Recevez gratuitement notre bulletin électronique.

L’immigration ou la République, faut-il choisir ?

«

En réalité, il ne faut pas parler de l’immigration, mais des immigrations. Accueillir sur notre sol des disciples de Confucius n’est pas la même chose qu’accueillir des disciples d’Al Qaradawi. Hélas, les flux migratoires actuels se composent nettement plus des seconds que des premiers—gardons néanmoins à l’esprit que certaines immigrations ne posent aucun problème.

Ensuite, la République ici évoquée n’est pas juste un régime politique, sans grand intérêt dès qu’on lui adjoint des adjectifs comme « islamique » ou « populaire », mais la République française, ce qui est radicalement différent. Enfin, le sujet n’est pas ici d’analyser la manière dont certains ne parlent de la République que pour ne surtout pas parler de la France, mais de souligner le fait qu’ils trahissent sans cesse dans leurs actes ce qu’ils prétendent défendre dans leurs paroles.

Car enfin ! Comment peut-on sérieusement se dire « républicain » lorsque pendant des décennies on a encouragé activement l’importation massive d’antisémites, de fanatiques religieux et de misogynes via une immigration débridée ? Bien évidemment, tous les nouveaux venus ne sont pas antisémites, ni fanatiques, ni misogynes, même lorsque leurs cultures d’origine le sont. Mais on sait que dans leur majorité ceux qui arrivent en France depuis une quarantaine d’années perpétuent les travers de cultures dans lesquelles l’antisémitisme, par exemple, est totalement banalisé, voire valorisé—Georges Bensoussan a payé au prix fort le droit pour nous tous de le dire. Et on peut faire le même constat, pour les mêmes raisons, au sujet du refus de reconnaître l’égalité des droits civiques entre femmes et hommes, ou du rapport entre la religion et la politique, avec la liberté de conscience et la liberté d’expression, le droit à l’apostasie, le droit au blasphème.

»
la Trompette dit...

De plus en plus de gens se sentent que l’identité européenne est menacée par l’immigration incontrôlée, et veulent que leurs dirigeants protègent cette identité. C’est un sentiment qui va en fin de compte ouvrir le chemin à une nouvelle forme de gouvernement. Dans « Le Saint Empire romain s’expose au public—en grand ! » le rédacteur en chef de La Trompette a écrit :

Une tendance que vous devriez surveiller de près se développe en Europe. Les Européens sont assiégés par des immigrants du Moyen-Orient, de plus en plus de populations musulmanes au sein de leurs paysages urbains, remplis de mosquées et de minarets, de quartier de leurs villes se transformant en des enclaves musulmanes où la police locale n'ose plus entrer, même des attentats terroristes islamiques. …

La prophétie biblique indique clairement : Bientôt, les Européens obtiendront exactement ce qu'ils recherchent, un autre dirigeant, un type de Charlemagne. Cet homme viendra au pouvoir et s'imposera comme un homme fort sur toute l'Europe. Il détournera effectivement l'Union européenne !