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Les retombées merveilleuses de la ‘grande Tribulation’

Julia Goddard/Trumpet

Les retombées merveilleuses de la ‘grande Tribulation’

Jésus prophétisa un temps de souffrances inégalées—et un motif d’espérance immense.

Jésus-Christ a dit quelque chose de choquant—et cela devrait avoir un impact bien plus grand dans notre esprit contemporain que pour Ses disciples. Après tout, nous connaissons Hitler et Staline, les camps de la mort et les goulags, les bombes atomiques et les guerres nucléaires.

Interrogé sur les conditions de la fin du monde, Jésus a prophétisé que les nations traverseraient une « grande tribulation, telle qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, non, il n’y en aura jamais plus » (Matthieu 24 : 21—King James française).

Nous voulons croire que le pire de l’histoire est derrière nous. Et vraiment, le passé de l’humanité abonde en pauvreté, maladies, famines, tourments, oppression, massacre, génocide et en guerre. Mais les paroles du Christ signalent que nous avons encore à souffrir la pire des détresses !

Il ajouta, plus loin (au verset 22), que « si ces jours n’étaient abrégés » tous les êtres humains mourraient.

Ces paroles sont particulièrement poignantes, en ce moment, dans un monde en proie au désespoir et à la peur causée par la pandémie et la panique au sein des peuples et de leurs gouvernements. Du jour au lendemain, nous avons assisté à des perturbations dans les approvisionnements en nourriture, à des taux de chômage record, à des foules de gens faisant la queue pour des dons alimentaires. Nous avons vu l’état de droit détruit, l’oppression décrétée, la révocation des libertés.

C’est surprenant. Mais comparées aux souffrances prophétisées par Jésus-Christ et annoncées tout au long de l’Ancien et du Nouveau Testament, elles sont douces. Selon la prophétie, ce qui se profile à l’horizon c’est la course à la guerre, le siège économique, l’effondrement financier, la famine, des pandémies beaucoup plus meurtrières, la guerre nucléaire, l’invasion étrangère, la captivité nationale et, littéralement, des milliards qui en mourront.

Pourtant dans la crise actuelle, une tendance est frappante : beaucoup de gens pensent à Dieu. Une enquête réalisée, en mars, auprès de 1 000 électeurs probables aux États-Unis, a révélé que 22% croient que le coronavirus et la dépression économique sont des signes de « la venue du jugement » de Dieu et un « appel au réveil pour que nous revenions à la foi en Dieu » ; 22% de plus croient à l’une de ces choses. Près de 3 personnes sur 10 croient que ce sont des signes que nous sommes dans les « derniers jours ». Pew Research a trouvé que 55% des Américains disent qu’ils prient pour que la pandémie prenne fin. Il y aurait eu un pic de 40%, dans le monde entier, pour des recherches sur Google pour le mot « prière ».

Dieu attend bien que ce malheur provoque une telle réflexion. Malheureusement, une grande majorité des gens répond plutôt de façon inverse. Plutôt que d’utiliser le confinement pour la réflexion, la dévotion religieuse ou le resserrement des liens familiaux, ils se gavent de télévision, de films, de jeux vidéo, de pornographie ou de marijuana.

Si Dieu, donc, utilise cette crise comme un « appel à se réveiller », il est clair que les calamités vont devoir s’intensifier avant qu’elles ne secouent vraiment un grand nombre de personnes.

Cela indique la raison de l’avertissement prophétique du Christ. Et cela éclaire la voie pour éviter la souffrance à venir.

Le goulag

Que la grande Tribulation puisse être plus dure que n’importe quoi d’autre dans l’histoire est stupéfiant quand vous considérez la souffrance, à l’échelle industrielle, durant le 20ème siècle.

La Première Guerre mondiale fut appelée « la guerre qui mettra fin à la guerre » parce qu’elle était si massive, si meurtrière et si horrible que les gens ne pouvaient imaginer aller, de nouveau, à la guerre. Mais, avant même qu’elle ne soit terminée, quelque chose s’est produit qui allait perpétuer les cauchemars du 20ème siècle : la Révolution russe. Une fois au pouvoir, les bolcheviks commencèrent des arrestations et des emprisonnements de masse. Parmi les captifs figuraient des millions de citoyens pacifiques et innocents considérés paradoxalement comme des ennemis de la cause.

Puis la Seconde Guerre mondiale arriva, et elle éclipsa dix fois les horreurs de la Première Guerre mondiale. Ce fut une terrible détresse, telle que le monde ne l’avait jamais vue : guerre sous-marine, fusées V-2, porte-avions, camps de concentration, bombes atomiques. Et les conditions, en Russie, s’étaient dramatiquement détériorées sous Joseph Staline, l’un des plus grands meurtriers de masses, de l’histoire. Alors même qu’il lançait des millions d’hommes pour combattre les Allemands, il continuait les emprisonnements et les purges de millions d’autres membres de son propre peuple—une détresse qui se poursuivit longtemps après que la guerre a pris fin.

