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Réveillez-vous face à la menace de la Chine

Gary Dorning/La Trompette

Réveillez-vous face à la menace de la Chine

Cette nation cherche la domination mondiale—et elle fait des progrès impressionnants dans la réalisation de cette ambition.
«L a Chine va manger notre déjeuner ? Allez mec », a déclaré Joe Biden alors qu’il faisait campagne pour la présidence américaine, ridiculisant les déclarations de Donald Trump. « Ce ne sont pas de mauvaises personnes. Mais devinez quoi ? Ils ne sont pas de la concurrence pour nous. »

Surtout depuis l'élection nationale du 3 novembre 2020, il y a eu un déluge de rapports exposant la dangereuse naïveté de cette déclaration. Et beaucoup d'entre eux suggèrent non seulement que Joe Biden savait mieux, mais que son aveuglement à la menace de la Chine est volontaire, enraciné non pas dans la compassion mais dans le compromis et la corruption.

« Toute guerre est fondée sur la tromperie », a écrit le célèbre général chinois Sun Tzu. « L’excellence suprême consiste à briser la résistance de l’ennemi sans combattre. » Il semble que les disciples chinois modernes de Sun mettent en œuvre ses stratagèmes de guerre avec un succès stupéfiant. Les faits émergeants exposent des réalités qui ressemblent à des théories du complot—des réalités au sujet des activités trompeuses de la Chine communiste visant à briser la résistance de ses ennemis sans combattre.

L’ambition de la Chine de dominer le monde devient de plus en plus claire. À bien des égards, cela n'a guère été un secret. Son initiative Belt and Road [ceinture et route] et sa Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures sont conçues pour remettre en question et remplacer le rôle central de l’Amérique dans l’économie mondiale. Sa « diplomatie du piège de la dette » lui a donné une influence sur une chaîne de nations à travers les continents. Pékin militarise la mer de Chine méridionale et s'empare de points d'étranglement stratégiques dans le monde entier. Les nations de toute l'Asie travaillent nerveusement pour accommoder la Chine, car elles reconnaissent qu'elle a supplanté les États-Unis en tant que puissance dominante de la région.

Des rapports récents, cependant, exposent les réalisations de la Chine pour faire correspondre ces actions manifestes avec des opérations secrètes. Ils révèlent comment des membres du Parti communiste chinois ont subrepticement infiltré des entités étrangères, travaillant dans les universités, les grandes entreprises et les gouvernements du monde entier. Ils révèlent des espions chinois séduisant des hauts fonctionnaires du gouvernement avec de l'argent et du sexe. Ils montrent que les représentants fédéraux américains utilisent le pouvoir qui leur a été confié à des fins politiques, personnelles et financières. Ils montrent une ingérence électorale et un piratage littéral de l’élection. Et tout cela dans le contexte d'un monde transformé par un virus originaire de la Chine.

Le fait que cette nation cible agressivement la superpuissance dominante du monde ne doit pas nous surprendre. Mais l’ampleur de son succès et le fait que l’Amérique ne l’a pas seulement permis, mais semble indifférente, est consternant. En fait, vu dans le contexte de la prophétie biblique, c'est un symbole puissant de rien de moins qu'un changement mondial historique qui se produit sous nos yeux : La fin de l’ère Anglo-américaine et le début d’une période courte et sombre qui marquera les dernières années de l’âge de l’homme.

Fait remarquable, la plupart des gens restent endormis face à ce sujet. C'est en grande partie parce que de nombreuses élites de la politique, des médias, des entreprises et de la technologie—y compris Joe Biden—ont priorisé leurs intérêts personnels par rapport aux intérêts de leur pays. Ils ont été achetés par la Chine.

En plus des tendances prophétiques que cela met en évidence, il contient également une plus grande leçon—une vérité profonde à propos de notre nature humaine et notre besoin de Dieu.

Infiltration

Un groupe de Chinois qui s'opposent au régime du Parti communiste chinois (PCC) a piraté un serveur informatique à Shanghai et, en décembre 2020, a révélé l'identité et les détails de près de 2 millions de membres du parti et de quelque 79 000 succursales du Parti communiste. La fuite a démasqué les communistes travaillant à des postes sensibles et puissants dans le monde des affaires, de la technologie, les médias de prestige, la défense et la politique à travers le monde. Ils travaillent au sein de grandes entreprises comme Boeing, Volkswagen, HSBC, ANZ et autres, ainsi que dans au moins 10 consulats. AstraZeneca et Pfizer, qui travaillaient tous les deux sur des vaccins contre la COVID, emploient 123 membres du CCP.

