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Barack Obama dans la prophétie biblique

iStock.com/CactuSoup, Melissa Barreiro/La Trompette

Barack Obama dans la prophétie biblique

L'Amérique sous attaque (Chapitre Un)

Lire le chaptire précédent : L’attaquant invisible.

Le 20 janvier 2017, c’était le dernier jour de Barack Obama dans le bureau ovale. Ce jour-là, il a laissé un message manuscrit pour le futur président, Donald Trump. Il a écrit que les présidents américains sont « les gardiens des institutions et des traditions démocratiques—comme la primauté du droit, la séparation des pouvoirs, l’égalité de protection et les libertés civiles—pour lesquelles nos ancêtres se sont battus et ont versé leur sang. Indépendamment de la poussée et de la traction de la politique quotidienne, il nous appartient de laisser ces instruments de notre démocratie au moins aussi forts que nous les avons trouvés. »

La note de M. Obama semblait noble et sincère. Elle a été traitée comme telle par de nombreux politiciens et journalistes. Mais c’est l’un des messages les plus diaboliques et les plus hypocrites jamais écrits par un président américain.

Barack Obama a passé ses huit années de présidence à faire exactement le contraire de ce qu’il a dit à M. Trump : faire avancer son programme visant à affaiblir ces institutions et traditions démocratiques dans la poursuite de son objectif suprême déclaré de « transformer fondamentalement les États-Unis d’Amérique ».

Après avoir quitté ses fonctions, M. Obama a continué à poursuivre cet objectif. Il a été le fer de lance de l’effort visant à nuire au programme de Donald Trump « Rendre l’Amérique grande de nouveau », un effort qui comprenait l’espionnage illégal de M. Trump et sa mise en accusation à deux reprises. Il a dirigé la bataille de trahison de la gauche radicale pour empêcher à tout prix la réélection de M. Trump.

Les États-Unis sont entrés dans la plus grande crise politique de leur histoire, le 3 novembre 2020, jour des élections. Pour faire de Joe Biden un président, la gauche radicale a manipulé de manière flagrante le système de vote de la nation.

Au départ, les grands médias, peut-être la moitié des citoyens, la plupart des politiciens du pays (démocrates et républicains) et une grande partie du reste du monde ont cru, ou du moins se sont comportés comme si M. Biden avait été légitimement élu président par le total officiel de 81 millions de voix.

Mais c’était un énorme mensonge. Des montagnes de preuves montrent que l’élection a été manipulée. Lors d’audiences au tribunal dans plusieurs États, des centaines de témoins ont fait des récits de première main sur la fraude électorale généralisée. Des milliers de témoins ont signé des déclarations l’attestant. Des scientifiques et des analystes de données ont étudié les chiffres et témoigné de l’impossibilité statistique de certains décomptes officiels. Les machines à voter électroniques et les logiciels ont été audités et ont révélé des activités malhonnêtes. Les vidéos de sécurité et les données de géolocalisation des téléphones portables ont montré des « mules » remplissant des urnes avec des piles de bulletins, parfois au milieu de la nuit. Nombre de ces personnes cachaient leur identité avec des masques, masquaient leurs empreintes digitales avec des gants jetables et se photographiaient avec les bulletins dans les urnes pour s’assurer d’être payées pour leurs crimes.1

L’élection de 2020 a été piratée, et elle a réduit en miettes tout le système électoral de l’Amérique. Et tout cela à cause de l’assaut effréné de la gauche radicale contre les « institutions et traditions démocratiques » de l’Amérique, notamment la Constitution et l’État de droit. Des milliers de personnes et d’institutions ont été directement ou indirectement impliquées. Pratiquement toutes les grandes organisations et personnalités médiatiques américaines étaient complices, ainsi que les puissantes entreprises technologiques et de nombreux politiciens de premier plan du pays.

Mais ce vaste réseau de mensonges, de corruption et d’anarchie renvoie à un seul homme : Barack Obama.

Comme nous allons le voir, ce scandale épique n’aurait pas eu lieu si Obama n’avait pas dirigé le Parti démocrate et la gauche radicale. Et il existe des preuves qu’il était non seulement au courant du complot visant à pervertir l’élection de 2020, mais qu’il dirigeait directement ou indirectement ceux qui en tiraient les ficelles.

Beaucoup ont parlé d’un coup d’État roulant—une insurrection en cours contre le gouvernement constitutionnel américain—et ils ont raison. Ce coup d’État a été initié par Barack Obama avant qu’il ne quitte ses fonctions en janvier 2017. Alors même qu’il écrivait ce « beau » message enjoignant à Donald Trump de préserver la démocratie et l’État de droit, cet homme élaborait des plans pour renverser M. Trump et ramener la gauche radicale à la Maison-Blanche !