Alexandre Soljénitsyne fut l’un de ces prisonniers. Il allait écrire plus tard une série de livres décrivant la vie en captivité : L’archipel du goulag. Ce récit méticuleux décrit, avec puissance, la tribulation et la captivité. Il illustre les libertés brisées, les injustices endémiques, des arrestations brutales, les interrogatoires sous la torture, les conditions horribles des camps, et les innombrables manifestations grotesques de la nature humaine parmi les officiers et les prisonniers. Cela rend la réalité de la tribulation à venir douloureusement réelle.

Les captifs du goulag se comptaient par millions. Les fonctionnaires soviétiques extrayaient d’eux autant de travail que possible tout en leur fournissant le moins de soins possible. Les camps étaient terriblement malpropres et frappés de maladies. Les prisonniers étaient affamés et travaillaient, littéralement, jusqu’à en mourir.

« La vie des captifs consistait à travailler, travailler, travailler ; sous la faim, le froid et les ruses », a écrit Soljénitsyne. Les prisonniers étaient pieds nus et presque nus—et cela dans une toundra désertique qui « était éternellement recouverte de neige et sur laquelle les blizzards y faisaient éternellement rage ». Parfois, sur un site de travail donné, des centaines de travailleurs mourraient de froid.

La totale indifférence pour la vie humaine a conduit à des atrocités inimaginables. Bien qu’ils exigeaient des prisonniers de travailler dans le froid durant 10 à 12 heures par jour et plus, les officiers ne les nourrissaient pratiquement pas : « Ils versaient de l’eau dans une gamelle, et le mieux qu’on pouvait espérer était qu’ils y jetteraient de petites pommes de terre non nettoyées... Et s’il y avait une pénurie d’eau... un seul bol de gruau était cuit chaque jour, et ils donnaient aussi une ration de deux tasses d’eau trouble salée. Tout ce qui était bon était toujours, et sans faute, volé pour les chefs, pour les fidèles, et pour les voleurs... »

Dans de telles conditions, une seule chose dominait l’esprit : « La faim, qui forçait une personne honnête à tendre la main et voler (“Quand l’estomac grogne, la conscience fuit”). La faim, qui oblige la personne la plus généreuse à regarder avec envie dans le bol de quelqu’un d’autre, et d’essayer douloureusement d’évaluer le poids de la ration que son voisin reçoit. La faim, qui obscurcit le cerveau et lui refuse d’être distrait par quoi que ce soit d’autre, ou de penser à quoi que ce soit d’autre, ou de parler de quoi que ce soit d’autre en dehors de la nourriture, la nourriture et la nourriture. La faim, à laquelle il était impossible d’échapper même dans les rêves—les rêves sont au sujet de la nourriture, et l’insomnie est à propos de la nourriture. Et bientôt—il n’y a que l’insomnie ».

Les maladies et infections étaient endémiques, pourtant, Soljénitsyne écrit sarcastiquement « qu’il n’y avait pas d’assistant de médecin, ni même d’officier d’ordonnance, et par conséquent, il n’y avait pas de malades, et quiconque prétendait être malade était amené en forêt, dans les bras de ses camarades, et ils prenaient aussi une planche et une corde afin de pouvoir ramener le cadavre plus facilement ».

Les projets de travaux—le défrichement des forêts, le concassage des roches, l’extraction du minerai, la construction de voies ferrées et des canaux—s’échelonnaient lentement au prix d’incalculables vies humaines. La « principale forme de gaspillage » du système, écrit Soljénitsyne, était « les crevards ». « Tout ce qui était construit par l’Archipel avait été extrait des muscles des crevards (avant qu’ils deviennent crevards). Et ceux qui ont survécu... doivent assumer la honte de leur propre vie préservée.

« Les philosophes, psychologues, médecins et écrivains auraient pu observer dans nos camps, comme nulle part ailleurs, en détail et à grande échelle », écrit-il, « le processus particulier du rétrécissement des horizons intellectuels et spirituels d’un être humain, la réduction de l’être humain à la hauteur de l’animal et le processus de la mort tout en étant vivant ».

Jésus-Christ dit que la Tribulation à venir sera pire.

Dieu ne veut pas faire subir cela à personne s’Il n’y est obligé.

Les marteaux de Dieu

La grande Tribulation que le Christ a prophétisée n’arrivera pas sans avertissement. Il y a 2 000 ans, Il en a personnellement averti. Des siècles auparavant, Dieu avait averti par Moïse, Osée, Amos et d’autres prophètes. Il a averti par Ézéchiel, après que lui et son peuple ont souffert la tribulation détruisant la nation, la conquête et l’esclavage.