« L’influence malveillante de Pékin s’étend désormais dans presque tous les aspects de la vie britannique, y compris les entreprises de défense, les banques et les géants pharmaceutiques », a rapporté le journal Daily Mail. « Parmi eux se trouve un haut fonctionnaire du consulat britannique à Shanghai. Son quartier général abrite également des agents du renseignement des services de sécurité britanniques » (12 décembre 2020).

La loyauté de ces personnes est consacrée non seulement à la Chine mais à l'idéologie, au parti et au président du Parti communiste chinois.

Cette révélation prouve que le monde a affaire à un ennemi déterminé et ingénieux, et que les nations ont été trop désinvoltes pour se protéger contre l'espionnage, le vol de propriété intellectuelle et qui sait quoi d'autre que font ces communistes.

Des dizaines de milliers de succursales du Parti communiste. Des millions de membres. Des positions dans les secteurs sensibles. C'est ce que nous découvrons seulement maintenant. Quoi d’autres ne savons-nous pas ?

Et même cela sera-t-il balayé sous le tapis, écarté ou « discrédité » par les médias américains ? Est-ce que les dirigeants américains et les Américains ordinaires se soucieront-ils suffisamment pour au moins exiger plus d'informations—sans compter d’y faire face ?

‘Nous avons des gens au sommet’

Di Dongsheng est un professeur d’économie à Beijing et un agent de liaison avec le Parti communiste chinois. S'exprimant lors d'un événement organisé le 28 novembre 2020 par le site Web nationaliste chinois Guan Video, cet homme a laissé tomber ces déclarations explosives : « L'administration Trump est en guerre commerciale avec nous, alors pourquoi ne pouvons-nous pas assujettir l'administration Trump ? Pourquoi entre 1992 et 2016 la Chine et les États-Unis ont-ils pu régler toutes sortes de problèmes ? Peu importe le type de crise que nous avons rencontré... les choses étaient résolues en un rien de temps… Nous avons tout réglé en deux mois. Quelle est la raison ? Je vais lancer quelque chose d’un peu explosif ici. C’est simplement parce que nous avons des gens au sommet. Au sommet du cercle central du pouvoir et d’influence de l’Amérique, nous avons nos vieux amis » (emphase ajoutée tout au long).

Cette révélation prouve que le monde a affaire à un ennemi déterminé et ingénieux, et que les nations ont été trop désinvoltes pour se protéger elles-mêmes.

En d'autres termes, la capacité de la Chine à influencer le gouvernement américain a commencé avec l'administration de Bill Clinton en 1992. Ce « vieil ami » a livré à la Chine de grandes victoires : il a été le premier président américain à s'opposer publiquement à l'indépendance de Taiwan—une nation que Pékin revendique comme faisant partie de la Chine. Il a également accordé le statut commercial de la nation la plus favorisée, envoyant plus de 3,7 millions d'emplois des États-Unis vers la Chine. Selon Di, l’influence de la Chine s’est poursuivie à travers les administrations de George W. Bush et de Barack Obama (et Joe Biden). Cela s'est brusquement arrêté avec Donald Trump.

« Pour parler franchement », a déclaré Di, « au cours des 30, des 40 dernières années, nous avons utilisé le cœur de la puissance des États-Unis »—donc cela a même précédé Bill Clinton. « Mais le problème est qu'après 2008, le statut de Wall Street a décliné—et plus important encore, après 2016, Wall Street ne peut pas assujettir Trump. » Le régime du PCC a utilisé le cœur de la puissance des États-Unis. Comme nous le verrons, l’opposition du président Trump à la Chine l’a mis en opposition au « cœur de la puissance des États-Unis »—la « classe chinoise » de l’Amérique.

« Pendant la guerre commerciale américano-chinoise, [Wall Street] a essayé d'aider. Et je le sais ; mes amis du côté américain m'ont dit qu'ils essayaient d'aider, mais qu'ils ne pouvaient pas faire grand-chose », a poursuivi Di. Vous avez bien lu. De puissants investisseurs de Wall Street—l'incarnation supposée du capitalisme américain—ont essayé d'aider les intérêts du PCC contre ceux de leur propre président de « l’Amérique d'abord ». « Mais maintenant, nous voyons que Biden a été élu. L'élite traditionnelle, l'élite politique, l'establishment, ils sont très proches de Wall Street… Vous avez tous entendu dire que Trump avait dit que le fils de Biden avait des sociétés de valeurs mobilières partout dans le monde. Mais qui a aidé le fils de Biden à créer ses entreprises mondiales ? Vous comprenez ? Il y a en effet des transactions d'achat et de vente impliquées ici. »

Ce clip a été rapidement supprimé des réseaux sociaux chinois, et vous pouvez voir pourquoi. Il serait difficile pour les communistes chinois d’expliquer ces déclarations. Il serait également difficile pour une administration Biden-Harris d'expliquer en quoi le soutien constant de Joe Biden pour un traitement favorable de la Chine—qui remonte à l'époque où il a aidé l'administration Clinton à ouvrir le commerce avec le régime chinois—ne sont pas une fonction de la corruption de sa propre famille.