Je veux montrer comment la crise électorale de 2020 expose M. Obama et ses alliés les plus proches. Après le jour de l’élection, la corruption de la politique américaine et celle de son système électoral ont été mises au grand jour de façon spectaculaire. Cela a mis en évidence une tendance étonnante à l’anarchie dans cette nation.

Plus important encore, cette crise révèle la force invisible, mais puissante derrière M. Obama et la gauche radicale, et elle met en lumière une prophétie biblique cruciale. Pour comprendre Barack Obama, l’élection de 2020 et l’avenir immédiat de l’Amérique, vous devez comprendre cette prophétie.

Mais avant d’examiner ces preuves, revenons un peu plus en arrière dans l’histoire.

Barack Obama ne ressemble à aucun autre président que l’Amérique ait jamais eu. Son personnage public a été façonné par ses trois mémoires, que les médias ont acceptées telles quelles. Mais il y a de nombreuses vérités troublantes sur son enfance et sa vie de jeune adulte qu’il ne mentionne pas dans ces autobiographies et qui auraient dû être connues et examinées lorsque le peuple américain envisageait de lui confier la fonction la plus puissante du pays. Il est étonnant de voir combien de choses sur sa vie ont été cachées ou déformées par les médias avant qu’il ne devienne président. C’est comme si les Américains n’étaient pas autorisés à connaître l’homme qui allait devenir leur chef.

Une enfance tragique

L’histoire de Barack Obama est tragique à bien des égards. Son père biologique était un coureur de jupons (à la poursuite des femmes) originaire du Kenya qu’il n’a rencontré qu’une seule fois et qui l’a abandonné alors qu’il était encore un jeune enfant. Des années plus tard, sa mère l’a également abandonné, le laissant chez ses grands-parents. Il a eu une enfance très triste. C’était un garçon vulnérable et émotionnellement négligé. Il était confus et en colère, à la recherche de figures paternelles et maternelles.

Dans sa biographie Rising Star : The Making of Barack Obama [L’étoile ascendante : la formation de Barack Obama], David Garrow écrit qu’en 1970, alors que Obama avait 9 ou 10 ans, sa mère a engagé « un homme de 24 ans ouvertement gay, parfois travesti... pour être à la fois cuisinier et nounou ». Ce gardien d’enfants essayait d’éviter que le jeune Obama ne le voie dans des vêtements féminins, mais il essayait le maquillage devant lui.

Pendant son adolescence, la mère d’Obama vivait en Indonésie, et il vivait avec ses grands-parents à Hawaï. M. Garrow note que les principales difficultés rencontrées par Obama durant son enfance n’avaient rien à voir avec la race ; Hawaï est l’un des endroits les plus diversifiés culturellement en Amérique. La plupart des amis d’Obama au lycée décrivent la colère d’Obama comme ayant plus à voir avec le manque d’attention de ses parents. L’un de ses amis proches a déclaré : « Les parents d’Obama étaient un “mystère total et complet”. Obama ne parlait jamais d’eux, se souvient-il : « Je ne savais rien de son père et je ne peux pas dire que je savais qu’il avait une mère ».

Pendant sa première année de lycée, Obama était membre du « Choom Gang », un terme d’argot hawaïen pour désigner le fait de fumer de la marijuana. On savait qu’Obama fumait de la marijuana, mais les médias ont minimisé l’importance de sa consommation de cette drogue pendant ses années préparatoires. Lui et ses amis fumaient de la marijuana presque quotidiennement et, lorsqu’ils pouvaient se le permettre, ils expérimentaient la cocaïne et l’héroïne.

Le trafiquant de drogue du groupe était un homosexuel nommé Ray Boyer. Obama et ses amis l’appelaient « Gay Ray ». Ray vivait dans un bus dans un entrepôt abandonné. Il était aussi fortement attiré par la pornographie. L’un des amis d’Obama se souvient que « Gay Ray » faisait planer les garçons, puis ils regardaient des films pornographiques ensemble.

Dans l’annuaire du lycée d’Obama, chaque élève diplômé disposait d’un quart de page qu’il pouvait utiliser à sa guise. Les amis d’Obama y ont inclus des références à leurs frasques et ont commémoré le groupe en écrivant les initiales de chaque membre. Sur la page d’Obama, en plus de remercier ses amis, il mentionne Ray. M. Garrow écrit que Obama, « seul parmi tous les membres du Choom Gang, avait désigné par son nom leur trafiquant de drogue bizarre, gay, montrant du porno, et l’avait remercié « pour tous les bons moments ».