Ézéchiel, lui-même captif, a prophétisé que dans l’avenir, les descendants d’Israël souffriraient à nouveau la tribulation à une échelle monumentale. Ces descendants composent des nations modernes qui incluent, principalement, l’Amérique et la Grande-Bretagne (pour en avoir la preuve, faites la demande de Les Anglo-Saxons selon la prophétie ). Ézéchiel 5 prophétise qu’un tiers de la population de ces nations mourra violemment dans les villes, et un autre tiers dans des attaques nucléaires. Le tiers survivant sera réduit en esclavage, tout comme Ézéchiel le fut. Les chiffres—plus de 100 millions dans chacune de ces vagues—défient l’imagination.

Pourquoi Dieu permettrait-Il et, oui, causerait-Il de telles souffrances ? Pas simplement pour punir, mais en fait, pour corriger.

Dieu essaie d’atteindre les gens, de les aider à se repentir. Il est un Père, essayant d’atteindre Ses fils. « Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils » (Hébreux 12 : 6). Bien que la correction de Dieu soit sévère sur le moment, lorsque quelqu’un répond positivement elle produit de merveilleux résultats (verset 11).

Dieu a un éventail de marteaux. Si nous ne portons pas attention à la correction la plus douce, nous le forçons à utiliser des marteaux plus gros et des coups plus rudes pour nous dissuader de vivre la voie qui mène à la mort.

La grande Tribulation est le plus gros de tous les marteaux—mais c’est quand même un outil de correction. Elle réussira à ramener à Lui des milliers de Ses propres saints engendrés de l’Esprit qui se sont égarés. Elle amènera « une grande multitude, qui ne peut être comptée » dans Sa Famille (Apocalypse 7 : 9). En fin de compte, elle fera beaucoup pour préparer le monde entier à arriver à le connaître !

L’archipel du goulag illustre comment la Tribulation réussira réellement, comme outil de correction. Aussi horrible que cela puisse être à imaginer, la Tribulation est en fait une expression de l’amour de Dieu.

Reconnu coupable par sa conscience

La grande majorité de ceux qui sont entrés dans les goulags soviétiques a été brisée par eux. Pourtant, Soljénitsyne a documenté comment quelques-uns, bien que brisés dans leur corps, sont, en fait, devenus plus forts en volonté et en esprit.

Lorsque quelqu’un est arraché de force de sa vie et poussé dans un monde où la survie est l’unique but, dans un sens la vie devient extrêmement simple. Un prisonnier a décrit les longues heures d’internement, le calme, le temps pour réfléchir : « Ici toutes les futilités et tous les tapages se sont atténués... J’ai vécu un tournant... Ici, vous prêtez l’oreille à cette voix profondément en vous, qui au milieu de la surabondance et de la vanité était étouffée par le rugissement venant de l’extérieur ».

Considérez ceci : à l’heure actuelle, même en pleine crise mondiale, les gens restent distraits et égocentriques. Ainsi Dieu, plutôt que de nous abandonner à l’autodestruction pécheresse, doit trouver un moyen pour passer à travers le bruit s’Il veut atteindre les gens et enseigner les gens.

Soljénitsyne a cité un proverbe : « La pauvreté et la prison donnent la sagesse ». Et un autre : « La liberté abime et le manque de liberté enseigne ».

« Arraché à l’agitation de la vie quotidienne à un degré si absolu que même compter les minutes qui passent le mettent intimement en contact avec l’univers », a-t-il écrit, « le prisonnier solitaire doit avoir été purgé de toute imperfection, de tout ce qui l’avait ému et troublé dans sa vie antérieure, ce qui avait empêché ses eaux troubles de s’installer dans la transparence ». À quel point les tumultes de la vie troublent-ils les eaux de votre esprit et inhibent-ils la contemplation ?

En captivité, il y a tellement de temps, et tellement de motifs, pour réfléchir profondément et vous examiner différemment. « Voici une direction gratifiante et inépuisable pour vos pensées », a écrit Soljénitsyne : « Reconsidérez entièrement votre vie passée. Rappelez-vous tout ce que vous avez fait de mauvais et de honteux, et réfléchissez—ne pouvez-vous pas, peut-être, corriger cela maintenant ? Oui, vous avez été emprisonné pour rien. Vous n’avez rien pour quoi vous repentir devant l’État et ses lois. Mais... devant votre propre conscience ? Mais... dans vos relations avec d’autres individus ? »

Si vous deviez être réduit en esclavage de cette manière, regarderiez-vous en arrière avec regret la façon dont vous avez vécu et les choix que vous avez faits ?

