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Tous les chemins mènent à Obama

Scott Olson/Getty Images

Tous les chemins mènent à Obama

Une nouvelle « force d'intervention » du département de la Justice enquête sur les origines du récit de collusion avec la Russie

Barack Obama est-il coupable de trahison ? Si vous aviez posé cette question en 2010 — et il y a une raison pour laquelle je précise cette année — beaucoup de gens auraient pensé que vous étiez fou. Après tout, il était le président des États-Unis élu par le peuple. Tous les journalistes l'aimaient, après tout. Si vous aviez posé cette question en 2016, beaucoup de gens vous auraient pris pour un fou — et vous auraient détesté.

Aujourd'hui, beaucoup de gens pensent qu'il était littéralement un traître, et le département de la Justice a vu suffisamment de preuves pour mener une enquête sérieuse.

Le 18 juillet, puis à nouveau le 23 juillet, la directrice du renseignement national Tulsi Gabbard a publié des documents montrant qu'Obama avait ordonné aux plus hauts responsables des services secrets américains de rédiger un rapport affirmant que la Russie tentait d'influencer les élections de 2016 en faveur de Donald Trump. Le canular, lancé par la campagne présidentielle ratée d'Hillary Clinton, a également échoué, et les agences de renseignement savaient qu'il était faux. Il aurait dû mourir, mais le président Barack Hussein Obama est intervenu.

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Au début du mois, le directeur de la CIA, John Ratcliffe, a transmis au Bureau fédéral d'enquête des États-Unis une demande d'enquête criminelle concernant l'ancien directeur de la CIA, John Brennan. Ainsi, la « force de frappe » de la procureure générale Pam Bondi au département de la Justice s'intéresse désormais à Obama, Brennan et à l'ancien directeur du FBI James Comey.

Le directeur du FBI en exercice, le directeur de la CIA en exercice et le président des États-Unis en exercice étaient potentiellement coupables de crimes, dont la trahison ! Personne ne prétendait de façon réaliste cela dans les années 2010.

Ou l'étaient-ils ?

Aujourd'hui, beaucoup plus de gens pensent qu'Obama et sa cabale ont activement et intentionnellement trahi l'Amérique, non seulement parce qu'ils n'aiment pas sa politique, mais aussi parce qu'ils ont la preuve que c'est exactement ce qu'il a fait.

Mais souvenez-vous quand cela semblait « fou » ?

Selon le communiqué de presse de Mme Gabbard, les agences de renseignement américaines qui surveillaient la Russie en 2016 ont estimé qu'elle n'avait pas la capacité ni même l'intention de pirater les élections présidentielles américaines. Elles ont indiqué qu'elles n'avaient trouvé aucune preuve que le président russe Vladimir Poutine préférait Donald Trump à Hillary Clinton. Le 8 décembre 2016, le président Obama a rejeté les conclusions de ce rapport. Le lendemain, il a convoqué ses principaux chefs d'espionnage et a ordonné la rédaction d'un nouveau rapport qui tirerait des conclusions différentes.

Cette conclusion a redonné vie au dossier que l'ancien agent de renseignement britannique Christopher Steele avait vendu à la campagne Clinton. Selon le magazine Federalist, les responsables des services de renseignement ont exprimé leur stupéfaction face à la mauvaise qualité et à la provenance douteuse des informations fournies par Steele. Ils ont comparé le dossier au tabloïd sensationnaliste National Enquirer et ont vivement recommandé qu'il soit exclu de l'évaluation officielle des activités russes commandée par Obama. Mais Comey a insisté pour que le dossier Clinton-Steele soit inclus, et il l'a été.

Avec le dossier « conversations de bar » de Steele inséré de force dans un rapport officiel des services de renseignement américains par Obama et Comey, la CIA de John Brennan pouvait de manière plus plausible — légèrement plus plausible — renforcer l'affirmation selon laquelle la Russie avait aidé à faire élire le président Donald Trump.

Mon père, Gerald Flurry, rédacteur en chef de la Trompette, a écrit en 2008 que le nouveau président élu Obama n'était pas nécessairement pire que ses prédécesseurs, mais que lui et son parti étaient profondément malavisés. Mais en 2010, il a reconnu qu'Obama était effectivement différent des politiciens du Parti démocrate qui l'avaient précédé : il était en fait un dirigeant du type du roi Antiochus Épiphane, utilisant sa haute fonction pour détruire intentionnellement sa propre nation et son propre peuple ! Il était un président traître qui poursuivait son objectif de la veille des élections, à savoir « transformer fondamentalement les États-Unis d'Amérique ».

Mon père n'a cessé de souligner, message après message, année après année, qu'Obama détruisait intentionnellement l'Amérique, en particulier ce qu'il restait de son héritage et de ses principes bibliques.

Comme il l'a écrit dans son article de 2020 intitulé « Treason in America and Britain » (voir https://www.latrompette.fr/articles/posts/trahison-aux-etats-unis-et-en-grande-bretagne), et comme Obama et beaucoup d'autres le savaient, Steele n'a recueilli aucune information factuelle lui-même, mais s'est plutôt appuyé sur des rumeurs provenant de l'avocat ukrainien Igor Danchenko, qui s'était appuyé sur des ouï-dire provenant de compagnons de beuverie en Russie. En fait, le département de la Justice a depuis établi que la source principale de Danchenko était Charles Dolan, conseiller de longue date de la famille Clinton !

