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Soixante ans… et ce qui se passera après

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Soixante ans… et ce qui se passera après

Le jubilé de diamant de la reine Élisabeth vient après le crépuscule d’un empire, et pendant une nuit de confusion à l’échelon national, et de désordre à l’échelon mondial.

Seulement deux monarques britanniques ont célébré leurs 60 ans sur le trône ancien de la Grande-Bretagne : la reine Victoria et, à partir du mois de juin dernier, la reine Élisabeth II.

La « pax britannica », sous le règne de la reine Victoria, contraste fortement avec l’« annus horribilis » sous le règne de la reine Élisabeth. Victoria a régné pendant un siècle de paix générale et d’ordre. Élisabeth a régné pendant un demi-siècle de tumulte.

Victoria a présidé à la croissance la plus rapide et la plus progressive de l’Empire britannique en termes de gain territorial, de puissance navale et de richesse. Mais le lot d’Élisabeth II a été de détenir le trône pendant le déclin britannique le plus rapide, passant du statut d’empire à celui de puissance de second rang, sa trésorerie exsangue et sa marine actuelle incapable de protéger son territoire ratatiné. L’année du mariage d’Élisabeth, la Grande-Bretagne a perdu « le joyau de la couronne impériale », l’Inde. Quatre mois avant son 50ème anniversaire de mariage, l’empire a perdu Hong-Kong.

Aucun monarque ne peut être blâmé pour les conditions qui prédominaient dans le monde, à son époque. En fait, alors que Victoria I était dans le deuil perpétuel après la mort de son bien-aimé Albert, Élisabeth II a était un monarque plus public, un voyageur invétéré autour du monde, un partisan infatigable des bonnes causes et d’une grande sociabilité avec ses sujets en public, mettant même en danger sa personne.

Le peu de gens qui comprennent vraiment les devoirs d’un monarque britannique moderne peuvent authentiquement critiquer la façon dont la reine Élisabeth s’est acquittée de son poste royal, pendant les six décennies passées. Depuis qu’elle est montée sur le trône, en 1952, à l’âge de 26 ans, elle s’est acquittée de manière impeccable, sérieuse, et même avec une attention religieuse, de ses devoirs.

Cette femme royale remarquable, suscite une profonde affection dans le cœur de ses sujets. Pendant une visite aux antipodes, en 1963, le Premier ministre australien, Robert Menzies, lui a cité un vers anglais célèbre : « Je n’ai fait que la voir passer, mais cependant je l’aimerai jusqu’à ma mort. »

Ayant observé les échanges de la reine Élisabeth avec les chefs de gouvernement à partir de photos de presse, j’ai été frappé par le degré de respect dont elle est l’objet de la part des chefs de nations du Commonwealth et des dignitaires étrangers. L’auteur canadien, Leah McLean, a récemment décrit sa première rencontre avec la chaleur naturelle et le charme de la reine. « Soudain, la voilà : Élisabeth II, toute petite, avec un sourire de satisfaction, sa jupe vert-menthe et ses gants assortis. Elle était plus pâle et plus jolie que je ne pensais… et avait un enthousiasme hors du commun… La reine m’a étreint la main droite, m’a regardé droit dans les yeux et a dit : ‘Comment ça va ?’ » (Spectator, du 5 mai).

Chaleureuse, de belle prestance, directe, Élisabeth irradie la chaleur et le dévouement au devoir qu’on espérerait de la part du monarque d’un empire, d’un Commonwealth et de son propre pays.

Cependant, il y a, là, beaucoup plus que la reine ou même que les affaires turbulentes du monde qui ont inquiété ses peuples.

La réelle signification du trône

La plupart des anciens territoires de l’Empire britannique demeurent membres du Commonwealth. Seize d’entre eux reconnaissent toujours la reine comme leur chef d’État. Mais tandis que ces États célèbrent le 60ème anniversaire de l’ascension d’Élisabeth au trône, personne ne pensera même — encore moins de le célébrer publiquement — à l’aspect le plus remarquable de son héritage impérial.

Cette vérité fondamentale dépasse la monarchie britannique elle-même. Le rédacteur général de la Trompette, Gerald Flurry, a mis cela en évidence, en juillet 2002 : « La reine Élisabeth II est sur le trône depuis 50 ans », a-t-il écrit. « Son jubilé d’or est célébré cet été. Mais dans quelques courtes années, ce trône sera célébré dans le monde entier ! Vous devez comprendre pourquoi ».

M. Flurry a cité un article de La pure vérité écrit en juillet 1953 à l’occasion du couronnement d’Élisabeth : « Pour la plupart des Anglais le couronnement est la cérémonie importante d’une génération, remplie comme il se doit de splendeur, de couleur et de tradition. Les Britanniques se vantent fièrement que, dans un monde bouillant d’explosions révolutionnaires, ils possèdent toujours un monarque royal.

