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La nouvelle terre des Israélites (troisième partie)

paul morris/Unsplash

La nouvelle terre des Israélites (troisième partie)

Les Anglo-Saxons selon la prophétie (chapitre Neuf)

La suite provenant de  La nouvelle terre des Israélites (deuxième partie)

D'

anciennes annales irlandaises

Considérons brièvement ce que révèlent les anciennes annales, les légendes et l’histoire de l’Irlande. Nous saurons alors où Jérémie transplanta le trône de David, et nous connaîtrons quel est le peuple qui représente l’Israël «perdu».

L’histoire ancienne de l’Irlande, même si elle comporte un certain nombre de légendes, est très détaillée. À la lumière de l’histoire biblique et des prophéties, il est facile d’en extirper les récits imaginaires et de retenir les faits. On découvre les faits suivants: A une époque bien antérieure à l’an 700 avant notre ère, une importante colonie appelée «Tuatha de Danaan» (la tribu de Dan) arriva par bateau sur les côtes irlandaises, et s’installa dans le pays après en avoir expulsé les indigènes. Plus tard, à l’époque du roi David, une autre colonie, de la lignée de Zérach, arriva en Irlande en provenance du Proche-Orient.

Ensuite, en 569 avant notre ère (époque à laquelle Jérémie effectua le transfert du trône de David), un vieillard aux cheveux blancs, souvent identifié comme un «saint», arriva en Irlande. Il fut accompagné par une princesse qui était la fille d’un roi de l’Orient et un compagnon nommé «Simon Brach» ou, d’après certains documents: «Breck», «Berech», «Brach» ou «Berach». La princesse portait un nom hébreu: «Tephi»—un surnom, pourrait-on dire—de son vrai nom: «Tea-Tephi».

Certains écrivains de la littérature anglo-saxonne moderne reconnaissent leur identité nationale, mais ils confondent cette Tea-Tephi, qui était l’une des filles de Sédécias, avec une autre Tea qui vécut à une époque antérieure, et qui était la fille d’un certain Ith, contemporain du roi David.

Cette délégation royale, composée d’un vieillard et de son compagnon, puis d’une princesse, comprenait également le fils du roi d’Irlande qui s’était rendu en Palestine et qui se trouvait à Jérusalem lors de sa chute. Là, il avait fait connaissance avec Tea-Tephi. Il l’épousa peu après 585 avant notre ère—date de la chute de Jérusalem. Leur jeune fils, qui était âgé de 12 ans lors de leur arrivée sur le sol irlandais, faisait également partie du groupe. À part la famille royale, Jérémie amenait avec lui un certain nombre d’objets remarquables, y inclut une harpe, une arche, et une pierre merveilleuse appelée lia-fail, ou «pierre du destin». Si l’on sait que les Hébreux lisent de droite à gauche et les Anglais, tout comme les Français, lisent de gauche à droite, n’est-ce vraiment rien d’autre qu’une «curieuse coïncidence» si ce mot peut être lu dans les deux sens et toujours signifier lia-fail?

Ce qui est également surprenant—s’agirait-il d’une autre coïncidence?—c’est que beaucoup de rois irlandais, écossais et anglais ont été couronnés sur cette pierre—y compris l’actuelle reine d’Angleterre. Cette pierre se trouve actuellement à Londres, à l’abbaye de Westminster, et le fauteuil du couronnement a été bâti dessus. Une pancarte y porte l’inscription: «Le Pilier de Jacob» (Genèse 28:18).

Le mari de la princesse juive, qui était de sang royal, reçut ultérieurement le titre de roi Herremon, lorsqu’il accéda au trône de son père. Il ne faut pas le confondre avec Gede l’Herremon qui fui roi au temps du roi David, à une époque bien antérieure—qui épousa Tea, la fille de son oncle Ith dont nous parlions plus haut. Le fils du roi Herremon et de la princesse juive monta, à son tour, sur le trône d’Irlande et, jusqu’à ce jour, cette dynastie n’a jamais été interrompue. Le trône, à une époque, fut transféré en Écosse. Un peu plus tard, il fut à nouveau transféré à Londres, en Angleterre, où cette même dynastie continue aujourd’hui dans le règne de la reine Elizabeth II.

Un autre fait significatif est que la couronne que portèrent les rois de la lignée d’Herremon, et les autres souverains de l’ancienne Irlande, comporte douze pointes!

La reine Elizabeth sur le trône de David

En rassemblant les indications que révèlent l’histoire et les prophéties bibliques ainsi que les annales irlandaises, comment peut-on encore douter de ce que cette princesse juive fut la fille du roi Sédécias de Juda et, par conséquent, héritière du trône de David? Comment peut-on douter de ce que le vieux patriarche fut en réalité Jérémie, et que son compagnon était Baruc, le scribe ou secrétaire de Jérémie? Que le roi Herremon fut un descendant de la lignée de Zérach, qu’il épousa une fille de la lignée de Pérets, réparant ainsi l’ancienne «brèche»? Que le trône de David fut renversé une première fois par Jérémie, replanté en Irlande, renversé une seconde fois et transféré en Écosse, puis renversé une troisième fois et transféré à Londres? Lorsque le Christ retournera sur cette Terre, Il prendra possession d’un trône réel, un trône qui existe et non un trône imaginaire (Luc 1:32).