L'ensemble du dossier n'était qu'une gigantesque chambre d'écho amplifiée de mensonges !

Comey, Brennan et Obama savaient peut-être mieux que quiconque sur terre que le dossier Steele était un ramassis de mensonges de mauvaise qualité instigué par la campagne Clinton. Ils auraient sans doute souhaité que ce projet soit plus crédible dès le départ, mais à force de volonté, ils l'ont fait passer par les agences de renseignement.

Pourquoi ?

Pour attaquer le président des États-Unis dûment élu !

Jusqu'à récemment, de nombreux enquêteurs, tels que Kash Patel, affirmaient que le directeur adjoint du FBI, Andrew McCabe, était responsable de l'introduction du dossier Clinton-Steele dans les rapports officiels. Pourtant, le nouveau rapport de Mme Gabbard montre que la conspiration va plus haut que cela. C’est Obama lui-même qui a rejeté le rapport de renseignement légitime ne trouvant aucune collusion entre Trump et la Russie. C'est Obama lui-même qui a chargé Brennan, Comey et d'autres de procéder à une nouvelle évaluation du renseignement qu'il pourrait utiliser pour détruire la présidence de Trump.

En s'inspirant de Lavrentiy Beria, le chef de la police secrète le plus impitoyable sous le règne de terreur de Joseph Staline, Obama a adopté l'approche suivante : « Montrez-moi l'homme et je vous montrerai le crime. » Ainsi, alors que les médias s'indignent hypocritement que la Maison Blanche utilise le mot « trahison » dans ce contexte, je ne vois pas d'autre mot pour qualifier le fait de falsifier des renseignements afin de nuire au président nouvellement élu.

Selon un autre exposé du Federalist, Brennan a introduit quatre affirmations spécifiques dans la nouvelle évaluation du renseignement ordonnée par Obama afin de pouvoir cibler Trump. Il a ajouté un fragment sur le fait que Poutine comptait sur la victoire de Trump. Il a ajouté un tuyau anonyme sur le fait que la Russie voulait travailler avec l'administration Trump. Il a ajouté une affirmation non fondée selon laquelle l'entourage de Poutine préférait Trump. Et il a fait référence au tristement célèbre dossier Clinton-Steele. Ce n’est pas une manipulation politique banale. Il s'agit d'un abus de pouvoir calculé visant à saper le président que le peuple a choisi pour remplacer Obama.

C'est un miracle que nous soyons même au courant de toute cette corruption. Si Obama avait réussi à faire démettre Trump de ses fonctions, les documents que Mme Gabbard publie aujourd'hui n'auraient jamais vu le jour.

2 Rois 14:26-27 dit que « l'affliction d'Israël » était « très amère » qu'il y avait un réel danger que « le nom d'Israël » soit complètement effacé « de dessous les cieux », (version Darby française). C’est pourquoi Dieu a dû susciter un type du roi Jéroboam II du temps de la fin (Donald Trump), pour sauver la nation de la destruction totale. S'Il ne l'avait pas fait, l'Amérique serait aujourd'hui un État policier contrôlé par la CIA, la NSA et le FBI !

Obama a continué à contrôler le gouvernement fédéral en installant Joe Biden à la présidence. Seul l'avenir nous dira si Obama devra répondre de ses actes devant la justice. Le président Trump a fait remarquer que l'arrêt sur l'immunité présidentielle que la Cour suprême a rendu l'année dernière dans l'affaire Trump c. Les États-Unis « aide probablement [Obama] beaucoup », mais « n'aide pas du tout les personnes qui l'entourent ». Le département de la Justice pourrait avoir plus de facilité à faire condamner Comey et Brennan.

Pourtant, ce qui est déjà clair, c'est que les avertissements de mon père au sujet d'Obama — datant d'il y a 15 ans — , étaient justes ! Il a basé ces avertissements sur la prophétie biblique, en particulier sur Amos 7.

Quoi qu'il en soit, la prophétie d'Amos 7 n'indique pas qu'Obama continuera à affliger Israël maintenant que Trump est de retour au pouvoir. Il se peut qu'il aille en prison ou disparaisse dans l'insignifiance. Mais il perdra son pouvoir sur l'« État profond ».

« Le désastre dont parle Amos 7 : 1-2 est le premier mandat présidentiel de Barack Obama. », écrit mon père dans L'Amérique sous attaque. « Le verset 4 décrit son deuxième mandat présidentiel. Et maintenant vous pouvez ajouter à cela son troisième mandat dans lequel il est le marionnettiste du régime Biden. Cela contrarie terriblement Dieu ! » Pourtant, maintenant que Donald Trump est de retour au pouvoir, tous les problèmes futurs viennent des faux chefs religieux, au lieu de provenir de l'État profond d'Obama (versets 10-17). Il faut donc s'attendre à ce qu'Obama soit tenu de rendre compte de ses actes. Dieu est en train d'exposer complètement la gauche radicale avant de passer à la correction de la droite chrétienne. Son objectif dans tout cela est de purifier l'Amérique du péché et de la corruption qui se sont enracinés si profondément dans la nation !

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