« Cependant, la signification réelle n’était pas la splendeur et la cérémonie, et le rituel de l’Église anglicane à laquelle les Anglais s’accrochent pour avoir de la consolation de leurs ennuis. La signification réelle — et le fait le plus étonnant — consiste en ce que sur le trône anglais est assis un descendant de la dynastie dirigeante la plus vieille du monde — une dynastie que Dieu a établie, et qu’Il a protégée et perpétuée, au cours de chaque génération pendant presque 3 000 ans !

« Le trône de l’Angleterre est important, au regard de Dieu ! Les hommes ne peuvent le supprimer ! Ainsi l’a dit Dieu ! »

Croiriez-vous que cette affirmation stupéfiante est explicitement soutenue dans la Bible ! « Car ainsi parle l’Éternel : David ne manquera jamais d’un successeur assis sur le trône de la maison d’Israël (Jérémie 33 : 17). » « C’est une promesse de Dieu ! » a écrit M. Flurry. « Ce trône est sur la terre aujourd’hui, et il va durer pour toujours ! »

Une pierre du destin

L’article de La pure vérité continuait en indiquant une tradition remarquable : la reine Élisabeth II a été couronnée alors qu’elle était assise sur le siège de l’ancien roi Édouard — sur un bloc de grès encore plus ancien. Pourquoi ?

« D’anciennes annales irlandaises prouvent que la pierre — qu’on a appelé ‘lia fail’, ce qui signifie ‘pierre du destin’ — ne provient pas d’Irlande, mais est venue de l’est via l’Espagne. Elle a été apporté par un vieil homme aux cheveux blancs — un prophète — qui a, également, amené la fille d’un roi d’Orient. Par son mariage avec le roi de l’Irlande, elle a non seulement assuré la continuité du trône de son père, mais de plus est devenue l’ancêtre d’une dynastie qui a continué jusqu’à Élisabeth ii qui a été couronnée reine, le 2 juin, sur la pierre du destin…

« Croyez-le ou pas, c’est la pierre sur laquelle le patriarche Jacob a posé sa tête, la nuit, il y a environ 3 700 ans, lorsqu’il s’enfuyait de la maison de son père ! » Ce récit se trouve dans Genèse 28.

Voir ce vieux bloc de pierre, avec ses anciens anneaux de fer forgé non rouillés profondément martelés à leurs extrémités, c’est voir trois millénaires d’histoire. Cela peut être une expérience profondément émouvante pour ceux qui connaissent non seulement sa riche histoire, mais également la grande promesse qu’il symbolise pour l’avenir de l’humanité.

Comme Gerald Flurry l’a écrit, « il est vraiment étonnant que la plupart des gens soient ignorants de l’histoire du trône et de la prophétie ! Jésus-Christ va S’asseoir sur ce trône quand Il retournera ».

Le trône arrive en Grande-Bretagne

Cependant, alors que la célébration des 60 ans de règne de la reine Élisabeth arrive à son summum, en juin, avec toute la splendeur et l’apparat britannique habituels, ne vous attendez pas à une allusion publique à cet impressionnant héritage.

Herbert Armstrong parle de cet héritage dans Les Anglo-Saxons selon la prophétie, un livre lu par des millions de gens dans le monde entier.

Dans ce livre, M. Armstrong écrit sur les voyages du prophète Jérémie, du Moyen-Orient à l’Irlande : « Ensuite, en 569 av. J.-C. (époque à laquelle Jérémie effectua le transfert du trône de David), un vieillard aux cheveux blancs, souvent identifié comme ‘saint’, arriva en Irlande. L’accompagnaient : une princesse, fille d’un roi de l’Orient, et un compagnon nommé ‘Simon Brach’ ou, d’après certains documents : Breck, Berech, Brach ou Berach. La princesse, quant à elle, portait un nom hébreu, ‘Tephi’ — un diminutif, pourrait-on dire — de son vrai nom : Tea-Tephi.

« Cette délégation royale comprenait également le fils du roi d’Irlande qui s’était rendu en Palestine et qui se trouvait à Jérusalem lors de sa chute. Là, il avait fait la connaissance de Tea-Tephi et l’avait épousée, peu après 585 av. J.-C., — date de la chute de Jérusalem. Leur jeune fils, âgé de 12 ans lors de leur arrivée sur le sol irlandais, faisait également partie du groupe. À part la famille royale, Jérémie amenait avec lui un certain nombre d’objets dont une harpe, une arche, et une pierre merveilleuse appelée ‘lia-fail’ ou ‘pierre du destin’…

« Ce qui est également surprenant — s’agirait-il d’une autre coïncidence ? —, c’est que beaucoup de rois irlandais, écossais et anglais (y compris l’actuelle reine d’Angleterre), ont été couronnés sur cette pierre. »

