L’italien Eni se plie aux exigences de Moscou pour payer le gaz russe
Le géant énergétique italien Eni a annoncé mardi (17 mai) son intention d’ouvrir un compte en euros et un autre en roubles auprès de Gazprombank afin d’honorer ses paiements de fourniture de gaz russe dus « dans les prochains jours », se pliant ainsi aux exigences de Moscou.
« L’obligation de paiement peut être remplie par le transfert d’euros » et la nouvelle procédure « ne devrait pas être incompatible avec les sanctions existantes » à l’égard de Moscou imposées par la Commission européenne, assure Eni dans un communiqué.
Le groupe italien, contrôlé à 30,3% par l’Etat, semble ainsi prendre le contrepied des recommandations de la Commission européenne, selon laquelle l’ouverture d’un compte en roubles constituerait une violation des sanctions et entraînerait des procédures d’infraction de la part de Bruxelles.
Pourquoi l’Europe ne prend pas plus de mesures pour arrêter la guerre de Vladimir Poutine ? Est-ce qu’il s’agit de la faiblesse tout simplement, ou plutôt d’une politique intentionnelle ? Pour tout comprendre, il faut regarder l’Allemagne, ainsi que la source des prévisions de la Trompette, la prophétie biblique.
Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, explique depuis des années que l’Allemagne, la nation la plus puissante de l’Europe, travaille avec la Russie en temps de paix. Mais « l'histoire montre que l'Allemagne et la Russie ne sont pas réellement des partenaires, a-t-il écrit. Quand ils concluent des accords de paix et des partenariats économiques, c'est un signal que l'un ou l'autre ou les deux se préparent à une sorte d'exploit impérialiste. »
On voit maintenant l’un de ces exploits. Pourtant, la guerre en Ukraine n’est que le commencement ; la Bible avertit que ces deux nations seront deux des plus grandes puissances dans la Troisième Guerre mondiale. Pour comprendre comment le comportement parfois déroutant de l’Europe vis-à-vis de la Russie mène à l’accomplissement de cette prophétie, on vous propose l’article « La Russie et l'Allemagne : complices dans le crime ».