« Je suis convaincu qu’il n’y a pas de punition pour nous, dans cette vie sur Terre, qui est imméritée », a déclaré un autre prisonnier captif, Boris Kornfeld. « Superficiellement, elle peut n’avoir aucun rapport avec les faits actuels dont nous sommes coupables, mais si vous repassez votre vie au peigne fin, et y réfléchissez profondément, vous réussirez toujours à mettre le doigt sur cette transgression de votre passé pour laquelle vous recevez maintenant ce choc. »

Soljénitsyne a reconnu que l’on pourrait débattre sur ce point quand on voit des enfants et d’autres innocents punis brutalement—pourtant, écrit-il, « il y avait quelque chose dans les dernières paroles de Kornfeld qui touchait une corde sensible, et que j’accepte tout à fait complètement pour moi-même. Et beaucoup accepteront la même chose pour eux-mêmes ».

Cet homme avait été un officier russe endurci. Pourtant, là, dans le goulag, alors qu’il méditait sur la vie, il pensait : « Il n’y a rien qui aide et assiste plus le réveil de l’omniscience en nous comme les pensées insistantes sur nos propres transgressions, nos erreurs et nos fautes ». Se souvenant de son passé, il pensait : « Que d’occasions inutilisées y avait-il eu ! Quand allons-nous maintenant nous rattraper ? Si je réussis seulement à survivre—oh, comme ma vie sera différente, et avec quelle sagesse vivrai-je ! Le jour de notre future libération ? Il brille comme un soleil levant ».

Raffinage

Zacharie 13 : 8 décrit la même Tribulation qu’Ézéchiel 5 prophétise : seulement un tiers restera encore en vie. Qu’est-ce que Dieu fera avec ces survivants ? « Je mettrai ce tiers dans le feu, et je le purifierai comme on purifie l’argent, Je l’éprouverai comme on éprouve l’or. Il invoquera mon nom, et je l’exaucerai ; Je dirai : c’est mon peuple ! Et il dira : l’Éternel est mon Dieu ! » (Zacharie 13 : 9). Oui, cette captivité cruelle accomplira le dessein de Dieu en raffinant ces victimes. Dieu travaillera avec eux pour les aider à grandir en caractère. « Voici, je t’ai raffiné, mais pas comme l’argent ; je t’ai éprouvé dans la fournaise de l’affliction » (Ésaïe 48 : 10 ; traduction selon la Version standard révisée).

Soljénitsyne a décrit de manière émouvante le raffinement que la captivité peut produire : « Votre âme, qui était autrefois asséchée, mûrit maintenant par la souffrance. Et même si vous n’en êtes pas parvenus à aimer votre prochain dans un sens chrétien, vous apprenez au moins à aimer ceux qui sont près de vous... C’est particulièrement en esclavage que pour la première fois nous avons appris à reconnaître l’amitié authentique ».

Plongés dans un environnement de barbarie épouvantable, quelques rares individus gagnent en clarté morale. « À un moment donné, vous étiez nettement intolérant », poursuit-il. « Vous étiez constamment pressé. Et vous manquiez constamment de temps. Et maintenant, vous avez le temps avec des intérêts. Vous en avez excessivement, avec ses mois et ses années, derrière vous et devant vous—et un fluide apaisant bénéfique coule à travers vos vaisseaux sanguins—la patience. Vous êtes en ascension... Autrefois, vous ne pardonniez jamais à personne. Vous jugiez les gens sans pitié. Et vous avez loué les gens avec le même manque de modération. Et maintenant, une douceur compréhensive est devenue la base de vos jugements non catégoriques. Vous avez pris conscience de votre propre faiblesse—et vous pouvez de ce fait, comprendre la faiblesse des autres. Et être stupéfait de la force d’un autre. »

« Si vous repassez votre vie au peigne fin et y réfléchissez profondément, vous serez toujours en mesure de mettre le doigt sur cette transgression de votre passé pour laquelle vous recevez maintenant ce coup. » Boris Kornfeld

L’humiliation de la captivité peut conduire à une humilité de l’esprit. Quand l’orgueil et la vanité sont exposés comme faux et sans valeur, un espace peut être créé pour quelque chose de plus pur. L’esprit peut s’éveiller à tout ce qu’il avait tenu pour acquis auparavant. Le captif se cramponne au sens, à l’espoir et à l’humanité, à Dieu. « Avec quelle reconnaissance ses doigts s’allongent pour sentir et émietter la motte de terre dans le potager (mais hélas, c’est de l’asphalte). Combien sa tête s’élève d’elle-même vers les cieux éternels (mais, hélas, c’est interdit). Et combien d’attention touchante le petit oiseau à la fenêtre éveille en lui (mais, hélas, il y a ce “bâillon”, là... et la vitre de ventilation à charnière est verrouillée). »

Comme il est douloureusement facile de négliger ce qui est réellement important. Bientôt, cependant, des millions de gens verront leurs illusions exposées et tout ce qu’ils chérissent leur sera arraché. Des millions et des millions de gens deviendront encore plus dépravés et se comporteront comme des animaux.

