristes le savent et l’utilisent à leur avantage de manière effrayante.