Il est consternant d’abandonner un jeune homme à des influences aussi destructrices. La Bible décrit une époque dans l’ancien Israël où la corruption était telle que le peuple sacrifiait ses propres enfants (voir 2 Rois 17 : 17 ; Psaume 106 : 37-38 ; Jérémie 7 : 31 ; 19 : 5). Quelle sauvagerie et quelle barbarie ! Pourtant, nous voyons effectivement des parents faire la même chose aujourd’hui : les gens sacrifient leurs enfants moralement, mentalement et spirituellement en les livrant à toutes sortes de mauvaises influences. Qu’ils s’en rendent compte ou non, ils ouvrent leurs enfants aux attaques mortelles du diable.

Quand quelqu’un a ce genre d’enfance, Satan peut l’exploiter. Les fruits suggèrent fortement que dans le cas du jeune Barack Obama, il l’a exploité de manière profonde.

Racisme et communisme

L’une des figures les plus influentes sur le jeune Obama était l’ami noir de son grand-père maternel, Frank Marshall Davis. M. Davis était littéralement un communiste portant sa carte de membre. Il a été surveillé par le Federal Bureau of Investigation (FBI—Bureau fédéral d’enquête) pendant plusieurs années durant les années 1940 et 1950. Il était aussi un poète et un pornographe. Le grand-père d’Obama l’encourageait à parler avec Davis en tête-à-tête.

Davis a orienté Obama vers les luttes des Noirs américains. Il est en grande partie responsable de l’élaboration des opinions d’Obama sur la race et l’identité raciale.

L’American Spectator a imprimé un article sur Davis, avec la plaisanterie « Meet the hard-core Communist who mentored the future 44th President of the United States » [Rencontrez le communiste pur et dur qui a guidé le futur 44ème président des États-Unis] (12 octobre 2012). « En bref, les écrits de Frank Marshall Davis étaient scandaleux », écrit Paul Kengor. « Un sermon de Jeremiah Wright ou une conférence de Bill Ayers sont insipides en comparaison ». Bill Ayers est un terroriste socialiste américain blanc et un associé de M. Obama.

Obama fait vaguement référence à Davis dans sa première autobiographie, l’évoquant plus de 20 fois mais uniquement sous le nom de « Frank »—des références qu’il a censurées par la suite. Il est ostensiblement silencieux sur ses rencontres avec Davis. Lorsqu’il a commencé sa carrière politique, des décennies plus tard, sa relation avec Davis allait devenir un problème. Obama a déclaré que cette relation n’était rien et qu’il ne l’avait rencontré qu’une quinzaine de fois.

En 1980, Obama fréquenta l’Occidental College de Pasadena, en Californie. Pendant les vacances d’été, il retourna à Hawaï et a connu un autre tournant racial. La grand-mère blanche d’Obama rentra à la maison un après-midi après avoir été effrayée par un sans-abri noir alors qu’elle attendait un bus. Obama demanda l’avis de Davis sur la question. Selon lui, Davis lui a répondu : « Notre grand-mère a raison d’avoir peur… Elle comprend que les Noirs ont une raison de haïr. C’est comme ça. Pour ton bien, j’aimerais qu’il en soit autrement. Mais ça ne l’est pas. Alors tu ferais mieux de t’y habituer. »

Barack Obama raconte qu’en repensant à leur conversation, « la terre a tremblé sous mes pieds, prête à se fendre à tout moment. Je me suis arrêté, essayant de me stabiliser, et j’ai su pour la première fois que j’étais complètement seul » (Dreams From My Father [Rêves de mon père]).

Il semble que ce discours ait éveillé la conscience raciale d’Obama. Il n’a pas connu de problèmes raciaux importants en grandissant, mais cela ne l’a pas empêché d’utiliser la race comme un outil politique plus tard dans sa vie. Frank Marshall Davis a contribué à attiser les flammes du mécontentement racial et à inspirer le programme racial du futur président des États-Unis.

À l’Occidental College, Obama a écrit : « Pour éviter d’être pris pour un vendu, je choisissais mes amis avec soin. Les étudiants noirs les plus actifs politiquement. Les étudiants étrangers. Les Chicanos. Les professeurs marxistes, les féministes structurelles et les poètes performants du punk-rock ». Obama a admis avoir choisi des professeurs marxistes. « Nous fumions des cigarettes et portions des vestes en cuir. La nuit, dans les dortoirs, nous discutions du néocolonialisme, de Franz [sic] Fanon, de l’eurocentrisme et du patriarcat. Lorsque nous éteignions nos cigarettes sur le tapis du couloir ou que nous ajustions nos systèmes stéréo à un niveau si fort que les murs commençaient à trembler, nous résistions aux contraintes étouffantes de la société bourgeoise. Nous n’étions pas indifférents, négligents ou peu sûrs de nous. Nous étions aliénés. » Si j’avais fait ces choses, je ne m’en serais certainement pas vanté dans un livre.