Mais dans ces ténèbres, quelque chose de vraiment magnifique se produira : une foule innombrable acceptera le châtiment et le fléau, elle va acquérir l’humilité, elle va embrasser la correction, et elle va être raffinée comme de l’or fondu.

Parmi les choses dont les gens seront privés durant la Tribulation, il y a la vérité de Dieu. Dieu prophétise une famine de la parole (Amos 8 : 11). Aujourd’hui, cette vérité abonde. Les gens peuvent y avoir accès rapidement par la revue La trompette, l’émission télévisée La clef de David, les émissions de radio, les podcasts et de nombreuses publications. Mais bientôt ce sera terminé.

C’est pourquoi nous sommes pressés de diffuser ce message d’avertissement de Dieu pendant que nous le pouvons. Ces futurs captifs ont besoin de ce message. Ils ont besoin de Il avait raison. Ils ont besoin des brochures du rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, sur les et sur Le Cantique des Cantiques — le plus grand chant d'amour de Dieu —des messages spéciaux de Dieu à Ses fils spirituels récalcitrants.

Nous disons, comme le Christ : « Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les œuvres de celui qui m’a envoyé ; la nuit vient, où personne ne peut travailler » (Jean 9 : 4).

Le livre fondateur de l’éditeur de la Trompette, l’Église de Philadelphie de Dieu, c’est Le message de Malachie. Dans ce livre, M. Flurry montre que la dernière ère de l’Église de Dieu avant le retour du Christ—appelée l’ère de Laodicée—a commencé après que le dirigeant de l’Église de Dieu, Herbert W. Armstrong, est mort, en 1986. (Lisez le message de correction du Christ à cette ère rebelle dans Apocalypse 3 : 14-22). Depuis lors, la véritable Église de Dieu s’est divisée et divisée encore. Pourtant Dieu était, là, à frapper à la porte des Laodicéens, depuis 30 ans par l’intermédiaire de l’ÉPD. Il frappe encore, les suppliant de Lui ouvrir la porte.

Ceux qui n’écoutent pas seront plongés dans la grande Tribulation. Les Écritures prophétisent que dans cet holocauste, ils vont devoir se repentir ou perdre leur vie éternelle. Et pour éprouver leur cœur, Dieu leur donnera, en fait, une œuvre importante à accomplir dans leur captivité—témoigner à leurs ravisseurs de la vérité de Dieu.

La valeur de la mémoire

Soljénitsyne a beaucoup écrit sur l’importance de la mémoire dans la captivité. « Vous n’avez rien ! Ne possédez rien ! » écrivait-il. « Ne possédez que ce que vous pouvez toujours porter sur vous : connaissez des langues, connaissez des pays, connaissez des gens. Laissez votre mémoire être votre sac de voyage. Utilisez votre mémoire ! Servez-vous de votre mémoire ! Ce sont ces semences amères seulement qui pourraient germer et se développer un jour. »

Ce prisonnier utilisait sa mémoire à un niveau extraordinaire. Il composait des centaines de lignes de poésie dans son esprit, les répétant et les raffinant sans cesse, sans les mettre sur papier. « C’était vraiment très gratifiant, en ce que cela m’aidait à ne pas remarquer ce qu’on faisait à mon corps », a-t-il écrit. « La mémoire était la seule cachette dans laquelle on pouvait garder ce qu’on y avait écrit et la porter à travers toutes les fouilles et les voyages sous escorte... N’étant plus accablée de connaissances frivoles et superflues, la mémoire d’un prisonnier a une capacité étonnamment vaste et peut s’étendre indéfiniment. Nous avons trop peu confiance en la mémoire. »

Au milieu de la Tribulation, le peuple de Dieu en captivité fouillera dans sa mémoire, et Dieu l’aidera à se rappeler. Il va se souvenir des restes de la vérité de Dieu. Il va se rappeler son temps passé dans l’Église de Dieu. Il pensera au psaume 137 et aux hymnes qu’il chantait. Comme ceux qui ont composé ce psaume, il sera exilé en captivité, portant le deuil. Il se souviendra effectivement de ce psaume en se rappelant ce cantique du livre des Psaumes et Cantiques.

Et les versets 8 et 9 montrent qu’il va témoigner à ses ravisseurs. Il proclamera l’avertissement de Dieu à ses gardiens et aux officiers sur le sort qui les attend !

La Bible dit que le peuple de Dieu, qui se sera finalement repenti et qui fera Son œuvre d’avertissement, sera martyrisé pour cela. Mais parce qu’il se sera repenti, il se sera qualifié pour recevoir la vie éternelle.

