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« C'est ma liberté » : les anti-passe déposent la pétition au million de signatures à l'Assemblée

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Ils étaient venus répondre à Macron sous les fenêtres de l'Assemblée nationale. Les signataires d’une pétition demandant l’arrêt du projet du passe vaccinal se sont réunis sur la petite place qui borde la brasserie Le Bourbon, la cantine feutrée des parlementaires, ce mercredi 5 janvier. L’initiateur du texte, Rodolphe Bacquet, leur avait donné rendez-vous pour déposer la pétition aux parlementaires et tenter de contraindre le gouvernement à renoncer. Si sur Internet, cette pétition revendique près d’1,2 million de signatures devant le Palais Bourbon, ils n’étaient qu’une petite centaine. Presque qu'autant que les très nombreux policiers déployés autour de l'Assemblée.

Parmi ces manifestants aux profils très divers, des habitués des rassemblements contre la politique sanitaire du gouvernement, des Gilets jaunes et aussi des non-vaccinés scandalisés par la sortie d’Emmanuel Macron dans Le Parisien. En retrait, Tamara, la cinquantaine, confie posément sa crainte du vaccin. « Ma fille est médecin, toute ma famille est vaccinée mais moi j'ai des doutes. C'est ma liberté, c'est mon corps », glisse-t-elleSes bottes blanches luxueuses et ses boucles d'oreilles serties d'émeraudes lui donnent l'allure d'une dame du quartier, c'est sa première manifestation. « Macron sait très bien ce qu'il fait. C'est un acte politique pour cliver les gens, il crée l'anarchie », estime cette Franco-Russe qui confie ressentir une vraie perte de liberté. Elle rapproche même ces restrictions sanitaires de la répression de l'URSS qu'elle a connue dans sa jeunesse. Rien que ça.

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la Trompette dit...

Dans notre article « Le Coronavirus et le Saint-Empire romain » par le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, nous avons averti que les mesures prises contre le Covid-19 ne concernent pas vraiment la santé, mais servent plutôt à ouvrir la porte à une forme de gouvernement de plus en plus dictatoriale, renforçant ainsi le pouvoir des dirigeants sur le peuple. Nous avons écrit :

Les dirigeants européens se comportent de plus en plus comme des dictateurs et assument un pouvoir dictatorial. Les citoyens européens sont conditionnés pour accepter une direction plus tyrannique. Pourtant, ces hommes forts qui montent ne sont pas encore unis comme la Bible dit qu’ils le seront. Le Saint-Empire romain germanique manque encore son chef suprême.