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Quand la Suède, « paradis » des transgenres, découvre qu’elle a créé l’enfer !

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Pionnière, la Suède a été le premier pays au monde à reconnaître la dysphorie de genre. C’était en 1972. Les traitements y sont totalement pris en charge dans les cliniques publiques dès l’âge de 16 ans : « Bloqueurs de puberté pour les plus jeunes, injections de testostérone ou d’œstrogènes, opération de la poitrine, orthophoniste pour changer sa voix, épilation, greffe de barbe etc. » L’opération des parties génitales est autorisée à partir de 18 ans. Insuffisant pour les associations qui soutiennent un projet de loi de 2018 pour « abaisser l’âge du changement à 12 ans et celui des interventions chirurgicales à 15 ans, sans consentement parental ».

Qu’importe, durant toutes ces années, les Suédois ont décidé de réparer cette erreur de nature. En pointe dans les « traitements », Karolinska, le plus prestigieux hôpital du pays. Et voilà qu’un drame national se joue : ses équipes refusent désormais le traitement hormonal aux nouveaux patients mineurs. Ils mettent en avant « le principe de précaution ». S’avisent tout à coup qu’« il n’y a pas de preuve de l’efficacité de ces traitements, pourtant irréversibles, pour le bien-être des patients ». Et, pire, que lesdits traitements entraînent maladies cardiovasculaires, certains cancers, ostéoporose, thromboses, etc. Dénoncent surtout les « surdiagnostics » de dysphorie de genre (70 à 80 % des demandes sont acceptées).

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