En plus, le Commonwealth britannique constitue la seule compagnie—ou groupe—de nations qui ait jamais existé. Comment les Anglo-Saxons auraient-ils pu rassembler toutes ces marques d’identification propres aux héritiers du droit d’aînesse, et ne pas être le peuple du droit d’aînesse?

Ce n’est qu’à partir du 19eme siècle que les États-Unis ont vraiment pris de l’ampleur et ont commencé à bénéficier d’un lot géant de ressources et d’une richesse inégalée, mais ils ne devinrent la nation la plus puissante du monde qu’après le Commonwealth britannique. C’est à la fin de la Première Guerre mondiale qu’ils devinrent une super puissance mondiale.

Les États-Unis—descendants de Manassé

Selon les bénédictions prophétiques que prononça Jacob avant sa mort, on peut aisément remarquer qu’Ephraïm et Manassé allaient, dans une large mesure, hériter ensemble du droit d’aînesse, qu’ils allaient rester longtemps ensemble puis finalement, se séparer.

Dans Genèse 48, Jacob transmis le droit d’aînesse aux deux fils de Joseph, parlant des deux comme s’il s’agissait d’un seul. Puis il continue en les distinguant l’un de l’autre—Manassé allait devenir une grande nation; Ephraïm, une multitude de nations.

Et dans sa prophétie se rapportant aux derniers jours, Jacob déclara: «Joseph est le rejeton d’un arbre fertile, le rejeton d’un arbre fertile près d’une source; les branches s’élèvent au-dessus de la muraille» (Genèse 49:22). En d’autres termes, Joseph—Ephraïm et Manassé ensemble—allaient devenir un peuple colonisateur dans les derniers jours; leurs colonies allaient s’étendre sur le globe à partir des îles Britanniques.

Ensemble, Ephraïm et Manassé se mirent à croître jusqu’à devenir une multitude, puis ils se séparèrent, conformément aux paroles prophétiques de Jacob dans Genèse 48. Les Anglo-Saxons ont accompli cette prophétie.

Comment peut-on savoir que les États-Unis représentent Manassé lorsqu’une grande partie de leurs ressortissants sont originaires de bien d’autres pays que les îles Britanniques? La réponse est la suivante: la majorité des descendants de Manassé cohabita avec Ephraïm jusqu’à la formation de la Nouvelle-Angleterre (à l’est des États-Unis). Dieu, souvenez-vous-en, avait déclaré: «Je secouerai la maison d’Israël parmi toutes les nations, comme on secoue avec le crible, sans qu’il tombe à terre un seul grain» (Amos 9:9). Nos nations israélites furent dispersées parmi de nombreux pays. Ephraïm et une grande partie de Manassé finirent par former une nation dans les îles Britanniques. Mais beaucoup d’autres descendants de Manassé restèrent parmi les nations et rejoignirent leurs frères, comme immigrants, aux États-Unis après que la Nouvelle-Angleterre est devenue une nation séparée. Cela ne veut pas dire que tous les étrangers qui sont allés s’installer aux États-Unis sont des descendants de Manassé, mais il est indéniable qu’un bon nombre en font partie. Israël, par contre, avait coutume d’assimiler les «Gentils» qui sont devenus des israélites en vivant dans le pays d’Israël et en mariant des israélites.

C’est ainsi que les États-Unis ont la réputation d’être la nation la plus cosmopolite du monde. Une telle réputation, loin de réfuter l’origine des Américains, la confirme. Le fait que les États-Unis représentent Manassé est indéniable; nous aurons l’occasion de le prouver amplement. Manassé devait se séparer d’Ephraïm pour devenir la nation la plus riche et la plus puissante que l’histoire ait jamais connue. Seuls les États-Unis, de toutes les nations au monde, ont accompli cette prophétie. Tout compte fait, on peut dire que Manassé représente une treizième tribu. Au départ, il n’y en avait que douze. Joseph en représentait une. Mais lorsque Joseph devint deux tribus, et que Manassé se sépara pour former une nation à part, il y eut désormais treize tribus.

Une fois encore, est-ce un hasard si les États-Unis comprenaient, au départ, treize colonies?

Et que dire des autres tribus qui représentaient le reste des Dix ‘Tribus «perdues»? Même si le droit d’aînesse revenait à Joseph, les bénédictions relatives à Joseph ayant échu au Commonwealth britannique et aux États-Unis, les huit autres tribus d’Israël faisaient également partie du peuple de Dieu. Elles aussi ont hérité d’une certaine prospérité matérielle—bien qu’elles n’aient pas hérité la dominance du droit d’aînesse.

Le but du présent ouvrage n’est pas de fournir les détails relatifs à ces autres tribus qui sont, pour la plupart, devenues des nations connues en ce vingtième siècle. Nous nous contenterons ici de ne mentionner que quelques pays d’Europe tels que les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark, le nord de la France, le Luxembourg, la Suisse, la Suède et la Norvège. Ces pays sont composés, en grande partie, par des descendants des autres tribus. Les peuples de l’Islande sont aussi d’origine viking. Ce qu’il est bon de mentionner encore, c’est que les frontières actuelles des nations européennes ne délimitent pas, nécessairement, de façon précise les descendants des tribus d’Israël. 

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