Les Bidens

Joe Biden a affirmé à plusieurs reprises qu'il n'avait « jamais parlé à mon fils de ses relations commerciales à l'étranger ». Les preuves de l’ampleur totale de ces transactions se sont multipliées—tout comme l’impossibilité de les ignorer par Joe Biden.

Celles-ci incluent la part de 10 pour cent de Hunter Biden et une position en tant que l'un des neuf administrateurs d'une société chinoise de capital-investissement appelée BHR Partners. Bien que son nom sonne assez américain, son financement provient principalement d'institutions appartenant au gouvernement chinois. Avant les élections présidentielles de 2020, l'investisseur Tony Bobulinski a déclaré à l'animateur de Fox News Tucker Carlson qu'il était personnellement impliqué dans un partenariat d'investissement avec une société liée au gouvernement chinois et non seulement Hunter Biden, mais également Jim Biden et Joe Biden. Il a déclaré que l'arrangement comprenait un prêt de 5 millions de dollars américain à la famille Biden. Il a également déclaré que l'un des partenaires commerciaux lui avait dit de garder secrète l'implication de Joe Biden.

Également avant les élections, le 23 septembre 2020, le Comité sur la Sécurité intérieure et les Affaires gouvernementales du Sénat des États-Unis a publié un rapport intitulé « Hunter Biden, Burisma et la corruption : l'impact sur la politique du gouvernement américain et les préoccupations connexes. » Parmi ses découvertes : Hunter Biden a reçu 1 million de dollars d'un ancien fonctionnaire de Hong Kong ; il a reçu 5 millions de dollars d'une société énergétique chinoise liée au PCC ; et il a reçu un diamant de 2,8 carats du fondateur de la société, Ye Jianming, qu’il a rencontré lors d’un de plusieurs voyages en Chine sous la protection des services secrets alors que son père était vice-président. Ye Jianming a également fait affaire avec Jim Biden. Les courriels de l'ordinateur portable de Hunter Biden montrent qu'il a ouvert une ligne de crédit avec l'associé de Ye le jour même où la société énergétique chinoise a annoncé un accord de 9,1 milliards de dollars avec une société énergétique du gouvernement russe. Un autre courriel répertorie « le grand patron » comme étant un actionnaire dans l'accord de la compagnie énergétique chinoise, que certains ont identifié comme étant Joe Biden.

Des informations publiées le 5 septembre 2020 par le groupe de réflexion Government Accountability Institute (GAI) documentent l'implication de Hunter Biden en tant que directeur d'une société d'investissement à Shanghai, Bohai Harvest RST, impliquée dans la vente de technologie américaine à l'armée chinoise. Lorsque Hunter Biden était directeur, Bohai a acheté le fabricant américain de pièces automobiles Henniges. Puisque Henniges fabrique des technologies ayant des applications militaires, la vente a dû être approuvée, et a été approuvée—par l'administration de Barack Obama et Joe Biden.

« Ces accords ne rapportaient pas seulement de l’argent aux Bidens ; ils ont eu des conséquences potentiellement dangereuses pour notre sécurité nationale », a noté Peter Schweizer, qui a réalisé le documentaire du GAI, Riding the Dragon : The Bidens’ Chinese Secrets. [Chevauchant le dragon : les secrets chinois des Bidens]. « Hunter maintient discrètement une participation dans l'entreprise, une participation valant plusieurs millions de dollars, et vaudra encore plus à mesure que son partenariat avec la Chine prospère. »

Tout cela apporte une plausibilité effrayante à l'affirmation de Di Dongsheng selon laquelle « au sommet du cercle central du pouvoir et d’influence de l'Amérique, nous avons nos vieux amis ».

Lorsque ces « personnes au sommet » sont si disposées à sacrifier les intérêts nationaux et même la sécurité nationale pour leur enrichissement personnel, cela ouvre des vulnérabilités désastreuses. Et la Chine tient à les exploiter.

Compte tenu de sa frustration de ne pas pouvoir « assujettir » Donald Trump, ne vous attendriez-vous pas à ce que la Chine essaie de s’assurer qu’il ne réalise pas un deuxième mandat ? Qu'elle travaillerait pour assurer la victoire à un autre de ses « vieux amis » ?

Piratage électoral ?