Soljénitsyne a décrit l’astronome Nikolaï Kozyrev, un compagnon de captivité qui « s’est sauvé en pensant à l’éternité et à l’infini : à l’ordre dans l’univers—et à son Esprit Suprême ; aux étoiles ; à leur état intérieur ; et à ce que sont réellement le temps et le temps qui passe ». Contempler Dieu lui a permis de survivre malgré le confinement d’un an avec un homme qui était, littéralement, devenu fou.

Kozyrev pensait et réfléchissait, jusqu’à ce qu’il atteigne les limites de sa propre connaissance. Il s’écriait : « Je t’en prie, Dieu ! J’ai fait tout ce que je pouvais. Aide-moi, je t’en prie ! Aide-moi à continuer ! »

Juste une demi-heure plus tard, les gardes sont venus lui donner un livre : Cours d’astrophysique.

« D’où venait-il ? », a écrit Soljénitsyne. La bibliothèque de la prison ne contenait généralement que de la propagande communiste. « Conscient de la brièveté de cette coïncidence, Kozyrev se jeta sur le livre et commença immédiatement à mémoriser tout ce dont il avait besoin, et tout ce dont il pourrait avoir besoin plus tard. » Imaginez la faim pour la véritable connaissance que les gens posséderont durant la famine de la parole. Ils auront faim de compréhension et d’espérance ! Si seulement nous pouvions apprécier ces choses maintenant, alors qu’elles sont abondantes.

L’échange des livres à cette prison devait se faire tous les 10 jours. Mais seulement deux jours après que Kozyrev a reçu ce livre, le chef de la prison fit une inspection à l’improviste. « Son œil de lynx remarqua immédiatement. “Mais vous êtes astronome ?” “Oui.” “Enlevez-lui ce livre !” Mais son arrivée mystique avait ouvert la voie à d’autres travaux, qu’il a ensuite poursuivis dans le camp, à Norilsk. »

Un tel événement peut-il être expliqué autrement que par le fait que le Dieu omnipotent et omniscient regardait, écoutait et travaillait dans la vie d’un prisonnier non converti dans un goulag soviétique ?

Dans quelle mesure Dieu sera-t-Il attentif à la vie des captifs et des exilés de la grande Tribulation ? Il orchestrera méticuleusement les circonstances pour les Laodicéens, pour la multitude innombrable qui n’avait jamais connu Dieu jusqu’à ce que la Tribulation ait frappé, pour les nations d’Israël, et, en fait, pour toute l’humanité.

« Je les sèmerai »

Parmi ceux qui subiront ce châtiment des plus sévères, Dieu dit dans Zacharie 10 : 9 : « Et je les sèmerai parmi les peuples, et ils se souviendront de moi dans les pays éloignés ; et ils vivront avec leurs enfants, et ils retourneront » (King James française). Comme leur épreuve les amènera à la repentance, Dieu les utilisera pour en atteindre encore d’autres.

« Dieu sèmera les Laodicéens parmi les peuples, durant la Tribulation. La moitié d’entre eux “retourneront” à Dieu—réalisant ce qu’ils avaient presque perdu », écrit M. Flurry dans sa brochure sur Zacharie. « Mais ce qui rend ce verset si inspirant, c’est le fait que Dieu est en contrôle de la situation. Il dit : “Je les sèmerai.” Pourquoi un agriculteur sème-t-il de la semence ? Pour qu’il puisse obtenir une récolte !... En fait, Dieu les sèmera effectivement parmi les peuples afin qu’ils puissent enseigner les gentils. Même si les gentils menaceront de les tuer, ils diront : Allez-y—mais je vous dis ce qui va arriver. Le message de Dieu sera enseigné partout dans le monde par les Laodicéens ! N’est-ce pas incroyable ? Dieu les sème afin qu’Il puisse moissonner une récolte. »

Aujourd’hui, ces gens se rebellent contre Dieu—pourtant Il se prépare à les corriger et à les sauver de la mort spirituelle—et bien au-delà ! Il se prépare à les utiliser pour sauver encore plus de gens, même leurs propres ravisseurs !

L’amour est fort comme la mort

Soljénitsyne a décrit un éventail d’outils et de tortures que les interrogateurs soviétiques utilisaient pour briser les captifs et extraire des confessions. Ils ont interrogé une femme âgée à plusieurs reprises, mais elle refusait de leur dire quoi que ce soit. « Au début, les interrogateurs se relayaient à tour de rôle, et ensuite ils s’en sont pris à elle en groupes. Ils brandissaient les poings devant le visage de la petite vieille femme, et elle répliquait : “Il n’y a rien que vous puissiez faire avec moi, même si vous me coupez en morceaux. Après tout, vous avez peur de vos patrons, et vous avez peur les uns des autres, et vous avez même peur de me tuer. Mais je n’ai peur de rien. Je serais heureuse d’être jugée par Dieu à cet instant même.” »

Soljénitsyne a connu plusieurs personnes comme elle, qui choisiraient la mort plutôt que de coopérer ou de signer quoi que ce soit pour dénoncer qui que ce soit.

