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Hitler et le Saint Empire romain (troisième partie)

Mihailo1997/Wikimedia Commons

Hitler et le Saint Empire romain (troisième partie)

L’Allemagne et le Saint Empire romain : Chapitre quatre

La suite provenant de Hitler et le Saint Empire romain (deuxième partie)

Un pouvoir surnaturel

En clair, le pouvoir de Hitler dépassait le domaine humain. Mais était-ce le message du Dieu Créateur? Non, c’était un message religieux d’un autre dieu—du dieu de ce monde. Herbert W. Armstrong déclara que Satan est mille fois plus puissant que nous le sommes. Mais les hommes refusent même de comprendre l’impressionnant pouvoir de Satan.

S’ils ne peuvent apprendre par les mots, ils apprendront en devenant des victimes—tout comme les victimes des camps d’extermination durant la Deuxième Guerre mondiale!

Le Christ prophétisa uniquement sur deux grandes églises dans le livre de l’Apocalypse—Son Eglise et l’église de Satan, qui chevauche les sept bêtes du Saint Empire romain. Tout tourne autour de ces deux églises (voir Apocalypse 12 en particulier). Dieu rend cela très clair, tandis que Satan le complique et rend confus les hommes séduits. Et pourtant le monde est presque totalement ignorant de ces deux églises, pour sa propre honte et sa terrible souffrance!

Voici ce que Hitler déclara, le 4 mars 1938, après avoir annexé, par la force, l’Autriche au Reich allemand: «La Providence m’a chargé de réunir les peuples allemands… avec la Mission de restaurer ma patrie au sein du Reich allemand. J’ai cru en cette Mission. J’ai vécu pour elle, et je crois que je l’ai, maintenant, accomplie.»

Hitler croyait que Dieu le guidait afin qu’il fasse entrer, de force, l’Autriche dans le Troisième Reich. Le monde observa et ne fit rien. Beaucoup de Juifs étaient si craintifs qu’ils se suicidèrent, avant même que l’armée allemande n’arrive en Autriche. Et bien sûr, des centaines d’autres furent massacrés après l’entrée de l’armée.

Hitler fut conduit à commettre ce sacrifice sanglant, non par le Dieu Créateur, mais par le dieu méchant de ce monde. Tout fut fait au nom de la religion. C’est là où se situe la grande séduction!

Quand en viendrons-nous à connaître le dieu de ce monde? Devrons-nous tous devenir des victimes, avant que nous ne prenions garde à l’avertissement?

Entraîner la nation entière

A travers la séduction, le monde est gardé dans l’ignorance. Ceci rend la tâche de Satan très facile à accomplir. C’est toujours Dieu seul qui peut nous sauver, tout comme Il sauva les Etats-Unis et la Grande-Bretagne durant la Deuxième Guerre mondiale. Mais cette fois-ci il n’y a pas de Winston Churchill préparé pour nous avertir du temps.

De nos jours, les Allemands et l’Union européenne sont, de nouveau, en train de focaliser l’esprit des gens sur le Saint Empire romain. Le parlementaire européen Otto von Habsbourg déclara que «la Communauté [européenne] vit largement de l’héritage du Saint Empire romain, bien que la majeure partie des gens qui en vivent, ne connaissent pas sur quel héritage ils vivent.» Notez bien, les gens en «grande majorite» ne savent pas qu’ils vivent en ce moment de l’heritage du Saint Empire Romain! C’est parce qu’il a été «en clandestinité»—comme Dieu le prophétisa. Mais cela change rapidement, au fur et à mesure que l’empire croît en puissance.

Les gens ont besoin d’un point de mire plus précis pour entraîner leur imagination. Et ils vont l’obtenir. Mr. Habsbourg, un descendant de la dynastie des Habsbourg qui gouverna le Saint Empire romain pendant 400 ans, parla d’une couronne se trouvant dans un musée de Vienne, en Autriche, qui a beaucoup de signification pour les Allemands. Il déclara: «Nous possédons un symbole européen qui appartient également à toutes les nations d’Europe. C’est la couronne du Saint Empire Romain, qui personnifie la tradition de Charlemagne.» Charlemagne fut couronné empereur du Saint Empire romain en l’an 800 de notre ère—ce fut le Premier Reich. Pouvons-nous voir où Satan est en train de les amener? La question n’est pas nécessairement de savoir où ils veulent aller, mais où Satan les conduit!

