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Quoi d’autre John Durham va-t-il découvrir ?

KAREN BLEIER/AFP VIA GETTY IMAGES

Quoi d’autre John Durham va-t-il découvrir ?

Un avocat payé par la campagne Clinton a espionné Donald Trump alors même qu'il était à la Maison Blanche, selon une motion déposée par le conseiller spécial John Durham à la mi-février.

La motion s'ajoute aux informations déposées le 17 septembre 2021 contre Michael Sussmann, un avocat qui a travaillé directement pour les Clinton, Fusion GPS et le Comité national démocrate—mais qui a menti sur l'identité de ses clients au Bureau Fédéral d’enquête (FBI). M. Sussmann a travaillé avec le cadre en technologie Rodney Joffe pour espionner les activités Internet de la Trump Tower, l'immeuble d'habitation de Donald Trump et même le bureau exécutif.

Ces informations explosives révèlent une fois de plus la trahison commise par les principaux démocrates ! Pourtant, la presse traditionnelle l'a complètement ignorée. C'est une complicité honteuse avec ces crimes qui détruisent notre république constitutionnelle !

M. Joffe a volontairement conseillé l'ancien Président Barack Obama en matière de cybersécurité. En 2013, le directeur du FBI, James Comey, a attribué à M. Joffe un prix pour son aide dans l'enquête d’une affaire de cybersécurité. Jusqu'en septembre 2021, M. Joffe était cadre chez Neustar, une grande entreprise qui dirige le trafic Web. Dans un courriel obtenu par les procureurs, M. Joffe a déclaré : « Les démocrates m'ont provisoirement offert le poste [de cybersécurité] le plus élevé lorsqu'il semblait qu'ils allaient gagner. » Il a ajouté, « Je n'accepterais certainement pas le poste sous M. Trump. »

Selon la dernière motion de M. Durham, M. Joffe et ses associés ont examiné le trafic Web de Donald Trump pour trouver tout ce qui pourrait être dépeint comme un lien avec la Russie. Le document indique également que M. Joffe « a demandé l'aide de chercheurs d'une université américaine qui recevaient et analysaient de grandes quantités de données Internet dans le cadre d'un contrat de recherche sur la cybersécurité en cours avec le gouvernement fédéral », ce qui fait probablement référence à Georgia Tech et au contrat qu'elle avait avec la Defense Advanced Research Projects Agency [Agence pour les projets de recherche avancée de défense].

M. Joffe a transmis ces informations à M. Sussmann. En septembre 2016, à l'approche de l'élection, M. Sussmann a demandé une rencontre avec l'avocat général du FBI de l'époque, James Baker, affirmant qu'il disposait d'informations troublantes sur les liens de M. Trump avec la Russie—et affirmant qu'il ne travaillait pour aucun client. Puis, en février 2017—après l'entrée au pouvoir de M. Trump—M. Sussmann a fourni « une série d'allégations actualisées » à une autre agence de renseignement américaine, vraisemblablement l’Agence centrale de renseignement (CIA). M. Sussmann a maquillé l'information pour faire croire que M. Trump était de connivence avec la Russie. Une grande partie de ces informations a fait son chemin à la presse et a été utilisée pour tenter de faire tomber le président Trump.

M. Trump a déclaré, à juste titre, que la motion déposée par M. Durham « fournit des preuves indiscutables que ma campagne et ma présidence ont été espionnées par des agents payés par la campagne d'Hillary Clinton dans le but de développer un lien complètement fabriqué avec la Russie ». « C'est un scandale bien plus grand dans sa portée et son ampleur que le Watergate et ceux qui ont été impliqués dans cette opération d'espionnage et qui étaient au courant de celle-ci devraient faire l'objet de poursuites pénales », a déclaré M. Trump. « Dans une période plus forte de notre pays, ce crime aurait été passible de la peine de mort. »

Je suis entièrement d'accord avec lui ! Et ce n'est que la dernière d'une série de révélations montrant une corruption choquante. Et il y en aura d'autres.

Et à la fin, nous découvrirons que tout cela remonte à un seul homme : Barack Obama.