Sous des conditions suffisamment difficiles, n’importe qui peut être brisé. Cela signifie que Dieu doit nous protéger, ainsi que ceux qui seront dans la Tribulation, de ces conditions qui nous briseraient.

Cantique des cantiques 8 : 6 décrit la femme laodicéenne, souffrant dans la Tribulation, et se tournant vers Dieu. « Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras », dit-elle, « Car l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Éternel. »

« Il vient un temps où cette Épouse du Christ, repentante, deviendra un témoin courageux pour son Époux face à la mort, au milieu des cauchemars de la Tribulation », écrit M. Flurry dans Le cantique des cantiques. « Elle regardera ses persécuteurs directement en face, et dira : L’amour est fort comme la mort ! Je peux aimer Dieu, et je peux mourir pour Lui parce je l’aime tant ! »

« Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeraient pas ; quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris » (verset 7). « Quelle écriture formidable ! », écrit M. Flurry. « Si nous sommes fidèles à Dieu, rien ne pourra détruire le véritable amour—rien ! Pas même la mort. »

Au milieu de tant de tragédies dans l’Église aujourd’hui, Dieu est rempli d’espoir que Ses précieux fils engendrés de l’Esprit réussiront.

Il faudra avoir un moral et un courage spirituel extraordinaires pour faire ce que ces saints feront. Pourtant, en même temps, Dieu devra calibrer méticuleusement leur expérience pour leur en donner l’occasion. Soljénitsyne soulignait un point crucial. Il dit que chaque personne a un point de rupture. Quand un prisonnier ne coopérait pas, c’est vraiment un signe que ses ravisseurs n’avaient pas réussi à le pousser jusqu’à ce point. Parlant du captif réfractaire, il écrit : « Pour un lecteur qui n’est pas en terrain connu, c’est un modèle d’héroïsme. Pour un lecteur qui a un passé au goulag amer, c’est un modèle d’interrogatoire inefficace ».

Dans des conditions suffisamment difficiles, tout le monde peut être brisé. Cela signifie que Dieu doit nous protéger, ainsi que ceux qui seront dans la Tribulation, de ces conditions qui nous briseraient. « Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation Il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter » (1 Corinthiens 10 : 13).

« Notre dernier ciel de prison »

Les Laodicéens mourront dans cette captivité. Malheureusement, beaucoup trop d’entre eux mourront, non pas pour Dieu, mais tenteront de sauver leur vie en se soumettant à leurs ravisseurs et à d’autres activités criminelles en captivité.

Mais un grand nombre se repentira et sera martyrisé pour Dieu, se montrant digne de devenir l’Épouse de l’Agneau qui a été immolé.

Ésaïe 54 : 4-5 transmet un message passionnant pour les Laodicéens qui se repentiront. Se tournant vers Dieu et abandonnant leurs vies physiques, ils seront ressuscités non seulement dans Sa Famille mais de plus en tant que membres de l’Épouse du Christ. « Ne crains pas, car tu ne seras point confondue ; ne rougis pas, car tu ne seras pas déshonorée ;... car ton créateur est ton époux : L’Éternel des armées est son nom ; et ton rédempteur est le Saint d’Israël : Il se nomme Dieu de toute la terre ». Oui, Dieu a caché Sa face, mais seulement pour un moment. Et pour un but magnifique. Pensez à tout ce que Dieu accomplira à travers la correction de la captivité.

Soljénitsyne qualifia son temps passé dans les goulags « d’années les plus importantes de sa vie, les années qui ont ajouté la touche finale à son caractère ». Il écrit : « Notre ciel initial, notre premier ciel en prison consistait en de sombres nuages de tempête tourbillonnants et des piliers noirs d’éruptions volcaniques—c’était le ciel de Pompéi, le ciel du jour du Jugement, parce que ce n’était pas juste n’importe qui, qui avait été arrêté, mais moi—le centre de ce monde. Notre dernier ciel de prison était infiniment élevé, infiniment clair, encore plus pâle que le bleu du ciel ».

Apocalypse 7 décrit deux groupes de personnes qui seront protégés des horreurs qui suivent immédiatement les deux ans et demi de Tribulation dans le terrible, Jour de l’Éternel long d’un an. Les Laodicéens sont le premier groupe (verset 4), qui meurt et est scellé : leur résurrection au retour de Jésus-Christ est certaine.

