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Il avait raison : ‘Nous avons gagné notre dernière guerre’

JOHN MOORE/GETTY IMAGES

Il avait raison : ‘Nous avons gagné notre dernière guerre’

Soixante-dix ans plus tard, la prophétie d'Herbert W. Armstrong s'est réalisée, les médias se faisant désormais l'écho de ses propos presque mot pour mot.

Les sombres images en provenance d'Afghanistan ont relancé le débat : pourquoi l'Amérique perd-elle sans cesse des guerres ? Comment la plus grande superpuissance du monde—la force la plus lourdement armée, la mieux financée et la plus avancée sur le plan technologique de l' histoire de l'humanité—peut-elle perdre aussi systématiquement ? C'est quelque chose que le président des États-Unis Donald Trump a déploré lorsqu'il était en fonction. En février 2018, il déclara : « Quand j'étais jeune, au lycée et à l'université, tout le monde disait que nous ne perdions jamais une guerre. Maintenant, nous ne gagnons jamais une guerre. »

Il y a une raison pour laquelle cela arrive à la seule superpuissance du monde.

Peu après la victoire des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale, notre prédécesseur, le rédacteur en chef de le revue The Plain Truth [La pure vérité], Herbert W. Armstrong, prophétisa audacieusement que l'Amérique avait gagné sa dernière guerre. Il l'affirma pendant la guerre de Corée et le réaffirma au début de la guerre du Vietnam. En 1961, M. Armstrong écrivit : « À moins ou jusqu'à ce que les États-Unis dans leur ensemble ne se repentent et ne reviennent à ce qui n’est devenu qu’un slogan creux sur leurs dollars : ‘En Dieu nous avons confiance’, les États-Unis d'Amérique ont gagné leur dernière guerre ! J'ai dit cela lorsque nous n'avons pas réussi à gagner en Corée ! L'avertissement est écrit sur votre mur ! »

Déclarer que l'Amérique avait gagné sa dernière guerre, sur la base de la prophétie biblique, juste après le succès triomphal de la Seconde Guerre mondiale, était une prédiction tout à fait audacieuse—une prédiction qui aurait sans aucun doute suscité le ridicule. Mais la vision rétrospective est 20-20, et les médias d'information et les analystes d'aujourd'hui ont confirmé plutôt dramatiquement la prophétie de M. Armstrong, presque mot pour mot—seulement des décennies trop tard.

Considérez ces récents titres et extraits d'articles.

« Pourquoi les États-Unis ne gagnent-ils plus de guerre ? » (Big Think, 31 août)

Depuis 1945, les États-Unis se sont imposés comme la superpuissance inégalée [...] et l'expérience américaine des conflits a été une histoire de frustration et de défaite. [N]ous devrions nous préparer à de nouveaux revers sur le champ de bataille. L'âge sombre de la guerre américaine semble devoir se prolonger.

« Pourquoi les États-Unis ne gagnent plus les guerres » (El Pais, 4 août)

Après 1945, les États-Unis sont devenus une superpuissance, et la chute de l’Union soviétique les laissera plus tard comme le seul leader mondial restant, mais ils ont fondamentalement cessé de gagner des guerres.

« Quitter l'Afghanistan et pourquoi l'Amérique ne gagne pas les guerres » (Strategist, 21 avril)

Depuis la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont perdu à peu près toutes les guerres qu'ils ont menées dans un pays en développement.

« Pourquoi l'armée la plus meurtrière de l'histoire ne peut-elle pas gagner ses guerres ? » (Daily Beast, 14 juillet 2019)

Les États-Unis financent leur armée à hauteur de 650 milliards de dollars par an, soit plus que les dépenses des sept nations suivantes réunies. Alors pourquoi n'avons-nous pas plus de résultats ? [...] Pourquoi l'institution militaire la plus meurtrière de l'histoire ne peut-elle pas gagner ses guerres ? Le bilan de l'armée depuis la victoire qui a changé le monde en 1945 est, en un mot, décevant.