Les plus hauts niveaux du gouvernement

À l'automne 2020, le directeur du renseignement national John Ratcliffe a déclassifié des documents critiques exposant le fait que le dossier Steele et le complot contre Donald Trump remontaient jusqu'aux hauts responsables de l'administration Obama—y compris le président Barack Obama lui-même.

Cela révèle un niveau de corruption sans précédent ! C'est un problème qui détruit la nation !

Il a été prouvé que le « dossier Steele »—un rapport complètement faux rempli de mensonges scandaleux visant spécifiquement à discréditer Donald Trump, alors candidat à la présidentielle—a été payé par la campagne présidentielle d'Hillary Clinton. Il a été prouvé que, bien que sachant tout cela, les fonctionnaires du FBI ont utilisé illégalement le dossier pour obtenir un mandat d'espionnage de la campagne de M. Trump.

Le 29 septembre 2020, M. Ratcliffe a remis des documents à la commission judiciaire du Sénat. L'un d'entre eux était une copie expurgée des notes manuscrites de John Brennan, alors directeur de la CIA, après avoir informé le Président Obama des récents renseignements que la CIA avait reçus. « Nous obtenons des renseignements supplémentaires sur les activités russes de [expurgé] », peut-on lire dans ses notes. « Citer l'approbation présumée par Hillary Clinton, le 26 juillet, d'une proposition de l'un de ses conseillers en politique étrangère visant à vilipender Donald Trump en provoquant un scandale prétendant l'ingérence du service de sécurité russe » (c'est nous qui soulignons tout au long).

Ces notes prouvent que M. Brennan et M. Obama savaient tout du dossier Steele et ont plus que probablement approuvé l'utilisation du dossier par le FBI pour obtenir un mandat d'espionnage de M. Trump et de sa campagne. C'est une activité criminelle flagrante aux plus hauts niveaux du gouvernement !

Dans sa lettre à la commission judiciaire du Sénat, M. Ratcliffe a écrit : « À la fin juillet 2016, les agences de renseignement américaines ont obtenu un aperçu de l'analyse des services de renseignement russes alléguant que la candidate à la présidence américaine Hillary Clinton avait approuvé un plan de campagne visant à susciter un scandale contre le candidat à la présidence américaine Donald Trump en le liant à [Vladimir] Poutine et au piratage du Comité national démocrate par les Russes. » Rappelez-vous cet été, lorsque le DNC [Comité démocrate national] a été piraté et qu'immédiatement la campagne Clinton a dit que la Russie était derrière tout cela et que M. Poutine le faisait pour aider M. Trump. Tout cela était une tentative de détourner l'attention du contenu des e-mails du DNC et de créer une « police d'assurance » contre M. Trump. Le Président Obama était également au courant de cela.

La lettre de M. Ratcliffe poursuit : « Le 7 sept. 2016, des responsables du renseignement américain ont transmis un renvoi d'enquête au directeur du FBI James Comey et au sous-directeur adjoint du contre-espionnage Peter Strzok concernant ‘l'approbation par la candidate à la présidence américaine Hillary Clinton d'un plan concernant le candidat à la présidence américaine Donald Trump et des pirates informatiques russes entravant les élections américaines comme moyen de distraire le public de son utilisation d'un serveur de messagerie privé.’ »

Notez ça ! Le FBI a reçu « un renvoi d'enquête » de la part de responsables du renseignement américain. Cela signifie que quelqu'un dans l'administration Obama disait au FBI d'enquêter sur ces fausses allégations contre M. Trump. M. Obama et tout son entourage, les agences de renseignement et le FBI, savaient tous que l'idée de collusion entre la campagne de M. Trump et le gouvernement russe avait été créée par la campagne d'Hillary Clinton et était un canular. Mais ils voulaient aider les démocrates à prendre le contrôle du pays !

Ce que M. Ratcliffe a révélé dans cette lettre est suffisamment accablant. Pourtant, le 7 octobre 2020, il a annoncé qu'il avait fourni à l'enquête du conseiller spécial John Durham plus d'un millier de documents classifiés relatifs au dossier Steele et à la façon dont il a été utilisé « aux plus hauts niveaux de notre gouvernement ». Il a déclaré que le contenu de ces documents est criminel !