L’un des professeurs d’Obama était Lawrence Goldyn, qui enseignait la politique comparative. Goldyn était connu sur le campus d’Occidental pour être le seul professeur ouvertement homosexuel. M. Garrow écrit que bien des années plus tard, lorsqu’on l’a interrogé sur son point de vue sur les questions homosexuelles, Obama a déclaré : « Mon professeur préféré, lors de ma première année d’université, était l’une des premières personnes ouvertement homosexuelles que j’ai connues… C’était un type formidable. » Dans des interviews ultérieures, Obama a évoqué sa « forte amitié » avec Goldyn et a admiré la façon dont s’est montré « à l’aise dans sa propre peau ». Garrow écrit qu’il « a écrit de manière quelque peu évasive à sa première petite amie intime qu’il avait pensé et envisagé l’homosexualité, mais qu’il avait finalement décidé qu’une relation homosexuelle serait moins difficile et exigeante que d’en développer une avec le sexe opposé. »

À l’automne 1980, Obama accepta l’invitation d’un ami d’Occidental, Mohammed Hasan Chandoo, à partager un appartement de deux chambres à coucher. Garrow écrit que pendant l’année universitaire 1980-81, Obama et Chandoo « sont devenus les plus proches amis ». « La marijuana était un relaxant régulier, mais peut-être pas nocturne, pour Chandoo et Barry », écrit Garrow. La petite amie de Chandoo a admis que le groupe sniffait occasionnellement de la cocaïne. À un moment donné, il a essayé les champignons psychédéliques.

Bien que M. Obama ait par la suite admis avoir consommé des drogues, il a déclaré que cette consommation était minime. Quelques mois avant l’élection présidentielle de 2008, le New York Times a publié ce titre : « De vieux amis disent que la drogue a joué un rôle mineur dans la vie de jeunesse d’Obama ». L’article affirmait que les amis d’Obama avaient peut-être minimisé sa consommation de drogue pour protéger sa réputation.

Une telle consommation de drogue affaiblit l’esprit et rend une personne plus sensible aux forces spirituelles néfastes. Ces activités ont-elles ouvert cette porte dans la vie de l’homme qui allait devenir le président de l’Amérique ?

Un personnage transformé

Chandoo, un Pakistanais, s’identifiait comme un marxiste. Un autre ami se souvient qu’il « était très radical à l’époque ». Au cours du semestre d’automne 1981, Obama est devenu plus actif politiquement. Il commença à assister à des rassemblements marxistes. Ses amis se souviennent qu’Obama « défendait une version plutôt simple d’esprit de la théorie marxiste » et qu’« il était passionné par son point de vue ». Obama et Chandoo ont créé au collège une section du « Comité de solidarité avec le peuple du Salvador », un groupe qui soutenait l’opposition de gauche du Salvador, liée au parti communiste. Chandoo a également organisé un forum sur le campus avec un ancien juge de la Cour suprême du Pakistan et le fondateur en exil du parti marxiste militant du Pakistan.

Dans son livre Dreams From My Father, Obama décrit une soirée où ses amis blancs étaient polis, mais visiblement mal à l’aise dans une fête où la plupart des gens étaient noirs. Après cette soirée, écrit-il, « j’avais commencé à voir une nouvelle carte du monde, effrayante dans sa simplicité, étouffante dans ses implications. Toute distinction entre les bons et les mauvais Blancs avait une signification négligeable. En fait, vous ne pouviez même pas être sûr que tout ce que vous aviez supposé être une expression de votre moi noir, sans entraves… avait été librement choisi par vous. Au mieux, ces choses étaient un refuge, au pire, un piège. En suivant cette logique exaspérante, la seule chose que vous pouviez choisir comme étant la vôtre était de vous retirer dans une bobine de rage de plus en plus petite, jusqu’à ce qu’être noir ne signifie plus que la connaissance de votre propre impuissance, de votre propre défaite. Et l’ironie finale : si vous refusiez cette défaite et vous en preniez à vos ravisseurs, ils auraient un nom pour cela aussi, un nom qui pourrait vous mettre en cage tout aussi bien. Paranoïaque. Militant. Violent. Né**o. Au cours des mois suivants, j’ai cherché à corroborer cette vision de cauchemar. [J’ai lu des livres de Baldwin, Ellison, Hughes, Wright, DuBois et Malcolm X], essayant de réconcilier le monde tel que je l’avais trouvé avec les conditions de ma naissance. »

À cette époque, écrit Garrow, « Obama s’est également rendu compte que la consommation de bière, d’herbe et de cocaïne qu’Oxy [Occidental College], comme Punahou [le lycée préparatoire d’Obama], lui offraient, et qui avait cimenté sa réputation de « fêtard invétéré » auprès de certains de ses amis, était incompatible avec toute transformation de soi en une personne et un étudiant plus sérieux. »

Obama a décidé de se réinventer. Il voulait prendre un nouveau départ. Un ami se souvient qu’il voulait s’installer dans un endroit où il aurait « accès à une expérience culturelle noire [qu’il ne connaissait] pas vraiment ».