Le second groupe est « une grande multitude, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue » (verset 9)—incluant les Israélites (les gens des nations anglophones) et les gentils qui auront écouté ces Laodicéens. Le verset 14 montre que ce sont des gens qui se sont repentis dans cette Tribulation miséricordieuse.

Un second exode

Ésaïe 11 : 11 montre que Dieu protégera les individus de cette grande multitude pendant le Jour de l’Éternel, qui viendra lorsqu’Il répandra Sa colère sur les nations des ravisseurs. À ce moment-là, tout comme Il l’avait fait avec les Israélites esclaves en Égypte, Dieu délivrera ces esclaves modernes avec une main puissante (Ésaïe 27 : 12-13).

Dieu ouvrira un chemin pour cette immense multitude en poussant des montagnes d’eau hors de leur lit et en les conduisant à leur Terre Promise. Cet exode moderne sera si vaste que les gens ne se souviendront même pas de l’ancien exode à travers la mer Rouge (Ésaïe 11 : 15-16 ; Jérémie 16 : 14-15).

Les horreurs de la captivité auront finalement adouci les cœurs de ces gens de sorte qu’ils écouteront Dieu. C’est tout ce qu’Il a toujours voulu : que leur cœur se tourne vers Lui de façon qu’Il puisse les sauver de leurs péchés et de la mort, et les conduire dans une voie qui produit la vie éternelle !

« Ils viendront, et pousseront des cris de joie sur les hauteurs de Sion ; ils accourront vers les biens de l’Éternel, le blé, le moût, l’huile, les brebis et les bœufs ; leur âme sera comme un jardin arrosé, et ils ne seront plus dans la souffrance... Ainsi parle l’Éternel : Retiens tes pleurs, retiens les larmes de tes yeux ; car il y aura un salaire pour tes œuvres, dit l’Éternel ; ils reviendront du pays de l’ennemi. Il y a de l’espérance pour ton avenir, dit l’Éternel ; tes enfants reviendront dans leur territoire » (Jérémie 31 : 12, 16-17).

Les horreurs de la captivité auront adouci leurs cœurs de sorte qu’ils écouteront Dieu. C’est tout ce qu’Il avait toujours voulu.

Imaginez les gens que vous connaissez—des amis, voisins, collègues de travail, des membres de la famille—qui ont été faits prisonniers. Imaginez les voir brisés, émaciés, mais avec des cœurs adoucis, désireux de se soumettre à leur grand Créateur. Imaginez l’émotion de Dieu !

« Éphraïm est-il donc pour moi un fils chéri, un enfant qui fait mes délices ? Car plus je parle de lui, plus encore son souvenir est en moi ; aussi mes entrailles sont émues en sa faveur : j’aurai pitié de lui, dit l’Éternel... Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où je ferai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle, non comme l’alliance que je traitai avec leurs pères, le jour où je les saisis par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte, alliance qu’ils ont violée, quoique je fusse leur maître [leur époux (selon la King James)], dit l’Éternel. Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit l’Éternel : Je mettrai ma loi au dedans d’eux, Je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple... je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché » (versets 20, 31-34).

Quel merveilleux tableau ! C’est à cela même que Dieu Se prépare, aujourd’hui.

Le chaos entourant le coronavirus est une tribulation miséricordieuse, ayant pour but d’amener les gens à la repentance. Et s’ils ne se repentent pas maintenant, Dieu amplifiera l’intensité de la tribulation—et augmentera même l’intensité de Sa miséricorde.

Combien Dieu est miséricordieux, cherchant toujours à tourner le cœur des enfants vers leur Père ! C’est tout l’amour d’un Père, essayant d’atteindre Ses fils.

Réfléchissant sur sa captivité, Soljénitsyne est arrivé à cette attitude stupéfiante : « Bénie soit ma prison ». Puis il ajouta, d’un ton caustique : « (Et d’au-delà de la tombe viens la réplique : c’est très bien pour vous de dire cela—lorsque vous en sortez vivant.) »

Heureusement, les Écritures révèlent que les milliards de gens qui n’ont jamais connu Dieu et qui n’échapperont pas vivant à cette Tribulation miséricordieuse seront ressuscités et recevront une autre chance de se repentir.

Il nous reste un mince laps de temps avant que la Tribulation prophétisée par Jésus-Christ n’éclate sur le monde. Repentez-vous maintenant, alors que la vérité est disponible en abondance pour vous ! Repentez-vous maintenant et revendiquez la promesse de Dieu de protéger Ses fidèles des souffrances à venir. Si vous vous êtes détourné de Dieu, revenez ! Si vous ne vous êtes jamais engagé envers Dieu, engagez-vous !

Joignez-vous à l’œuvre de Dieu qui travaille dans l’urgence pour utiliser les quelques rares moments qui nous restent pour trompeter le message de Dieu aussi fort que possible à la plus large audience possible !

Fr Song