Honteusement, les médias ont été presque totalement silencieux sur cette histoire. Pourquoi ne s'y intéressent-ils pas ? Pourrait-il y avoir quelque chose de plus important ? Il s'agit de la perte de notre pays ! Il s'agit de passer d'une grande liberté à la pire forme de tyrannie !

‘En danger criminel’

Après avoir inculpé Michael Sussmann le 17 septembre 2021, le 4 novembre, l'avocat spécial de M. Durham a inculpé Igor Danchenko, la principale sous-source du dossier Steele. Il s'agissait d'accusations révélatrices et très médiatisées qui laissaient entrevoir la portée de l'enquête de Durham.

Ce cabinet d'avocats engagé par la campagne d'Hillary Clinton, Fusion GPS et le DNC a dépensé des millions de dollars pour le dossier Steele afin de perpétuer la plus grande fraude de l'histoire américaine ! En dehors de tous les autres ennuis de Mme Clinton, le fait qu'ils aient dépensé de l'argent des donateurs pour aider la campagne de Mme Clinton afin de financer un rapport frauduleux pour salir Donald Trump serait certainement une violation criminelle du financement de la campagne ! Ils le savent, c'est pourquoi ils ont mis en place tant de pare-feu pour se protéger. Techniquement, le DNC ne l'a pas financé—la firme de M. Sussmann, Perkins Coie, l'a fait.

L'animatrice de Fox News Maria Bartiromo est pratiquement la seule personnalité médiatique à vouloir aborder cette histoire. En novembre, après l'inculpation de M. Danchenko, elle a interviewé M. Ratcliffe à ce sujet.

Dans cette interview, M. Ratcliffe a déclaré que « tout ce qui est lié au dossier Steele était connu pour être faux, mais c'est pourtant ce qui a servi comme prémisse pour aller de l'avant avec une enquête injuste, inéquitable et finalement… criminellement négligente contre la campagne Trump. » Il a ajouté que le directeur du FBI, Christopher Wray, a admis sous serment que le FBI n'avait aucune raison de demander à la Cour de surveillance des renseignements étrangers, un mandat pour espionner la campagne de M. Trump, pourtant le FBI l'a quand même fait. Il a espionné M. Trump et a continué à le faire même après qu'il est devenu président ! Et, de manière cruciale, nous savons maintenant que M. Brennan a informé M. Obama et Joe Biden à ce sujet en août 2016, trois mois avant l'élection. Ils savaient donc que le dossier était frauduleux et que toute l'opération d'espionnage y était basée.

M. Ratcliffe a dit qu'il a informé le représentant Adam Schiff de ces faits exacts et lui a dit que cela remontait jusqu'à M. Obama. M. Schiff, un gauchiste radical, est immédiatement sorti et a déclaré publiquement que M. Trump était de connivence avec la Russie et qu'il en avait la preuve ! C'est ainsi que la gauche ment régulièrement. Ils sont effrontés comme des démons ! Et pratiquement personne ne les tient pour responsables ! Comme le prophète Ésaïe l'a écrit, « Et le jugement est repoussé en arrière, et la justice se tient loin ; car la vérité a trébuché sur la place publique, et la droiture ne peut entrer. » (Ésaïe 59 : 14—version Darby).

M. Ratcliffe a dit deux fois que les documents qu'il a fournis à M. Durham atteignent les plus hauts niveaux du gouvernement. Il a dit qu'il savait que M. Durham se penchait sur la question et que ces documents révélaient « une activité criminelle qui servirait de base à de nouvelles mises en accusation ». « Je tiens à penser qu'il y aura de nombreuses mises en accusation basé sur les renseignements que j'ai donnés à John Durham et que j'ai vus », a-t-il déclaré.