En 1982, il fut transféré à l’université Columbia à New York. Là, il est allé habiter chez un ami de Chandoo nommé Siddiqi. Garrow écrit que « Siddiqi a également été témoin d’une “transformation” de l’Obama “aimant s’amuser… facile à vivre” qu’il avait rencontré 18 mois plus tôt à Pasadena-Sud, en quelqu’un qui était désormais “très sérieux et moins enjoué” ».

Lors d’une interview, des années plus tard, Obama a parlé de son passage à Columbia. Garrow écrit que sa mère, en plaisantant, l’appelait Gandhi « en raison de sa nouvelle vie ascétique, mais Barack ne niait pas qu’il était devenu “plus sérieux” pendant ces dernières années d’université ».

Obama se souvient : « Les gens m’invitaient à des soirées et je leur disais : “De quoi parlez-vous ? Nous avons une révolution qui doit avoir lieu” ».

Barack Obama était désormais sur la voie qui le mènerait au Parti démocrate, à Chicago, au Sénat et à la présidence.

L’entrée dans la politique

Après l’université de Columbia, Obama s’installa à Chicago, où il entra dans le monde de l’organisation communautaire. Il cherchait un lieu d’appartenance et tentait de se créer une identité. C’est à Chicago qu’il s’en forgea une. Dans un article paru en 2007 dans le New Republic, Ryan Lizza a écrit qu’Obama « aspirait à une expérience qui le reliait à l’époque des droits civiques ». Dans son autobiographie, Obama a écrit qu’il a « gagné » son appartenance à la communauté afro-américaine « en s’organisant » et en « partageant les sacrifices ». Obama, écrit Lizza, « voulait rejoindre le club ».

Barack Obama a commencé à fréquenter les services religieux du pasteur Jeremiah Wright. Des décennies plus tard, sa relation avec Wright deviendra l’un des rares défis qu’il devra relever dans sa carrière politique. Pendant sa campagne présidentielle de 2008, des extraits des sermons de Wright ont commencé à circuler sur l’Internet. Ils montrent la colère et l’indignation de Wright (« Le racisme est le mode de vie américain ! ») pendant ses discours profanes, fondés sur des théories du complot (« Le gouvernement a menti sur l’invention du virus du SIDA afin de commettre un génocide contre les personnes de couleur ») et dissimulés dans un langage spirituel (« Jésus était un pauvre homme noir… qui vivait dans une culture contrôlée par les riches blancs ! »). Dans ces clips, les déclarations les plus calomnieuses de Wright reçoivent les acclamations les plus fortes de sa congrégation.

Barack Obama a insisté sur le fait qu’il n’a jamais entendu Wright dire ces choses. Mais il a fréquenté l’église antisémite et anti-blanc de cet homme pendant 20 ans. Pendant deux décennies, il s’est assis dans l’église de Wright l’entendant déblatérer une haine féroce contre ce pays. Leur relation était profonde. Obama a intitulé l’un de ses livres The Audacity of Hope [L’audace de l’espoir], d’après l’un des sermons de Wright.

Malheureusement, la presse et une grande partie de l’opinion publique américaine ont volontairement négligé ce signal d’alarme surprenant. C’est comme s’ils étaient dans un état de stupeur, sans se soucier du fait que la vision du monde d’Obama a été façonnée par certains des esprits les plus radicaux et racistes d’Amérique !

Pendant son séjour à Chicago, Obama a découvert l’approche de Saul Alinsky en matière d’organisation communautaire. Dans son livre Rules for Radicals [Règles pour les radicaux], Alinsky fait l’éloge de Lucifer pour avoir été le « premier radical connu de l’homme qui s’est rebellé contre l’establishment et l’a fait si efficacement qu’il a au moins gagné son propre royaume ». Obama n’a jamais rencontré Alinsky personnellement, mais il a été formé par certains des plus proches disciples d’Alinsky.

« Alinsky était mort depuis plus de dix ans quand Obama est arrivé à Chicago, mais son héritage était encore bien vivant », écrit Lizza à propos des liens entre Obama et cet homme. « Mike Kruglik, Gerald Kellman et Gregory Galluzzo avaient tous étudié ses enseignements à l’Industrial Areas Foundation (IAF), l’école d’organisation fondée par Alinsky. Dans les années 80, même l’IAF n’adhérait pas strictement à tous les principes enseignés par Alinsky. Mais au moins un des professeurs d’Obama se considérait comme un vrai croyant : « Je me considère comme un saint Paul qui n’a jamais rencontré Jésus », m’a dit Galluzzo à propos d’Alinsky, qui est mort peu après que Galluzzo s’est rendu à Chicago pour un pèlerinage afin de le rencontrer en 1972. Je suis son meilleur disciple ».

