Une percée pour l’avion de combat furtif européen
En 2017, la France et l’Allemagne ont lancé un projet appelé le Système aérien de combat futur (FCAS). Le projet, rejoint depuis par l’Espagne, a connu une percée le 18 novembre. Des désaccords longs de plusieurs mois entre Airbus de l’Allemagne et Dassault de la France ont été réglés.
L’accord politique sur le FCAS est un grand pas en avant et, surtout dans le contexte international actuel, un signal important de l’excellente coopération entre la France, l’Allemagne et l’Espagne.
—Le bureau du président français, le 18 novembre.
Un objectif ambitieux : Le projet d’armement de plus de 100 milliards d’euros comprend un avion de combat de nouvelle génération ainsi que des flottes de drones intégrées. L’objectif de l’Europe n’est pas seulement l’indépendance vis-à-vis des États-Unis, mais aussi de surpasser son allié.
De l’économie à l’armée : Le projet d’unité européenne se transforme en un projet militaire européen. L’histoire de l’Europe et la prophétie biblique mettent en garde contre le danger d’une puissance militaire européenne. Une prophétie spécifique dans Apocalypse 9 : 7-9 pourrait même avoir spécifiquement prédit la coordination systématique des avions sur laquelle l’Europe travaille.
Dans Apocalypse 9 : 7-9, l’apôtre Jean décrit certaines des armes de cette puissance à venir. Jean a vu ces armes en vision et n’était pas familier avec ce qu’il voyait. Il n’avait jamais vu de véhicules mécanisés ou de technologie moderne. Il a décrit ce qu’il a vu en utilisant des termes qui lui étaient familiers, tels que des « sauterelles », des chevaux de guerre et des lions. « [L]e bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat », dit le verset 9. Il s’agit d’avions, de chasseurs à réaction et d’hélicoptères qui peuvent aller dans toutes les directions et infliger une destruction punitive !
—Gerald Flurry, rédacteur en chef de la Trompette
Pour savoir où mène cette coopération, lisez « La France rejette l'Amérique—et donne le pouvoir à l'Allemagne ! », par Gerald Flurry.