M. Durham n'a pas encore fini ! M. Ratcliffe a déclaré à Mme Bartiromo que « toute personne associée au dossier Steele, à sa création, à son colportage au FBI, et à son utilisation par les autorités policières contre la campagne Trump… est en danger criminel en ce moment. »

Les radicaux qui ont utilisé ce document dans leur trahison persistante pour renverser le gouvernement de ce pays doivent être perturbés. Ils doivent s'inquiéter du fait que les notes de M. Brennan prouvent que Barack Obama et Joe Biden ont été informés à ce sujet en août 2016, juste au moment où tout se déroulait. Ces hommes savaient tout au sujet des origines corrompues de ce dossier.

L'interview de M. Ratcliffe contenait des informations qui ne figuraient pas dans le rapport du conseiller spécial Robert Mueller ou dans le rapport de l'inspecteur général du ministère de la Justice Michael Horowitz. Mais le rapport de M. Horowitz a établi des choses importantes, notamment cette déclaration : « Nous avons conclu que la réception par l'équipe Crossfire Hurricane du rapport électoral de Steele le 19 septembre 2016 a joué un rôle central et essentiel. » Le directeur adjoint du FBI, Andrew McCabe, a également admis que les opérations du FBI remontaient au dossier Steele.

Le rapport de M. Horowitz a révélé des messages entre le chef de section du FBI Peter Strzok et l'avocate du FBI avec laquelle il commettait l'adultère, Lisa Page. M. Strzok détestait clairement M. Trump. Il a envoyé à Mme Page un message désormais tristement célèbre disant que M. Trump ne deviendrait jamais président, écrivant : « Non. Non, il ne le sera pas. Nous allons l'arrêter. » À une autre occasion, Mme Page a déclaré qu'elle préparait des informations pour le directeur du FBI James Comey parce que « POTUS [le président des États-Unis] veut savoir tout ce que nous faisons ».

L'auteur de Ball of Collusion [Boule de collusion], Andrew C. McCarthy, a écrit que le 5 août 2016, M. Strzok et Mme Page « ont eu une conversation tendue sur une réunion imminente impliquant des ‘gens de l'agence’—apparemment la CIA. Lors de cette réunion, un fonctionnaire—dont le nom a été expurgé dans des mémos du gouvernement—a dit aux fonctionnaires du FBI : ‘La Maison-Blanche dirige tout cela.’ » Selon M. McCarthy, ce fonctionnaire était le directeur Brennan lui-même. Il était le tsar du président. Il participait activement à des émissions d'information pour répandre des mensonges sur Donald Trump. (En fait, après que M. Trump est devenu président, M. Brennan, ainsi que James Clapper et Andrew McCabe sont littéralement devenus des employés de MSNBC et CNN).

« La Maison Blanche dirige tout ça » a montré à tous les autres quelle volonté ils suivraient : celle de Barack Obama.

Il existe aucun autre mot, pour décrire cela, que le mot trahison !

En regardant l'interview de M. Ratcliffe, j'étais stupéfait. Je pensais que ces révélations étonnantes feraient beaucoup de bruit. Ces informations ne pourraient pas être plus importantes ! Il s'agit de la trahison de notre pays et de l'avenir même de la liberté en Amérique ! Pourtant, les directeurs de l'information et les présentateurs concentrent votre attention aussi loin que possible de ces actes de trahison. En avez-vous entendu parler dans les actualités ? Je n'ai même pas vu Fox News en parler, à part Mme Bartiromo ; ils l'ont pratiquement caché. Presque personne n'a le courage de s'exprimer sur Barack Obama ! M. Ratcliffe et Mme Bartiromo sont deux des seules personnes à avoir le courage de dire que les actions de trahison visant à prendre le contrôle du gouvernement remontent directement à M. Obama !

Dans cette même interview, M. Ratcliffe a dit : « La vérité se défendra elle-même. » C'est vrai, mais nous avons vu et nous voyons en ce moment que si personne n'aime la vérité et ne se bat pour elle, la vérité peut être jetée par terre et piétinée ! (par exemple, Daniel 8 : 12).

Pourtant, malgré le silence et la censure des médias, je crois que nous sommes à un tournant. Je suis convaincu qu'au moment même où le pouvoir des élites radicales monte en flèche et qu'elles mènent l'Amérique à sa perte, leur trahison est sur le point d'être exposée et elles vont perdre leur pouvoir.