Galluzzo était l’un des trois hommes qui ont enseigné à Obama l’organisation communautaire.

Après Chicago, Obama est parti faire ses études à Harvard. Mais, comme le note Lizza, Obama « a gardé un pied dans le monde de l’organisation ». Obama s’est rendu à Los Angeles pour suivre un cours de formation dispensé par l’IAF. Lizza a écrit qu’après Harvard, Obama est retourné à Chicago où « il a siégé aux conseils d’administration du Woods Fund et de la Joyce Fondation, qui accordent également des subventions à des groupes de type Alinsky, et a continué d’enseigner l’organisation d’ateliers ».

Après avoir fréquenté l’université de Chicago, Obama s’est lancé dans la politique de l’Illinois, d’abord en tant que sénateur d’État en 1996, puis pendant huit ans au Sénat des États-Unis. En 12 ans seulement, Obama est passé du statut de politicien d’État peu connu à celui de président des États-Unis d’Amérique. Peu de politiciens gravissent aussi rapidement les échelons de la politique.

Tout au long de la carrière politique d’Obama, presque personne n’a parlé de ces influences néfastes sur sa jeunesse, de sa dernière rencontre avec Frank Davis qui a fait trembler la terre sous ses pieds, de son séjour à Occidental à Pasadena, de son nouveau sens du but, de la solidification de son programme racial et de sa transformation en révolutionnaire. Ils ont négligé la façon dont ces facteurs ont influencé la vision que Barack Obama a de cette nation. Et ils n’ont pas réussi à faire le lien entre ces faits et sa déclaration lors d’un rassemblement le 30 octobre 2008, juste avant l’élection présidentielle de 2008 : « Nous sommes à cinq jours d’une transformation fondamentale des États-Unis d’Amérique. »

Barack Obama voulait transformer fondamentalement la nation parce qu’il était en désaccord avec ses principes fondateurs. Il pensait que la Constitution avait été créée par de riches Blancs pour de riches Blancs et que les Blancs avaient volé tous les autres. Il était profondément sympathique à une idéologie qui s’oppose directement, et même violemment, au gouvernement constitutionnel de l’Amérique : le communisme.

Transformation fondamentale

En tant que président, M. Obama a poursuivi avec passion son ambition de transformer l’Amérique. Et il y a trouvé un formidable succès.

Commençons par un exemple. Beaucoup de gens ont dit que l’élection (et la réélection) d’un homme noir au poste le plus puissant du monde résoudrait les problèmes raciaux de notre nation. C’est le contraire qui s’est produit. C’est parce que Barack Obama a activement fomenté ces problèmes.

Le président Obama a fait à plusieurs reprises des remarques publiques sur des questions à caractère racial, remarques qui ont accru la méfiance des gens à l’égard de la police et érodé la confiance dans le système judiciaire. Il a dit des choses qui étaient manifestement fausses mais qui ont bien joué auprès des radicaux racistes.2

À un moment donné, Obama a déclaré que le racisme faisait partie de l’ADN de l’Amérique. Cela signifie que la nation est irrémédiablement raciste. Une telle accusation sans fondement est satanique au plus haut point ! Satan utilise la race comme une arme pour diviser les gens. Dieu ne considère aucune race comme supérieure ou inférieure à une autre ; il a créé toutes les races et réserve un potentiel transcendant à tous les peuples !

Dans l’Amérique post-Obama, les médias grand public et les démocrates radicaux ne cessent de dire que les républicains et les Américains ordinaires sont racistes. Dans presque tous les cas, ils mentent et ils savent qu’ils mentent. Les radicaux encouragent le racisme à l’égard des Blancs, en apprenant aux élèves blancs—même aux enfants des écoles primaires—à penser qu’ils sont inférieurs aux Noirs, aux Hispaniques et à toute personne de couleur. Nous entendons fréquemment des remarques racistes à la télévision et à la radio. Un commentateur noir de la télévision sur NBC a dit : « Ce n’est pas un pays pour les jeunes hommes noirs ! » Ces remarques laides et racistes remplissent le pays de haine et de division qui mèneront à la violence et à la guerre raciale. Ces commentateurs sont soit ignorants de ce qu’ils font, ou ils veulent une guerre raciale. C’est certainement le cas de certains extrémistes. La prophétie biblique nous dit qu’ils vont en avoir une.

Ce n’est qu’un exemple de la façon dont Barack Obama a transformé l’Amérique. Il y en a beaucoup d’autres.

