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Les sanctions de l’ONU contre l’Iran expirent

ROUHOLLA VAHDATI/ISNA/AFP VIA GETTY IMAGES

Les sanctions de l’ONU contre l’Iran expirent

Les sanctions imposées par les Nations unies au programme de missiles de l’Iran ont expiré le 18 octobre, ce qui signifie que la République islamique est désormais libre d’acheter, de vendre et de développer des drones, des missiles balistiques et d’autres technologies de frappe à longue portée.

En 2015, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 2231, qui stipule que toutes les sanctions internationales contre l’Iran seront levées d’ici le 18 octobre 2023, en échange de l’engagement de l’Iran à ne pas développer d’armes nucléaires.

La résolution ratifie officiellement l’accord nucléaire conclu par le président Barack Obama avec l’Iran.

Clause ‘snapback’: Lors de la signature de l’accord, Obama a promis qu’il contenait une clause « snapback », c’est-à-dire que les sanctions pourraient être automatiquement réimposées si un État déposait une plainte valable pour violation de l’accord par l’Iran.

L’Iran a violé à plusieurs reprises les restrictions, mais l’administration Biden a laissé les sanctions expirer le 18 octobre. Aucune proposition n’a été faite pour rétablir les sanctions. Cela signifie que l’Iran est libre de développer des armes nucléaires.


La non-application des sanctions de l’ONU aux essais de missiles balistiques, aux transferts et aux autres activités de l’Iran sera un nouveau signe de l’irrésolution de la communauté internationale à dire et à faire ce qu’il faut face à l’Iran. Cela encouragera donc l’Iran à redoubler d’efforts dans le domaine de la terreur et de la prolifération des armes. Plus Téhéran se sentira confiant, plus la menace sera mortelle.
—Behnam Ben Taleblu, chercheur principal à la Foundation for Defense of Democracies, groupe de réflexion basé aux États-Unis

Gaffe en politique étrangère : Après l’entrée en vigueur de l’accord nucléaire d’Obama avec l’Iran le 16 janvier 2016, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, l’a qualifié de « pire gaffe de politique étrangère de l’histoire américaine ».

Toute personne dotée de bon sens sait qu’on ne négocie pas avec des nations qui aspirent à notre destruction. L’Amérique a négocié avec la pire nation terroriste de la planète et l’a invitée à rejoindre la communauté des nations. Cela mène-t-il à la paix ? Lisez Matthieu 24 : 21-22 pour voir où cela mène.
—Gerald Flurry

Le fait que l’administration Obama ait été si pressée de conclure un accord avec l’État terroriste montre qu’elle n’avait pas à cœur les intérêts de l’Amérique. Aujourd’hui, l’administration Biden suit la même voie.

LA TROMPETTE EN BREF

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