L'année dernière, le conseiller à la Sécurité nationale de la Maison Blanche, Robert O'Brien, a averti que la Chine ciblait l'infrastructure électorale américaine avec des cyber-attaques. L’agence de presse américaine Bloomberg News a souligné que le matériel informatique chinois dans les machines à voter américaines était une menace pour la nation. Un rapport du 9 janvier 2020 intitulé « La technologie chinoise dans les machines à voter est considérée comme une menace émergente », déclarait : « L'infiltration par des pays étrangers comme la Chine dans l'équipement de vote électoral est en train de devenir une préoccupation croissante parmi les fournisseurs, qui demandent en fait plus de réglementation fédérale alors qu’ils sont aux prises avec un manque de fournisseurs nationaux produisant des technologies cruciales. »

La société Dominion Voting Systems est une entreprise qui a fourni des machines électorales utilisées dans 28 États américains, desservant plus de 40 pour cent de la population américaine. Et il s'avère que cette société a des liens étroits avec la Chine.

Dans un témoignage devant le Congrès américain, le PDG de Dominion, John Poulos, a déclaré que les machines à voter de son entreprise étaient construites avec du matériel chinois « de l'écran sur l'interface jusqu'au niveau des composants de la puce ». L'avocate en litige Dana Jill Simpson a allégué que la société Flex China fabriquait des machines Dominion en coopération avec Huawei Technologies, une société chinoise soutenue par l'État qui a été accusée de rendre possible la surveillance électronique par Pékin.

Bien que Dominion ait son siège social au Canada, elle est détenue majoritairement par Staple Street Capital, une société de capital-investissement de la ville de New York. À peine un mois avant les élections, cette société a reçu 400 millions de dollars d'UBS Securities, une banque d'investissement suisse détenue en partie par le gouvernement chinois. « Un reportage de NTD TV du 5 décembre a montré que trois membres du conseil d'administration d'UBS Securities LLC semblaient être chinois, dont Luo Qiang, Ye Xiang et Mu Lina, selon la page de profil de l’entreprise sur Bloomberg », a rapporté le journal Epoch Times. « Plus tard, ces noms ont été retirés de la page de profil, ce qui a soulevé des questions quant à savoir si l'entreprise a apporté des changements à la suite de rapports médiatiques » (15 décembre 2020). UBS a refusé de répondre aux questions concernant ces membres du conseil d'administration et Dominion a supprimé les comptes LinkedIn d'un tiers de ses employés.

Les relations troublantes de cette entreprise sont extrêmement préoccupantes. « La Chine représente une plus grande menace pour la sécurité nationale des États-Unis que toute autre nation—économiquement, militairement et technologiquement. Cela inclut les menaces d'influence et d'ingérence électorales », a déclaré le directeur du renseignement national, John Ratcliffe.

Compte tenu des intentions de la Chine et de ses antécédents, les Américains devraient supposer le pire et enquêter en conséquence. Fait remarquable, cependant, seule une petite minorité semble concernée. Malgré des preuves considérables d'irrégularités, d'infraction à la loi, de falsification et de piratage, la pression et l'intimidation pour simplement passer à autre chose et accepter les résultats des élections sont écrasantes. De nombreux Américains influents sont plus préoccupés par un deuxième mandat de Trump que par le piratage des élections de la Chine.

Bleu-Or-Jaune

Le dissident chinois exilé Guo Wengui, un ancien magnat des affaires, a déclaré que la Chine avait une stratégie globale de domination mondiale connue sous le nom de « BGY » (Blue, Gold, Yellow), les initiales de Bleu (contrôler l’Internet), Or (acheter de l'influence avec de l'argent) et Jaune (séduire des personnes clés avec le sexe). Il dit que le plan est « de ruiner les États-Unis et de garantir que la Chine contrôle le monde » (myanniu.com, 5 octobre 2017).

La crédibilité de ces affirmations explosives a certainement été renforcée par les révélations au sujet de Hunter Biden. Elle a été davantage renforcée par des rapports faisant état d’espions littéraux du ministère de la Sécurité de l’État du Parti communiste chinois se blottissant avec certains des plus hauts dirigeants du pays.

Le ministère de la Sécurité de l’État chinois dispose d’une unité consacrée uniquement aux opérations d’infiltration politique, d’influence et de renseignement en Californie. Non seulement la Californie possède la plus grande population de tous les États d’Amérique et la plus grande économie d’Amérique, mais elle est dominée par la région de la baie de San Francisco et de la Silicon Valley, qui sont dominées par des politiciens démocrates. Les volets bleu, or et jaune de la stratégie de la Chine s’unissent ici d’une manière imposante.