« Pourquoi l'Amérique ne peut pas gagner de guerre » (Asia Times, 1er février 2019).

À Washington, l'armée américaine est régulièrement présentée comme la mieux équipée, la mieux entraînée, la plus meurtrière, et même la plus grande force jamais déployée. Cependant, son bilan de guerre lamentable depuis 1945 suggère le contraire. [...] Les États-Unis, semble-t-il, ne savent plus comment gagner des guerres.

« La dernière fois que les États-Unis ont gagné un conflit de manière décisive, l'électronique mondiale fonctionnait avec des tubes à vide », écrit l'auteur et penseur Sean McFate […] « Au cours des 70 dernières années, une tendance inquiétante a émergé : l'Occident a oublié comment gagner des guerres. »

« Pourquoi l'Amérique ne gagne plus de guerres » (Vox, 23 août 2018).

Jusqu'en 1945, les États-Unis ont gagné pratiquement toutes les grandes guerres qu'ils ont menées. [...] Depuis 1945, les États-Unis ont très rarement remporté une victoire significative.

« Pourquoi la meilleure armée du monde ne peut-elle pas gagner ses guerres ? » (Le Monde, 6 mai 2018)

Au Vietnam, comme dans les guerres américaines suivantes, les États-Unis et leurs alliés locaux disposaient d’avantages stupéfiants dans toutes les mesures conventionnelles de la force militaire, mais n'ont pas réussi à gagner. [...] Neuf dixièmes du chemin vers l'année 2020, les soldats américains, avec toute leur puissance de feu et leur technologie, n'ont pas atteint un niveau proche de la domination totale sur les champs de bataille où ils ont été engagés. Ils n'ont pas dominé les combattants mal armés. Ni les insurgés qui posent des engins explosifs de faible technologie et à faible coût […]

« Pourquoi l'Amérique perd toutes les guerres qu'elle commence » (Observer, 15 novembre 2017).

La plupart des Américains pensent à juste titre que l'armée américaine est la meilleure et la plus redoutable du monde. Si cela est vrai, pourquoi, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont-ils perdu toutes les guerres qu'ils ont déclenchées et échouées chaque fois qu'ils ont utilisé la force sans raison valable ?

« Admettez-le—l'Amérique ne ‘gagne’ pas beaucoup de guerres » (Medium, 29 septembre 2016).

Au cours des années [depuis le 11 septembre], l'armée américaine a participé à neuf conflits, selon une réunion préparatoire de 2015 produit par le Commandement des opérations spéciales des États-Unis, ou SOCOM […] Le bilan de la plus grande force de combat de l'histoire du monde, selon SOCOM—zéro victoire, deux défaites et sept matchs nuls.

« Pourquoi l'Amérique ne peut-elle pas gagner ses guerres ? » (Hoover Institution, 10 mars 2016).

Pourquoi l'Amérique ne peut-elle pas gagner ses guerres aujourd'hui ? Dans leur adulation des réalisations de la plus grande génération, les Américains ont oublié pourquoi la Seconde Guerre mondiale s'est si bien terminée.

« Pourquoi l'Amérique a-t-elle cessé de gagner des guerres ? » (Atlantic, 2 juin 2015)

« Les Américains jouent pour gagner tout le temps », a déclaré [le général George] Patton [en 1944]. « C'est pourquoi les Américains n'ont jamais perdu et ne perdront jamais une guerre, car l'idée même de perdre est détestable pour un Américain. » Et puis, tout d'un coup, les États-Unis ont cessé de gagner des guerres majeures. L'âge d'or s'est évanoui dans le passé, et un nouvel âge sombre de la guerre américaine a émergé. Depuis 1945, les Américains n'ont guère connu que la frustration militaire, l'impasse et la perte.

Pourquoi les États-Unis sont-ils incapables de gagner sur le champ de bataille ?