Mr. Habsbourg omit de mentionner que le Saint Empire romain incarnait également la tradition de Mussolini et de Adolf Hitler—leader du Troisième Reich!

L’Europe est de nouveau fascinée par la couronne de Charlemagne—tout comme Hitler l’était!

Le pape Jean Paul II dit qu’il veut «sauver l’Europe et le monde de la catastrophe finale»—ou l’annihilation nucléaire de chaque être humain. Mais Satan est en train d’utiliser, en fait, l’empire romain pour plonger le monde dans un holocauste nucléaire!

Cet empire a toujours été utilisé comme instrument de grande destruction. L’ultime résurrection du temps de la fin sera—et de loin—la plus destructrice qui soit!

Seul l’Israël biblique a un passé avec Dieu. Nous sommes sans excuse! Nous sommes sur le point d’être punis pour notre attitude rebelle—par nos «amants.»

Hitler n’a fourni qu’un petit aperçu de la bête politique à venir qui initiera un holocauste nucléaire!

Ce pouvoir causera les pires souffrances aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne, plus qu’aucun autre peuple n’en a jamais eu sur cette terre! Quel prix incroyable nous devons payer pour notre ignorance et notre rébellion!

Konrad Heiden écrivit une introduction pour une traduction anglaise de Mein Kampf. Dans celle-ci, il fait ces déclarations: «Mein Kampf rendit Hitler riche. Il devint un best-seller, juste derrière la Bible. Le livre peut bien être appelé quelque chose comme bible satanique… Le principe selon lequel les hommes ne sont pas égaux, est la théorie développée dans Mein Kampf

«Qu’un homme puisse aller si loin dans la réalisation de ses ambitions, et—par dessus tout—qu’il puisse trouver des millions d’outils et d’auxiliaires serviables: c’est un phénomène sur lequel le monde pourra méditer durant les siècles à venir.»

En fait, les gens ne méditeront pas sur cela pendant des siècles. Ils vont bientôt apprendre la vérité et comprendre ce qu’est le Saint Empire romain. Les bibles sataniques et autres empires diaboliques sont sur le point d’être détruits pour toujours. Malheureusement, cela surviendra après que des millions de personnes soient tuées par la septième tête.

L’esprit de Charlemagne

Ce qui se passe dans le super état européen est un mystère pour beaucoup de monde. Mais ce mystère commence à s’éclaircir. Bernard Connolly écrivit, en 1995, un livre détonnant intitulé The Rotten Heart of Europe (Le cœur pourri de l’Europe). Pendant des années, il servit au cœur des mécanismes des taux de change de l’Union européenne (UE). Il était le chef du département responsable du contrôle et de la révision du système. Il a qualifié le super état européen de pourri. Pourquoi?

Voici une citation tirée de son livre: «C’est la bataille pour le contrôle du super état européen, dans laquelle les technocrates français sont confrontés aux fédéralistes allemands, prétendant, les uns et les autres, se battre sous la banniere de charlemagne. Les ‘dégâts collatéraux’ de cette bataille se verront principalement dans l’avenir, mais ce pourrait être épouvantable» (p. xvi).

Qui prendra le contrôle de ce grand super état? La bataille se limite à deux nations—la France et l’Allemagne. Les gens bien informés, doutent-ils vraiment de l’identité du vainqueur? La nation qui contrôlera la monnaie régnera de façon suprême.

«De l’autre côté du Rhin, les gouvernements allemands successifs, dans leur quête d’un masque ‘Europeen’ pour les ambitions Allemandes, ont été préparé à accepter la cession apparente de l’autorité monétaire nationale—pour autant que la nouvelle autorité monétaire européenne [l’euro] ressemble, résonne, sente et agisse exactement comme l’actuelle autorité monétaire allemande» (ibid., p. 4).

