Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

Serge Varlay, recruteur chez BlackRock, affirme que les politiciens peuvent facilement être achetés

LA TROMPETTE

Serge Varlay, recruteur chez BlackRock, affirme que les politiciens peuvent facilement être achetés

La frontière entre Wall Street et Washington est depuis longtemps floue, mais l’administration Biden porte la collusion des entreprises à un nouveau niveau. Le 20 juin, le James O’Keefe Media Group a publié une conversation enregistrée secrètement entre un journaliste sous couverture et le recruteur de BlackRock, Serge Varlay. Dans cet enregistrement, Varlay décrit comment BlackRock, la plus grande société de gestion d’actifs au monde, est en mesure de « diriger le monde » en achetant des politiciens. « Avec 10 000 dollars, vous pouvez acheter un sénateur », dit-il. « Je vous donne 500 000 dollars tout de suite. Peu importe qui gagne [une élection]. Ils sont dans ma poche. »

Une politique corrompue : BlackRock gère 10 000 milliards de dollars, soit plus que le produit intérieur brut de tous les pays, à l’exception des États-Unis et de la Chine. Elle utilise son influence pour promouvoir des politiques environnementales, sociales et de gouvernance concernant les gaz à effet de serre, les quotas raciaux d’embauche et l’acceptation des transsexuels. Les liens entre BlackRock et l’administration Biden sont donc extrêmement importants.

Joe Biden a nommé Brian Deese, ancien élève de BlackRock, comme 13e directeur du Conseil économique national et Adewale Adeyemo, ancien élève de BlackRock, comme 15e secrétaire adjoint au Trésor. BlackRock ne se contente pas d’acheter des politiciens ; elle fait également pression pour que ses cadres soient nommés à des postes politiques.

État de l’ombre : Mike Lofgren, ancien collaborateur du Congrès, a averti que les États-Unis étaient en train d’être pris en charge par un gouvernement de l’ombre.

Il y a le gouvernement visible des États-Unis, situé dans d’imposants bâtiments néoclassiques autour du Mall à Washington, D.C., et il y a un autre gouvernement, plus obscur et indéfinissable, qui n’est pas expliqué dans le cours d’éducation civique de base ou observable par les touristes à la Maison Blanche ou au Capitole. Le premier est la partie émergée d’un iceberg qui est théoriquement contrôlable par le biais des élections. La partie souterraine de l’iceberg fonctionne selon son propre cap, indépendamment de la personne officiellement au pouvoir. […] Washington est le nœud le plus important de l’État profond, mais ce n’est pas le seul. Des fils invisibles d’argent et d’ambition relient la ville à d’autres nœuds.
—Mike Lofgren

Prophétie double : Les réseaux d’argent noir qui relient BlackRock à la Maison Blanche font partie des « fils invisibles d’argent et d’ambition [qui] relient la ville à d’autres nœuds » à Wall Street, dans la Silicon Valley et dans d’autres centres de pouvoir libéraux. Les personnages de l’ombre, comme Varlay, qui gèrent ces réseaux, profitent aujourd’hui de leur investissement et font pression sur Biden à nommer des personnes soutenues par l’argent noir et à mettre en œuvre des politiques radicales dont la plupart des Américains ne veulent pas.

La Bible révèle qu’un type d’Antiochos Épiphane du temps de la fin sera habilité par une armée à « jeter la vérité par terre » (Daniel 8 : 11-12). Aujourd’hui, nous voyons une foule de bureaucrates, de chefs militaires, d’agents de renseignement, de magnats des médias, d’entrepreneurs technologiques et de financiers de Wall Street aider le véritable patron de Biden, Barack Obama, à transformer fondamentalement l’Amérique en jetant la vérité par terre.

Ce réseau est la plus grande menace pour l’Amérique aujourd’hui, et des institutions comme BlackRock, le Vanguard Group et State Street Corporation en font partie intégrante. Le fait que ce réseau soit exposé est un signe positif, mais le peuple américain a encore beaucoup de repentir à faire pour purger son gouvernement de la corruption tellement profonde qui s’y est enracinée.

En savoir plus : Lisez L’Amérique sous attaque, par le rédacteur en chef de la Trompette Gerald Flurry.

LA TROMPETTE EN BREF

Demeurez informé et abonnez-vous à notre bulletin.