« Pourquoi l'Amérique ne peut-elle pas gagner une guerre ces jours-ci ? » (Foreign Policy, 18 mars 2013)

Avec le 10e anniversaire de l'invasion de l'Irak cette semaine, il semble utile de réfléchir au fait que, malgré leurs avantages militaires évidents sur tous les pays de la planète, les États-Unis ne semblent plus particulièrement doués pour gagner des guerres.

Ce ne sont là que quelques exemples de ce qui devient un aveu de plus en plus courant : l'Amérique, la plus grande superpuissance du monde, a, depuis la Seconde Guerre mondiale, constamment perdu. La plupart des articles ci-dessus tentent d'expliquer pourquoi. Et certains d'entre eux présentent la guerre du Golfe de 1991 comme une victoire limitée parmi les pertes. Après la mort de M. Armstrong en 1986, même son propre successeur, Joseph Tkach, a écrit en mars 1991 que « nous avions tort » au sujet de ces défaites prophétiques.

Pourtant, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, contesta cette hypothèse à l'époque. « La vérité c'est que nous avons gagné une bataille au Koweït. Nous n'avons pas gagné une guerre », écrivit-il en février 1991. « Le travail n’a pas été terminé. Sadam Hussein est toujours au pouvoir—même plus fort d’une certaine manière—et il a fait de l’Irak un champ de cadavres. Ceci va probablement embarrasser et hanter le président Bush et l’Amérique pour le reste de nos vies ! » Il a particulièrement souligné l'abandon honteux par les Américains des Kurdes et des chiites qui avaient été encouragés à se soulever contre Saddam Hussein, le qualifiant de « la plus grande trahison dans l’histoire américaine » et « un des événements les plus honteux de l’histoire de notre nation ! »

Des années plus tard, l'Amérique est finalement retournée à ses affaires inachevées en Irak—ce qui a conduit à une guerre catastrophique, largement critiquée, qui s'est soldée par une défaite générale et la transformation de l'Irak en un mandataire iranien.

En 2019, le Daily Beast écrivit : « [D]e nombreux historiens considèrent aujourd'hui la guerre du Golfe non pas comme la grande victoire qu'elle semblait être en 1991, mais plutôt comme la première campagne d'une longue et finalement ingagnable guerre civile en Irak, qui n'a jamais vraiment pris fin » (c'est nous qui soulignons).

De même, dans « Les guerres ne peuvent-elles plus être gagnées ? » la Conversation écrit : « [L]a guerre du Golfe de 1991 a sans doute créé plus de problèmes qu'elle n'en a résolus. »

M. Flurry, comme M. Armstrong, avait raison. Comment ont-ils pu faire des prédictions aussi audacieuses ?

Divers articles spéculent sur des théories expliquant la raison pour laquelle les États-Unis ont fait face à une défaite continuelle depuis la Seconde Guerre mondiale spécifiquement. Bien sûr, aucun d'entre eux ne parvient à la raison bibliquement fondée fournie par M. Armstrong. Et par la même occasion, aucun d'entre eux n'a été capable de prédire ces pertes, des décennies à l'avance. (Ceci n'est que l'une des nombreuses prophéties anticipées faites par M. Armstrong—les autres incluent la formation de l'Union européenne, le Brexit, et le fait que la guerre froide ne deviendrait pas chaude, pour n'en citer que quelques-unes).

La clé vitale est de comprendre l'identité des peuples américains et britanniques dans la prophétie biblique, ce que M. Armstrong démontra dans son livre le plus largement distribué Les Anglo-Saxons selon la prophétie (demandez une copie gratuite ici). Liée à cette identité scripturale est une prophétie dans Lévitique 26, qui avertit qu'en raison de la désobéissance et du déclin moral, Dieu « enverra sur vous la terreur » et « brisera l'orgueil de votre force » (versets 16, 26).

