Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

Mathieu Slama : « La démocratie est aujourd’hui un champ de ruines »

«

En temps de crise, d'urgence, quand un pays, une région et même tout un monde semble sombrer, un réflexe courant consiste à larguer la liberté par-dessus bord. On serre les vis maintenant, les circonstances l'exigent, on aura bien le temps de voir plus tard. Après tout, la liberté n'est-elle pas un luxe permis par des temps paisibles et prospères ?

Pour Mathieu Slama, invité du nouvel épisode des Contrariantes, il en va au contraire d'un des pires périls qu'une société peut affronter, sans aucune garantie de s'en remettre à court et moyen terme. Consultant et analyste politique, enseignant en communication politique, Mathieu Slama a commencé sa carrière d'essayiste en 2016, avec un premier livre publié aux éditions de Fallois, La Guerre des mondes, réflexion sur la croisade idéologique de Poutine contre l'Occident, plus que jamais d'actualité à l'heure de l'invasion russe de l'Ukraine.

»
la Trompette dit...

Autour du monde, la réponse draconienne au coronavirus met en péril la liberté. Mais il y a une raison plus profonde à cela qui est cachée de la plupart de gens. Nous l’expliquons dans notre article « Le remède nous tue », par le rédacteur exécutif de la Trompette, Stephen Flurry :

Que le covid-19 ait affecté, ou affectera, votre santé, votre gagne-pain ou vos libertés, vous devez prendre note de ce qui vient de se produire dans le monde. La réaction absolument puissante et autodestructrice à une mauvaise saison de grippe, illustre le pouvoir de Satan d’attaquer les émotions. Il peut faire des ravages dans le monde entier. Il peut le faire dans votre vie aussi. La bataille ici n’est pas seulement contre un virus, une confusion, une désinformation ou une intention cachée. Pour le monde, et pour vous individuellement, c’est contre Satan. Le monde ne le verra pas avant qu’il soit trop tard, mais qu’en sera-t-il pour vous ?

Pour en savoir plus sur comment réagir face à la perte de votre liberté, veuillez lire « Le remède nous tue ».