Tous les chemins mènent à…

Où tous les chemins mènent-elles ? Une seule personne avait la motivation et la malice dévorantes. Une seule personne avait la force et la volonté de dominer. Une seule personne disposait du réseau nécessaire de puissants complices au sein du gouvernement et des médias. Une seule personne avait et a toujours la fierté inébranlable et le pouvoir tyrannique d'accomplir cette trahison permanente contre les États-Unis d'Amérique ! Il faut le nommer ! Cet homme est Barack Obama.

Même Fox News évite souvent ce sujet et dit des choses vagues, par exemple comment ces récentes inculpations pourraient être « une mauvaise nouvelle pour les Clinton ». Est-ce vraiment « s’élever » contre ce terrible mal ? Les conservateurs sont trop faibles de cœur ! Ils disent qu'ils ont le courage de dire la vérité, mais quelque chose les empêche de dire toute la vérité. Ils ne veulent jamais s'en prendre à celui qui est au sommet, même si l'avenir de notre pays est en jeu !

Comme l'a dit M. Trump, dans l'histoire récente, lorsque quelqu'un commettait une telle trahison, la société l'aurait souvent mis à mort ! Essayer de renverser un gouvernement libre en une tyrannie abjecte est un acte digne de la mort. Mais presque personne n'a le courage de défier cet homme qui commet de hauts crimes contre notre république !

Dieu dit que Son peuple doit faire quelque chose à ce sujet ! L'Œuvre de Dieu avertit l'Amérique et le monde entier qu'ils ne pourront jamais inverser ce qui arrive à leurs pays, à moins qu'ils ne reçoivent la puissance de Dieu ! L'Œuvre de Dieu a une grande tâche : exposer tout cela au mieux de nos capacités.

Ces gens ne sont pas seulement motivés par le socialisme, le communisme et la haine de l'Amérique, mais par quelque chose d'encore plus maléfique—et d'encore plus puissant. Barack Obama et les autres élites radicales puissantes qui forcent les autres à se soumettre à leur volonté et qui nient la réalité elle-même sont dominés par l'être qui adore la volonté, qui est le père du mensonge et qui est un meurtrier depuis le début : Satan le diable.

2 Rois fait partie des anciens prophètes. Il s'agit d'une histoire, mais aussi d'une prophétie du temps de la fin. Voici deux versets cruciaux avec cette dualité : « Car l'Éternel vit l'affliction d'Israël à son comble et l'extrémité à laquelle se trouvaient réduits esclaves et hommes libres, sans qu'il y eût personne pour venir au secours d'Israël. Or l'Éternel n'avait point résolu d'effacer le nom d'Israël de dessous les cieux, et il les délivra par Jéroboam, fils de Joas. » (2 Rois 14 : 26 et 27).

Tout au long de l'histoire, Satan a continuellement essayé d'« effacer le nom d'Israël », celui de la nation choisie par Dieu. Plusieurs exemples bibliques le montrent, ainsi que des exemples historiques jusqu'à nos jours. Psaumes 83 prophétise même que le diable inspirera une alliance de nations à la fin des temps pour tenter de détruire Israël et effacer tout souvenir de son nom !

Satan travaille à travers les hommes. D'autres prophéties montrent qu'il travaille surtout par l'intermédiaire d'un dirigeant pour causer les plus grands dommages à la cible qu'il a choisie. En Amérique, il a travaillé de l'intérieur par le biais d'un homme dont l'objectif déclaré était de « transformer fondamentalement » la plus grande nation de l'histoire. Et cet homme est encore très actif aujourd'hui. Joe Biden est en fonction, mais Barack Obama était et est toujours derrière Joe Biden. Il est l'homme que Satan utilise pour détruire les États-Unis, le plus puissant descendant de l'ancien Israël. La Trompette a averti de ce fait presque dès le début de la présidence de M. Obama.

Pour en savoir davantage sur cette réalité biblique, lisez ma brochure L'Amérique sous attaque. Nous travaillons à produire une version largement mise à jour de cette brochure. Mais même dans sa version actuelle, elle expose la réalité spirituelle qui se cache derrière les événements que nous voyons aujourd'hui.

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