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Vous rendez-vous compte de la vitesse à laquelle votre nation s'effondre ?

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Vous rendez-vous compte de la vitesse à laquelle votre nation s'effondre ?

Cet automne, j'ai fait un voyage pour rendre visite à mes beaux-parents au Canada. La dernière fois que je suis allé dans ce pays, c'était il y a trois ans. Le changement depuis cette époque est stupéfiant.

Les différences furent perceptibles presque immédiatement. J'ai toujours apprécié la façon dont les Canadiens arborent fièrement leurs drapeaux. Mais cette fois-ci, ils étaient tous en berne. Jour après jour, ils étaient suspendus là, apparemment plus en lambeaux et plus fanés que les années précédentes. Ils avaient été mis en berne pour commémorer le scandale des pensionnats pour autochtones, une erreur pour laquelle tout le monde s'est excusé depuis longtemps, sauf l'Église catholique, qui dirigeait la plupart des écoles. Le scandale est utilisé pour ternir l'histoire d'une nation entière. Le Canada, habituellement si fier de son identité, avait l'air honteux. On avait l'impression de rendre visite à une puissance vaincue.

Une promenade dans les rues révéla rapidement d'autres changements. Toute grande ville a son lot de sans-abri ou de fous. Maintenant il semblait y en avoir plus, certains évanouis, d'autres marmonnant, d'autres encore errant dans les rues, criant contre le monde en général. La raison de cette augmentation devint vite claire. Les problèmes s'aggravaient à mesure que l'on se rapprochait des magasins de cannabis qui apparaissaient bien trop souvent au coin des rues. Je n'avais pas voyagé aux États-Unis ou au Canada depuis la légalisation du cannabis, c'était donc la première fois que je voyais ces magasins. J'avais supposé qu'ils étaient rares, confinés dans les quartiers les plus sombres de la ville. Mais non : il est plus facile de trouver des drogues anciennement illégales qu'un magasin d'alcool.

Mais c'est peut-être le vide dans les rues qui rendit les fous plus visibles. Les restrictions d'accès vidèrent le centre-ville de l'agitation habituelle des hommes d'affaires. Un centre commercial voisin semblait à moitié vide. Il n'y avait pas de carte des magasins—peut-être parce que le rythme des fermetures la rendait obsolète. Aujourd'hui, dans tout le Canada, entrez dans un restaurant et vous serez accueilli par « Papiers, s'il vous plaît. » La plupart des provinces n'autorisent que les vaccinés à manger au restaurant, à visiter des musées ou des cinémas, etc. Le bilan de toutes ces restrictions pour les entreprises était clair.

Mais ce n'est pas le pire effet de l'enthousiasme du Canada pour le vaccin. J'ai parlé à plusieurs personnes qui m'ont dit qu'on leur avait dit qu'elles étaient sur le point de perdre leur emploi en raison de leur refus de recevoir le vaccin. D'autres ont dit qu'on leur avait dit qu'ils ne seraient pas renvoyés ; s'ils ne recevaient pas le vaccin, ils ne seraient tout simplement pas payés. Dans un pays autrefois si soucieux des droits des travailleurs, cette pratique a curieusement été jugée légale.

Ce n’était pas le Canada que j'avais visité trois ans auparavant. Il a complètement changé.

Mais il ne s'agit pas seulement du Canada. Je suis sûr que quiconque se rendrait au Royaume-Uni en ce moment, après trois ans d'absence, serait confronté à un constat similaire. Ils seraient accueillis par des rayons de supermarché vides et une chasse effrénée à une station-service non vide. Une visite en Australie serait encore plus choquante. Mais ce serait impossible ; l'Australie ne laisse même pas entrer certains de ses propres citoyens.

Ce voyage m'a fait réaliser à quel point le monde entier a changé ces dernières années. Nos pays s'effondrent à une vitesse incroyable. Bien sûr, j'avais remarqué ce déclin et j'en étais frustré. Mais le voir dans un autre pays m'a fait m'arrêter et réfléchir.

Nos nations sont réellement attaquées. L'attaque est spirituelle, mais ses effets sont tangibles.

Les solutions sont également spirituelles, mais il n'y a pas beaucoup de temps. Dieu donnera à nos nations une dernière occasion de se repentir, ce qui permettra peut-être de renverser une partie du déclin—mais pas pour longtemps.

Comme l’explique le rédacteur en chef de la Trompette, Joel Hilliker, dans notre dernier numéro imprimé de la Trompette, Dieu offre un moyen aux individus d'échapper à ce déclin, même si la société dans son ensemble refuse de se tourner. « Alors que la nation la plus bénie de l'histoire du monde succombe à ses propres péchés, n'y a-t-il pas une leçon à en tirer—une leçon personnelle ? » demande-t-il. « Jésus-Christ vous dit qu'il y en a une. Regardez les actualités et comprenez la prophétie biblique, oui. Mais réalisez aussi que vous devez changer votre vie. »

Nous avons tous des choses à travailler et à changer—et peu de temps pour le faire. Pour en savoir plus sur ce moyen d'échapper à ce monde qui s'effondre, lisez le court article de M. Hilliker intitulé « Un moyen de s'échapper ».

LA TROMPETTE EN BREF

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