Il y a deux ans, il a été démontré qu'un membre du personnel du président du Comité sénatorial du renseignement, la sénatrice de la Californie Dianne Feinstein, était un espion chinois. Pendant deux décennies, Russell Lowe a été directeur du bureau de la sénatrice Feinstein à San Francisco et a été son agent de liaison californien auprès de la communauté américano-asiatique. Cet homme était un activiste chinois connu, ayant participé à des organisations d'extrême gauche à tendance maoïste très influentes dans la politique de San Francisco. L'une d'entre elles, Chinese for Affirmative Action, [Chinois pour des mesures positives] « a travaillé avec d'autres groupes d'influence maoïste tels que la Chinese Progressive Association [Association progressiste chinoise] pour promouvoir l’influence de Pékin dans le quartier chinois », a rapporté Epoch Times. « Ensemble, ils ont contribué à marginaliser la direction anticommuniste autrefois dominante du quartier chinois au point que la communauté chinoise de San Francisco est maintenant fidèlement pro-Chine, ainsi qu’une grande partie des dirigeants politiques non chinois de San Francisco, y compris Feinstein » (20 août 2018).

En décembre 2020, il est apparu que le membre du Congrès californien Eric Swalwell, un autre membre du Comité sur le Renseignement du Congrès des États-Unis, avait été ciblé par une femme connue sous le nom de Christine Fang. Cette femme avait positionné au moins une stagiaire dans le bureau de Swalwell et avait développé une relation personnelle avec lui. Elle était également une agente de la Sécurité d'État chinoise, déployée pendant des années en tant qu'agente d'infiltration aux États-Unis.

Donc, ces espions chinois se lient d'amitié avec des membres du Comité sur le Renseignement du Congrès. Imaginez la réaction des démocrates et des médias si ces membres du Congrès étaient républicains ! Mais ce sont des démocrates. Quelle a été la réaction de la présidente démocrate de la Chambre, Nancy Pelosi, aux gens qui demandent que Swalwell soit privé de l’accès aux renseignements américains ?

« Je n'ai aucune inquiétude à propos de M. Swalwell. »

Aucune inquiétude. Telle est la réponse générale à toutes les preuves d'espionnage et d'infiltration chinois. Pourquoi ? Le Center for Strategic Studies (un groupe de réflexion pour les études stratégiques) a rassemblé une liste de 147 cas d'espionnage chinois contre les États-Unis rapportés publiquement au cours de la dernière décennie. Pourquoi n’est-ce pas une question d’intérêt national urgent ? Les données gouvernementales montrent qu'environ 30 pour cent des étudiants étrangers aux États-Unis sont des ressortissants chinois—soit environ 340 000 d'entre eux. Ces étudiants paient tous les frais de scolarité, de sorte que les universités sont dépendantes du flux de revenus. Pourtant, les responsables du renseignement affirment que ce bassin a fourni de nombreuses recrues d'espionnage pour la Chine. Pourquoi une telle insouciance face à quelque chose de si potentiellement ruineux ?

Pourquoi les démocrates, les médias d’information, les géants de la technologie et tant d’autres sont-ils étroitement liés les uns aux autres et, en grande partie—avec le Parti communiste chinois ? Que ne savons-nous pas d’autre—encore—à propos de l’infiltration de la Chine sur la scène nationale ?

John Ratcliffe, qui a accès à plus de renseignements que n'importe quel membre du gouvernement en dehors du président, dit que le problème est encore pire qu'il n'y paraît.

Dans un éditorial du Wall Street Journal du 3 décembre 2020, Ratcliffe a écrit : « Si je pouvais communiquer une chose au peuple américain à partir de ce point de vue unique, c'est que la République populaire de Chine représente aujourd'hui la plus grande menace pour l'Amérique, et la plus grande menace à la démocratie et à la liberté dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale. Les renseignements sont clairs : Pékin a l'intention de dominer les États-Unis et le reste de la planète économiquement, militairement et technologiquement. »

C’est l’objectif de la Chine ! Et ça ne prends pas une pile de rapports classifiés pour le voir.

Réagissant aux nouvelles de l'espionnage chinois, le sénateur Josh Hawley a déclaré : « Nous avons vu les politiciens de Washington et l'establishment du D.C. détourner le regard avec la Chine depuis des années et des années maintenant… Ce n’est pas comme s’ils ne savaient pas que les Chinois avaient déployé des efforts d’espionnage contre les États-Unis. On sait qu’ils utilisent des entreprises technologiques pour espionner les Américains, en essayant de tirer parti de ces informations contre nous. Ce n’est pas comme s’ils ne savaient pas que les politiques commerciales et autres politiques économiques que nous poursuivons avec la Chine ont été ruineuses pour les travailleurs américains. Ils savent tout cela. Ils s'en fichent tout simplement. D.C. s'en fiche et ils s'en fichent toujours. »

C'est une observation dévastatrice, mais tragiquement vraie : les principaux politiciens, les journalistes, les dirigeants de la technologie, les hommes d'affaires, les enseignants, les acteurs et même les athlètes professionnels adoptent systématiquement le même point de vue effectivement procommuniste. C’est une mesure du succès des stratégies chinoises—en utilisant la cupidité, l’égoïsme et la myopie des Américains contre eux.

