Un climatologue admet avoir omis de dire toute la vérité afin de voir son article publié

Selon Patrick Brown, chercheur et conférencier à l’université John Hopkins, les plus grandes revues scientifiques ne publient que les articles qui soutiennent la thèse du changement climatique. Il a déclaré le 5 septembre qu’il avait dû omettre des faits essentiels concernant les incendies de forêt pour que son article soit accepté.

Son article s’intéresse uniquement à l’impact du réchauffement climatique sur l’augmentation des incendies de forêt, en omettant « toute la vérité » sur les causes des incendies, telles que la mauvaise gestion des forêts et le fait que plus de 80 pour cent d’entre eux sont déclenchés par l’homme.

L’article que je viens de publier—« Climate Warming Increases Extreme Daily Wildfire Growth Risk in California » [« Le réchauffement climatique augmente le risque de la croissance quotidienne extrême des incendies »]—touche uniquement sur la manière dont le changement climatique a affecté le comportement extrême des incendies de forêt. Je savais que je ne devais pas essayer de quantifier des aspects clés autres que le changement climatique dans ma recherche, car cela aurait dilué l’histoire que des revues prestigieuses comme Nature et sa rivale, Science, veulent raconter.
—Patrick Brown

Attention vs. Vérité : Dans le monde scientifique, plaire au public plus large du courant dominant est devenu plus important que de dire toute la vérité. Toute personne qui ne désigne pas le réchauffement climatique anthropique comme l’unique cause des catastrophes naturelles est rejetée. « Ce n’est pas ainsi que la science devrait fonctionner », a averti M. Brown.

Lors d’une tentative précédente de m’écarter de la formule, mes articles ont été rejetés immédiatement par les rédacteurs en chef de revues éminentes, m’obligeant ainsi à me contenter de publications moins prestigieuses.
—Le Dr Brown

Tout contrôler : Pourquoi déformer le récit ? Dans la Trompette d’août 2017, le rédacteur en chef Gerald Flurry a écrit :

Pourquoi les scientifiques tromperaient-ils le public sur ce sujet ? Eh bien, si vous voyez qui est vraiment derrière tout cela, vous comprenez que le véritable enjeu est celui du contrôle. […] Les gouvernements les plus favorables à la lutte contre le changement climatique sont les gouvernements socialistes, de type marxiste, qui veulent tout contrôler.

Le changement climatique est devenu une sorte de religion pour la gauche radicale. Ils y croient comme à un article de foi, quelles que soient les preuves. C’est un outil qu’ils utilisent pour accroître leur contrôle.

En savoir plus : Lisez « De quoi l’Accord de Paris sur le climat s’agissait en réalité ».