Le système de l’UE a déjà été appelé le cheval de Troie. Mr. Connally dit que c’est un «masque pour les ambitions Allemandes

Quelles sont au juste ces ambitions?

«La Bundesbank commença à utiliser pleinement cette opportunité, en repoussant son obligation de ‘soutenir la politique économique générale du gouvernement.’ En 1966, elle provoqua délibérément une récession qui détrôna le Chancelier Ludwig Erhard qui, en tant que Ministre des Finances, avait outrepassé les objections de la Bundesbank sur la réévaluation du DM [Deutschmark] en 1961. Le Président de la Bundesbank de l’époque, Karl Blessing, fit remarquer avec une satisfaction évidente que ‘nous devions utiliser la force brute pour remettre les choses en ordre’—une formule pas très différente de celle utilisée par les dirigeants militaires des pays du Tiers Monde qui déposent sommairement un dirigeant civil arrogant, avant de retourner dans leurs casernes. On n’a pas été sans noter, que l’homme qui remplaça L. Erhard, Georg Kiesinger, était, comme beaucoup de figures preeminentes de la bundesbank a cette epoque-la, un ancien membre du parti nazi, que ce fait ait, ou non, plus ou moins de signification» (ibid., p. 9).

Il ne parle ici que d’une institution allemande. En 1966, la Bundesbank avait «beaucoup de figures preeminentes» qui etaient des nazis! Cela nous donne-t-il une certaine idée de la direction vers laquelle le super état européen se dirige? Avons-nous peur de faire face à la vérité de ce livre sur ce qui se passe en Allemagne et en Europe? Craignons-nous de faire face à la prophétie de la Bible?

Les Nazis savent comment «utiliser la force brute pour remettre les choses en ordre»! Et pas uniquement dans le système de la finance.

Nous connaissons tous le Troisième Reich de Hitler. M. Connally qualifie l’empire de Charlemagne de premier reich.

La majeure partie des dirigeants de l’UE travaillent à «recréer» l’empire de Charlemagne. Il ne s’agissait pas d’une coïncidence quand le gouvernement belge abrita les bureaux et les salles de réunions du Conseil des Ministres de l’UE dans l’immeuble Charlemagne à Bruxelles.

«Ce ne fut pas, non plus, une coïncidence si V. Giscard d’Estaing et H. Schmidt se mirent d’accord pour accepter la proposition belge de compromis au sommet bilatéral en septembre 1978 à Aachen [Aix-la-Chapelle], siège principal et lieu d’inhumation de Charlemagne. Le symbolisme était lourdement souligné, tant en France qu’en Allemagne; les deux dirigeants firent une visite spéciale au trône de Charlemagne et un office spécial se déroula dans la cathédrale; à la fin du sommet, Giscard. remarqua que: ‘Peut-être que lorsque nous discutions des problèmes monétaires, l’esprit de Charlemagne planait au-dessus de nous’» (ibid., p. 17).

L’esprit de Charlemagne est revenu. Cet ancien roi, qui gouverna le Premier Reich, affirma qu’il devait avancer dans une «mer de sang» pour atteindre son but de gouverner l’Europe.

Le grande question reste sans réponse. «Dans le nouvel empire de Charlemagne, qui jouerait le role de Charlemagne? La même question, restée sans réponse, était implicite à Maastricht» (ibid.)

Le monde saura bientôt qui sera le Charlemagne moderne. Vous pouvez être certain qu’il aura le sceau d’approbation de l’Allemagne. Ses actions choqueront le monde bien plus que ne le firent celles du Charlemagne original. Il conduira le monde dans la plus grande «mer de sang» que l’humanité n’aura jamais vue ou même imaginée! Que nous le réalisions ou pas, le Quatrième Reich est arrivé. 

La suite sur L’Allemagne selon la prophétie (première partie)

Ger Fr Bo