Comme l’Atlantic le souligna très justement en 2015 : « La force matérielle de l'Amérique a une autre malédiction. [...] C'est une guerre limitée pour les Américains, et une guerre totale pour ceux qui combattent les Américains. Les États-Unis ont plus de puissance ; leurs ennemis ont plus de volonté. » C'est comme le décrit Lévitique 26 : l'Amérique a bien de la puissance—mais avec elle, une volonté maudite et évidée de l'utiliser.

Il est de plus en plus évident que l'Amérique et la Grande-Bretagne se sont éloignées de Dieu. C'est ce qui apparut clairement à M. Armstrong juste après la Seconde Guerre mondiale. (Pour une vue d'ensemble de l'état de la nation, lisez We Are a Righteous People [Nous sommes un peuple juste] »). L'Amérique n'est certainement pas un pays qui se tourne vers Dieu ou qui travaille pour devenir plus moral et « juste ». C'est tout le contraire : une nation qui travaille activement à bannir Dieu des écoles, des foyers, des vies. C'est un pays qui se désagrège clairement aux coutures. Même John Adams eut la lucidité de voir que cela allait arriver. Il écrivit en 1798 : « Notre Constitution a été faite uniquement pour un peuple moral et religieux. Elle est totalement inadaptée au gouvernement de tout autre peuple. »

Le désastre catastrophique qu'est l'Afghanistan est donc le tout dernier en date d'une longue série de malédictions nationales sur l'Amérique qui se poursuivent depuis notre dernière victoire divine en 1945.

La défaite en Afghanistan n'a donc pas été une surprise pour la Trompette. L'avertissement était écrit sur le mur. Nous prophétisâmes la défaite immédiatement après le 11 septembre—au même moment où des organisations comme le magazine Time prédisaient triomphalement « les derniers jours des talibans ». Même jusqu'à la fin de juillet de cette année, Foreign Policy écrivit : « Arrêtez de supposer que les talibans vont gagner. »

Qui s'est avéré exact ? « [A]insi parle l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël : ne vous laissez pas tromper par vos prophètes qui sont au milieu de vous, et par vos devins, n’écoutez pas vos songeurs dont vous provoquez les songes ! Car c’est le mensonge qu’ils vous prophétisent en mon nom. Je ne les ai point envoyés, dit l’Éternel (Jérémie 29 : 8-9).

Les médias d'information modernes sont, bien sûr, limités à rapporter avec précision des événements qui se sont déjà produits (et même alors, leur exactitude est souvent douteuse). À la Trompette, en suivant M. Armstrong, notre devise est « Les nouvelles de demain aujourd'hui », basées sur « la parole prophétique certaine » (2 Pierre 1 : 19). Et ce travail de prophétie est mandaté par la promesse de Dieu dans Amos 3 : 7-8 : « Car le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien sans avoir révélé son secret a ses serviteurs les prophètes. [...] le Seigneur, l’Éternel, parle : qui ne prophétiserait ? »

Une Amérique assiégée, humiliée et constamment vaincue n'a pas été sans avertissement d'un Dieu miséricordieux qui crie à Son peuple : « Je suis vivant ! dit le Seigneur, l’Éternel, ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie ; et pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël ? » (Ézéchiel 33 : 11).

Comme nous l'avons écrit dans Il avait raison  : « Il est maintenant clair que la volonté brisée de nos nations ne se réveillera pas à ces menaces encore plus imminentes. Mais vous, en tant qu'individu, le pouvez encore. »

Pour une étude plus approfondie de ce sujet, demandez un exemplaire gratuit de Il avait raison et Les Anglo-Saxons selon la prophétie. Et pour en savoir plus sur l'avenir prophétique et plein d'espoir de l'Amérique—un avenir avec une promesse de victoires—demandez la brochure gratuite de M. Flurry, Great Again [Grande à nouveau—disponible uniquement en anglais].

Fr Hwr