Ces efforts ont créé ce que l’analyste Lee Smith appelle « la classe chinoise de l’Amérique »—une bande d’élites redevables d’une manière ou d’une autre à l’argent et à l’influence chinois. Et ils, comme Di Dongsheng, sont impatients de dégager l'obstacle aux relations avec la Chine—un président qui s'est effectivement révolté contre un « État profond » qui trahit les intérêts américains à des puissances étrangères comme la Chine—en s'assurant que les « vieux amis » sont de retour au pouvoir.

« La classe chinoise de l’Amérique qui possède les plates-formes sur lesquelles les Américains communiquent, a mené une campagne incessante de guerre de l’information contre [le président Trump] à travers ses médias sociaux et ses marques de médias de prestige », a écrit Smith pour le magazine Tablet. Ces élites inondent les actualités et les réseaux sociaux de désinformation « pour protéger leurs intérêts fondamentaux—au premier rang desquels sont la main-d'œuvre chinoise bon marché et l'accès aux marchés chinois… Les élites politiques et corporatistes américaines n’ont pas choisi le déclin. Ils ont choisi de devenir riches. En expédiant la base manufacturière américaine vers la Chine, ils ont saisi une opportunité commerciale qui n'avait jamais été vue auparavant—une énorme main-d'œuvre captive contrôlée par un régime autoritaire qui garantissait la production régulière de marchandises à une fraction de ce qu'elle coûterait aux États-Unis » (15 septembre 2020).

Lorsque vous ne vous souciez que de l’argent, conclure des accords avec la Chine est l’opportunité de toute une vie. Il n'y a pas d'autre nation aussi grande, avec une force de travail aussi subjuguée. C’est l’avantage concurrentiel de la Chine.

C'est pourquoi les grandes entreprises comme la NBA sont prêtes à censurer et à licencier leurs employés pour avoir critiqué la Chine. Il y a deux ans, un employé gérant le compte Twitter du groupe hôtelier américain Marriott International a « aimé » un tweet d'un groupe séparatiste tibétain qui avait félicité Marriott pour avoir classé le Tibet comme un pays distinct de la Chine. Le gouvernement chinois a réagi en bloquant le site Web et l'application mobile de Marriott pendant une semaine. Marriott se remit en ligne, publiant des excuses rampantes et congédiant l'employé—pour un clic de souris.

La plupart des sociétés américaines de divertissement et de cinéma se censurent préventivement pour s'assurer que leur production sera approuvée par les censeurs communistes chinois. Après tout, un échec à les apaiser exclut un milliard de clients potentiels. Disney a même tourné un film au Xinjiang, la province où la Chine emprisonne des musulmans ouïghours à grande échelle. La collaboration avec Pékin était si intime que le générique du film a remercié huit organisations gouvernementales chinoises, dont une figurant sur la liste noire du gouvernement américain pour son rôle dans les abus contre les Ouïghours.

Soit dit en passant, le magazine Hollywood Reporter affirme que le PDG de Disney à l’époque, Bob Iger, est en tête de la liste de souhaits de Joe Biden pour un poste d’ambassadeur clé, peut-être en Chine.

Beaucoup, beaucoup de ces élites ne s'intéressent qu'à l'argent. Mais certains s'intéressent aussi à l'idéologie—et ils trouvent le socialisme et le communisme attrayants. Il est à la mode de dénoncer l’esclavage en Amérique, d’il y a des centaines d’années—sans se soucier du fait que vos chaussures soient fabriquées par le travail d’esclaves virtuel et réel en Chine. « Les élites culturelles américaines (Hollywood, les sports, les arts, etc.) qui exploitaient le marché chinois de plus en plus grand pour leurs produits ont fourni une couverture à la cohorte de la classe chinoise avec des messages qui concordaient avec la propagande du PCC », a poursuivi Smith. « Qui étaient les Américains pour juger une grande et ancienne civilisation comme celle de la Chine pour avoir emprisonné des dissidents et asservi la minorité ouïghoure ? L’Amérique n’a-t-elle pas sa propre histoire d’esclavage et de prisonniers politiques ? Il est raciste de protéger les emplois américains. Ces emplois ne reviendront pas et il n’y a rien à faire à ce sujet, comme a si bien dit Barack Obama… » (Ibid).

Cette évolution n’est pas seulement désastreuse—elle est profondément honteuse parce qu’elle a été rendue possible par la propre corruptibilité des Américains. Et pas seulement parmi un petit groupe de dirigeants. Certes, les Américains n'obligent pas leurs dirigeants à se prostituer auprès de grandes entreprises pour de l'argent, à s'engager dans des relations commerciales à l'étranger, à accepter des pots-de-vin, à vendre la politique étrangère américaine, à utiliser leur puissance à des fins personnelles. Mais nous l'avons permis. Notre faible caractère moral l'a permis.