L’administration Obama a frauduleusement fait adopter l’Affordable Care Act [Loi sur les soins abordables], un texte de loi destructeur qui a augmenté la dette nationale et a fait de l’Amérique un État socialiste. Elle a permis à l’Internal Revenue Service (IRS—Service du revenu interne) de cibler illégalement des groupes conservateurs par le biais d’audits, de saisies de comptes bancaires, de surveillances et d’autres formes de harcèlement. C’est l’une des nombreuses façons dont, sous Obama, les institutions fédérales ont été politisées et militarisées. Les chapitres suivants de ce livre détaillent comment ce processus dangereux a été particulièrement flagrant avec le Federal Bureau of Investigation (FBI—Bureau fédéral d’enquête), la Central Intelligence Agency (CIA—Agence centrale de renseignement) et d’autres agences de renseignement. Le président Obama a utilisé ces institutions fédérales et d’autres pour espionner les sénateurs et les représentants américains, les journalistes, les campagnes politiques et des millions d’Américains ordinaires. Ces actions ont sérieusement érodé l’état de droit, sapé les protections constitutionnelles du peuple américain et poussé le pays de façon spectaculaire vers la tyrannie.

L’administration Obama a opéré des « changements fondamentaux » tout aussi importants dans la politique étrangère des États-Unis. En 2009, le président Obama s’est rendu au Caire et a prononcé un discours visant à se réconcilier avec l’Iran. Il a déclaré que personne n’avait le droit de refuser des armes nucléaires à cette nation qui soutient le terrorisme. Ce discours a été perçu comme de la provocation, et l’administration Obama a soutenu, un soulèvement populaire islamiste contre le président égyptien Hosni Moubarak (un bon ami d’Israël), qui a porté les Frères musulmans au pouvoir. Ensuite, son gouvernement a ignoré la révolte populaire en Iran, renforçant les mollahs radicaux dans la première nation commanditaire du terrorisme dans le monde. Il a ensuite négocié un accord nucléaire grotesque avec les dirigeants iraniens, libérant les espions iraniens, inondant l’Iran d’argent et fournissant une bouée de sauvetage pour les activités nucléaires en cours. Et lorsqu’une foule djihadiste a attaqué l’ambassade américaine à Benghazi, en Libye, le jour de l’anniversaire du 11 septembre 2012, et que les terroristes ont tué un ambassadeur et trois autres Américains, les responsables d’Obama ont honteusement dit à notre peuple de se retirer. Ils ont ensuite essayé de détourner le blâme des tueurs et se sont excusés pour l’Amérique qui aurait provoqué l’attaque.3

À plusieurs reprises, Obama a insulté la Grande-Bretagne et fait preuve d’hostilité envers l’État juif. Pourtant, il a rétabli les liens diplomatiques avec Cuba, sauvant ainsi son gouvernement communiste et donnant à de puissants ennemis un moyen de faire pression et de menacer l’Amérique à moins de 160 kilomètres de distance. Il a soutenu avec enthousiasme des organisations internationales comme l’Organisation mondiale de la santé corrompue et les Nations unies anti-israéliennes et anti-américaines. Il a participé avec enthousiasme aux accords de Paris sur le climat, qui ont étranglé l’industrie et l’économie américaines.

De telles actions pernicieuses ont caractérisé tout ce que Barack Obama a fait en tant que président. Nous allons étudier plus en profondeur plusieurs d’entre elles dans ce livre. Ce sont les actions d’un homme et de sa cabale qui ont « transformé fondamentalement » une nation qu’il considérait comme fondamentalement mauvaise.

Pourtant, la vérité est que Barack Obama a été utilisé comme un outil par un être spirituel ayant une haine bien plus grande de l’Amérique.

La plupart des gens ne veulent pas en parler, mais c’est la vérité, et seule la vérité nous rendra libres (Jean 8 : 32).

Antiochos

La plupart des gens disent qu’ils croient la Bible. Je voudrais que vous réfléchissiez à l’exemple rapporté dans 1 Samuel 16 : 14 et 19 : 9-10 du roi d’Israël Saül, qui, troublé par un esprit mauvais, a essayé de tuer l’homme que Dieu avait choisi pour le remplacer.

Croyez-vous qu’il est possible qu’un esprit mauvais puisse influencer le roi d’Israël ? C’est arrivé plusieurs fois.

L’apôtre Paul a fait une déclaration profonde dans 2 Corinthiens 2 : 11. Il a dit que nous ferions mieux de ne pas ignorer les manœuvres du diable, sinon nous deviendrons ses victimes.

Le diable est réel. Le diable est vivant ! Les gens se moquent, mais ils ne le feront pas longtemps. Ils réaliseront bientôt à quel point ils étaient ignorants des dispositifs et des ruses de Satan.

De nombreux passages bibliques historiques et prophétiques montrent comment Satan agit par l’intermédiaire d’êtres humains, en particulier d’hommes en position de pouvoir. Un exemple étonnant et détaillé apparaît dans le huitième chapitre du livre de Daniel.

