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Convois de la liberté : le préfet Lallement sur le pied de guerre

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Les convois de la liberté qui s’organisent un peu partout en France, du sud, de l’est et de l’ouest vers le nord et dont la destination finale est Bruxelles, la semaine prochaine, doivent s’arrêter ce week-end à Paris. Pour Paris, l’objectif est, nous dit-on à l’envi, de bloquer la capitale sur fond de protestations contre toutes les formes de restrictions imposées aux Français depuis deux ans de pandémie, dont le fameux passe vaccinal. S’y joignent d’autres revendications où ce qui domine est clairement un rejet d’Emmanuel Macron et, plus largement, de la classe élitaire. D’autres participants, interrogés par la presse, expliquent qu’il ne s’agit pas de bloquer la capitale mais d’y manifester après avoir garé camions, voitures et motos participant aux convois.

Donc, pour éviter un blocage de la capitale, le préfet Lallement, qui s’était particulièrement illustré pendant l’épisode des gilets jaunes, entend… bloquer l’accès à la capitale. Il y a blocage et blocage, les bons bloqueurs et les mauvais bloqueurs. Le parti de l’ordre et ceux qui ne veulent plus subir.

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la Trompette dit...

Dans notre article « Le Coronavirus et le Saint-Empire romain » par le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, nous avons averti que les mesures prises contre le Covid-19 ne concernent pas vraiment la santé, mais servent plutôt à ouvrir la porte à une forme de gouvernement de plus en plus dictatoriale, renforçant ainsi le pouvoir des dirigeants sur le peuple. Nous avons écrit :

Les dirigeants européens se comportent de plus en plus comme des dictateurs et assument un pouvoir dictatorial. Les citoyens européens sont conditionnés pour accepter une direction plus tyrannique. Pourtant, ces hommes forts qui montent ne sont pas encore unis comme la Bible dit qu’ils le seront. Le Saint-Empire romain germanique manque encore son chef suprême.