Comme nos ancêtres dans la Bible, l'Amérique est fatalement affaiblie non par des balles et des bombes, mais par le péché.

Autrefois, à l'époque du roi israélite Jéroboam II, le prophète Amos a condamné les dirigeants cupides qui priorisaient les intérêts égoïstes et se sont enrichis en affligeant le peuple d'Israël (Amos 6 : 1-6). Ces gens « éloignaient le mauvais jour »—agissant comme si leur style de vie somptueux durerait éternellement et ignoraient les menaces contre la nation. Dieu a averti par l'intermédiaire du prophète Amos que les Assyriens envahiraient, et que ces gens seraient les premiers à être emmenés captifs !

Aujourd'hui, cette même attitude infecte l’Amérique—particulièrement parmi la classe politique qui vend la puissance industrielle et la richesse en ressources de l’Amérique aux nations étrangères à des fins lucratives. Aveuglés par la cupidité, ils ignorent les menaces qui pèsent sur la nation. Le président Trump a travaillé pour contrôler l'establishment politique et pour lutter pour les intérêts de l'Amérique. Mais sa campagne pour rendre l'Amérique grande à nouveau sera de courte durée si les Américains ne se repentent pas des péchés qui ont amené la nation à ce point.

Comme l'a expliqué le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, le président Trump est un roi Jéroboam II de la fin des temps . Comme cet ancien roi, Dieu l'utilise pour sauver temporairement la nation de la destruction (2 Rois 14 : 27)—tout comme Dieu prévient : « Je ne lui pardonnerais plus » (Amos 7 : 8). C’est la dernière chance pour l’Amérique de se repentir. C'est pourquoi Dieu s'assure que tant de corruption gouvernementale est exposée : Il essaie d'éveiller les gens au mal autour de nous—et à la fragilité pitoyable de notre société et civilisation pécheresses—pour nous pousser à la repentance !

Les Américains et les Britanniques sont les descendants de l'ancien Israël. Cela signifie que les prophéties bibliques de la fin des temps sur Israël s'appliquent principalement aux États-Unis et à la Grande-Bretagne d’aujourd'hui. Ces prophéties montrent clairement que l’apogée de notre puissance est révolue et que notre destruction se profile.

Il y a des décennies—avant même que les États-Unis établissent des relations diplomatiques avec la Chine communiste en 1979—feu Herbert W. Armstrong a averti qu'un facteur important qui dépouillerait l'Amérique de ses bénédictions historiquement sans précédent, données par Dieu, était son infiltration par les forces communistes. « Nous ne combattons pas une seule nation dans une guerre militaire, mais une gigantesque armée mondiale en tenue civile, se faisant passer pour un parti politique, cherchant à conquérir le monde avec un tout nouveau type de guerre ! » a-t-il a écrit en 1956. « C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas ou ne savons pas comment la gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l'intérieur, sapant nos forces, pervertissant nos mœurs, sabotant notre système éducatif, détruisant notre structure sociale, détruisant notre vie spirituelle et religieuse, affaiblissant notre puissance industrielle et économique, démoralisant nos forces armées, et enfin, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout cela habilement déguisé en parti politique inoffensif !

L’avertissement de M. Armstrong était axé sur les efforts de démoralisation de la Russie communiste. Dans les années qui ont suivi, beaucoup de ces efforts ont été menés par l’allié communiste de la Russie, la Chine, qui a encore augmenté ses attaques contre la puissance industrielle et économique américaine. Pourtant, les avertissements de M. Armstrong sur les dangers du communisme se sont avérés corrects. Il a identifié exactement comment le communisme fonctionne, et l'Amérique a été victime de son succès. (Demandez notre brochure gratuite Il avait raison et lisez le chapitre intitulé « L'infiltration communiste de l'Amérique a été prophétisée »).

Dieu a averti Israël à plusieurs reprises de ne pas abandonner Sa loi et de ne pas se tourner vers les étrangers pour la prospérité, la protection et les conseils. Ésaïe 2 : 6, par exemple, dit que Dieu « a abandonné la maison de Jacob, parce qu'ils sont pleins de l’orient et adonnés à la magie comme les Philistins, et parce qu’ils s’allient aux fils des étrangers ». L'Amérique a commis le même péché. Plutôt que de faire confiance à Dieu pour les bénir et les défendre, notre peuple a reconnu et échangé avec les dictatures communistes et a même invité des professeurs communistes de Chine et d'autres nations à enseigner à des générations de jeunes Américains et Britanniques. Cela a corrompu notre jeunesse, sapé notre économie et affaibli mortellement notre nation. La naïveté, la cupidité et la déloyauté des Américains nous ont rendus mortellement vulnérables au sabotage par des nations étrangères.