En 1296, le roi Édouard s’est emparé de cette pierre, et l’a mise à Londres, où elle a résidé pendant des siècles dans l’Abbaye de Westminster. En 1996, après 700 ans, le gouvernement britannique l’a rendue à l’Écosse. Gerald Flurry a fait cette observation, à l’époque : « John Major, le Premier ministre de la Grande-Bretagne, a décidé de rendre ‘la pierre du destin’ à l’Écosse. La reine Élisabeth a été sollicitée pour cela, et elle a donné son approbation. Cela a créé un vrai scandale en Grande-Bretagne. La décision a été reprise dans les titres des médias dans le monde entier. La partie la plus étonnante de cette histoire, c’est le manque de compréhension. Les journaux et les magazines l’ont désignée ‘la pierre du destin’. Mais je n’ai pas lu un seul article où ils expliquent ce que cela signifie ! La raison pour laquelle elle est appelée ‘la pierre du destin’ est l’histoire la plus étonnante qui soit sur cette terre !

« Jérémie en savait probablement plus sur ‘la pierre du destin’ que n’importe quel autre prophète appelé hors de ce monde. Il s’est personnellement occupé de la pierre, de bout en bout, de Jérusalem à l’Irlande. C’était un des trois prophètes choisis dès l’utérus maternel (Jérémie 1 : 5). Jean-Baptiste et Jésus-Christ étaient les deux autres. Cela le met en très bonne compagnie !

« Cela devrait nous donner une certaine idée de l’importance de cette pierre. Quel prestigieux messager Dieu a utilisé pour la transporter en Irlande ! Cette pierre est une partie du trône sur lequel Jésus-Christ va S’asseoir quand Il retournera sur cette terre (Luc 1 : 30-33). Ce trône représente le salut pour le monde entier ! Le monde ne peut même pas imaginer le grand destin de cette pierre ! Quel passé ! Quel avenir ! Je crois que cette pierre est la chose physique la plus précieuse sur cette terre » (La trompette de Philadelphie, de août 1996, en anglais).

Confusion — et réponses

C’est une honte d’observer la Grande-Bretagne dans son actuel état de confusion — confusion sur ses origines ethniques, confusion sur les absolus moraux, confusion sur le genre, confusion sur l’immigration, confusion sur la religion, confusion sur la loi, confusion sur ses relations avec l’Europe, confusion sur son statut même de royaume uni !

Mais cette confusion était inévitable une fois que Grande-Bretagne avait perdu le peu d’emprise sur la vérité que certains de ses dirigeants — y compris la reine Victoria — avaient autrefois. Elle ne connaît plus les véritables origines de sa nation, de sa vénérable monarchie ou de toutes ses bénédictions nationales.

C’est la nation confuse sur laquelle la reine Élisabeth règne aujourd’hui. Elle a été couronnée pendant la grande période de reconstruction d’après-guerre, et elle célèbre son jubilé pendant une période qui menace de déconstruire le Royaume-Uni. Son royaume est tombé dans la poigne s’intensifiant d’une technocratie teutonne ayant l’intention de le réduire à une simple division de régions gouvernée de Bruxelles/Berlin. Rome a rapidement revendiqué sa « dot de Marie », la terre autrefois verte et plaisante d’Angleterre.

Qu’est-il arrivé à l’empire autrefois puissant de l’ère Victoria ? Pourquoi cela est-il arrivé ? A-t-il toujours été destiné à se contracter de sa grandeur impériale et devenir un État vassal de l’Union européenne ? La perte de son orgueilleuse souveraineté était-elle inévitable ? Quel est l’ultime destin de la Grande-Bretagne ? Retrouvera-t-elle jamais sa grandeur ?

Croyez-le ou non, on trouve facilement les réponses à toutes ces questions dans votre Bible — avec des détails surprenant !

En cette année du jubilé de diamant de la reine Élisabeth, tous les sujets britanniques doivent connaître ces réponses. Cette vérité contient un grand avertissement pour ses peuples : un destin dévastateur attend leurs nations, parce qu’ils se sont rebellés contre Dieu qui leur a donné leurs bénédictions et a établi leur trône !

Cependant, cette vérité contient également un grand espoir pour l’avenir de ces nations, particulièrement pour ces individus qui reconnaissent leurs péchés nationaux et personnels, et se repentent devant leur Dieu très miséricordieux !

Si vous avez un tel état d’esprit, faites donc la demande de votre exemplaire gratuit de Les Anglo-Saxons selon la prophétie et également de La clé de David. Ces deux brochures vous mèneront à la vérité débordante d’inspiration qui se trouve derrière cette noble monarchie, ce trône et cette pierre du destin !