La prophétie de Daniel est spécifiquement pour ce temps de la fin—et pour aucun autre temps (Daniel 12 : 4, 9). La dernière partie de Daniel 8 : 17 dit : « Comprends, fils d’homme, car la vision est pour le temps de la fin » (version Darby). Au verset 26, Dieu dit à Daniel de sceller la vision, « car elle se rapporte à un avenir lointain » (traduction selon la Moffatt). Bon nombre des événements décrits dans ce chapitre se sont accomplis comme une préfiguration dans les siècles qui ont suivi le récit de Daniel, en 550 av. J.-C. Cependant, même ces événements indiquent l’accomplissement principal de cette prophétie, qui se produit au temps de la fin, dans les dernières années de l’ère de l’homme, juste avant la Seconde venue de Jésus-Christ.

Le verset 9 commence par la prophétie d’une « petite corne » issue de l’une des quatre divisions de l’Empire grec. Pratiquement tous les commentaires s’accordent à dire qu’il s’agit d’une prophétie relative à Antiochos IV Épiphane, un roi séleucide trompeur et méchant qui a obtenu le pouvoir en Palestine en 176 av. J.-C. par la tromperie et la flatterie.

Alors que les peuples des autres régions étaient autorisés à conserver leurs religions, Antiochos a détruit avec fureur de nombreux hommes, femmes et enfants juifs, et a tenté de détruire la foi juive elle-même. Il pilla le temple, y installa un autel païen et une idole à son effigie, assassina ou réduisit en esclavage des dizaines de milliers de Juifs à Jérusalem, et brûla et démolit une grande partie de la ville.

Cet homme était manifestement fortement influencé, sinon possédé, par le diable, qui l’a utilisé à des fins destructrices choquantes. Nous étudierons plus en détail cet exemple historique plus tard dans le livre.

Les commentaires reconnaissent que la prophétie de Daniel s’est accomplie au deuxième siècle av. J.-C. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que la prophétie de la « petite corne » s’est également accomplie au temps de la fin, ce qui est très important. Encore une fois, la prophétie de Daniel concerne le temps de la fin—notre époque aujourd’hui.

L’accomplissement de cette prophétie au temps de la fin est détaillé et significatif, et je l’explique dans mes brochures Daniel—enfin descellé ! et Daniel révèle l’Apocalypse (demandez vos exemplaires gratuits). Cette prophétie parle en fin de compte d’un dirigeant en Europe qui unira un empire européen terrifiant qui attaquera l’Amérique et les autres nations modernes d’Israël.

Ce que je vais vous montrer dans ce livre, cependant, c’est la preuve que l’Amérique a été dirigée de l’intérieur par un autre type d’Antiochos. Pendant huit ans, cet homme a utilisé la tromperie et la flatterie pour saboter la nation depuis le sommet de notre propre gouvernement ! Je réalise que c’est une affirmation explosive, mais les preuves sont abondantes. La prophétie de Daniel fournit un aperçu extraordinaire de la crise politique de notre nation.

J’ai mis en garde contre M. Obama et ses ambitions antiaméricaines bien avant qu’il ne devienne président en 2008. Pendant sa présidence, j’ai expliqué qu’il était un type d’Antiochos qui cherchait la destruction de notre république constitutionnelle. C’était le thème principal de ma brochure de 2013, beaucoup plus modeste, L’Amérique sous attaque.

Lorsque M. Obama a quitté la Maison-Blanche en janvier 2017, certains ont dit que c’était une prophétie ratée. Il n’était plus président, et il semblait avoir peu d’influence sur la politique américaine, d’autant plus que son successeur a essayé de défaire une grande partie de son travail. Mais comme vous le lirez dans ce livre, la vérité, c’est que cet Antiochos n’a jamais quitté la scène politique. Même après avoir quitté la Maison-Blanche, il a continué à travailler sur son programme. Et il n’a jamais cessé d’essayer de saper l’Amérique.

Barack Obama est arrivé comme un « ange de lumière », et des millions d’Américains l’ont cru et le croient encore. Mais en tant que président, a-t-il été le gardien des « institutions et traditions démocratiques de l’Amérique, comme la primauté du droit » ? A-t-il laissé les « instruments de notre démocratie au moins aussi forts qu’il les a trouvés » ?

Il a fait exactement le contraire. Concentrez-vous sur ses actions. Regardez ses fruits. N’importe qui devrait être capable de voir au-delà de l’artifice « angélique » et de reconnaître la véritable puissance à l’œuvre.

Lire le chapitre suivant : La loi sous attaque.


  1. Vous trouverez plus d’informations sur le vol électoral, de 2020, au chapitre 7.↩︎ 


  2. Vous pouvez lire ces exemples au chapitre 5 de ma brochure gratuite « Great Again » [Grande à nouveau ; disponible en anglais seulement]. Cette brochure est un bon complément à ce livre. ↩︎ 


  3. Nous reviendrons sur ces désastres en matière de politique étrangère aux chapitres 5 et 8. ↩︎