Nous devons lever les yeux de nos gadgets fabriqués en Chine et voir cette réalité ! « Sûrement si nous nous arrêtons et réfléchissons à cela, avec la Chine qui fabrique tout cela et faisant tous ces accords et payant tout cet argent, quel est leur objectif ? Quelle est leur ambition ? » a demandé M. Flurry dans une émission de la Clef de David. « Nous devons certainement y voir une forte motivation pour s’accaparer le monde, pour conquérir le monde, et certains dirigeants chinois vous le diront même » (‘Le temps des nations’, 20 mars 2018).

Le titre de ce programme télévisé pointe vers la prophétie dont nous assistons actuellement à l'accomplissement précoce. Avec la fin de la domination de l’Amérique, le monde entre dans ce que Jésus-Christ a appelé « le temps des nations » (Luc 21 : 24). C'est une période sombre et violente où des nations non israélites gouvernent le monde.

La Bible prophétise que l'une de ces puissances dominantes sera une super-alliance asiatique dirigée par la Russie et la Chine. L'autre puissance principale sera une puissance européenne brutale, une résurrection du Saint Empire romain médiéval.

La prophétie prévoit que ces deux superpuissances travailleront temporairement ensemble pour faire tomber l'Amérique ! Ésaïe 23 : 3 décrit un « marché des nations » qui contrôlera le commerce mondial et gèlera l'Amérique et d'autres nations israélites (y compris la Grande-Bretagne, Israël et d'autres nations anglophones). L'Amérique sera déjà faible, déchirée par des divisions internes et des turbulences, ce qui rendra ce siège économique beaucoup plus dévastateur.

‘Nouvelles de l’orient’

Le détail des prophéties bibliques sur « le temps des nations » est stupéfiant. Daniel 11 précise que la superpuissance européenne (« le roi du nord ») détruira une puissance islamique radicale (« le roi du sud ») et se frayera un chemin à travers le Moyen-Orient. Ensuite, ceci : « Des nouvelles de l’orient et du septentrion viendront l’effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes » (verset 44).

« Le roi du nord—l'empereur du Saint Empire romain—entendra des nouvelles troublantes de l'est et du nord », écrivons-nous dans notre brochure Russia and China in Prophecy [La Russie et la Chine selon la prophétie]. « Ces nouvelles arrivent après la destruction du roi du sud. Elles proviennent de l'axe asiatique ! L'empereur du Saint Empire romain sera troublé par ce que font les Russes et les Chinois.

« Avant cela, lorsque la Tribulation commença, cet empereur coopérait avec les Russes et les Chinois pour assiéger économiquement les nations anglo-saxonnes. Mais peut-être entend-il des rumeurs selon lesquelles l'axe asiatique envisage d'envahir l'Amérique du Nord et de la conquérir pour la sienne… Peu importe que soient les nouvelles exactes, la Bible est claire que ce sera le Saint Empire romain qui envahira à lui seul l'Amérique du Nord. Et ce passage est clair que ces nouvelles provoqueront l'empereur à aller de l'avant avec une grande fureur pour détruire ! »

C’est une version moderne d’Israël conquise par l’Assyrie, l’Allemagne moderne ! La destruction sera horrible et les survivants seront réduits en esclavage.

Et tout cela pourrait être déclenché par le succès de la Chine à affaiblir l’Amérique, à l’assiéger et à se préparer à l’attaquer carrément.

Sous une administration Biden-Harris, la classe chinoise américaine serait endémique, et la dernière force restante de la nation disparaîtrait rapidement. Mais en ce moment, l'homme que la Chine ne peut pas « assujettir » la retient—comme cela est également prophétisé dans la Bible. Dieu donne à nos nations des prophéties spécifiques au sujet de nos faiblesses, nos péchés et les conséquences. Dieu utilisera même un dirigeant audacieux comme le président Trump pour sauver l'Amérique—mais seulement temporairement dans le but d'accomplir Son œuvre, d'avertir la nation et le monde, et de donner aux lecteurs comme vous l'occasion de se repentir et de se tourner vers Lui !

Voyez la réalité autour de vous ! Tenez compte des avertissements de la prophétie ! Et prenez espoir : la même Bible qui nous montre ce qu'est vraiment la nature humaine et comment s'en repentir et qui prophétise en détail les conséquences de nos décisions prophétise également que ces terribles événements se produiront juste avant le seul et unique événement qui peut effacer nos gouvernements humains corrompus et notre nature humaine corrompue : le retour de Jésus-Christ !

Fr Hwr