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Les émeutes après Belgique-Maroc sont le symbole de l’échec de l’intégration

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Nous aurions préféré en rester aux considérations sportives et conclure que la génération dorée des Diables rouges, emmenée par Kevin De Bruyne, Eden Hazard et Thibaut Courtois, vivait probablement ses dernières heures après avoir tant fait espérer le pays.

Pourtant, la rencontre de Coupe du Monde opposant la Belgique au Maroc, qualifiée de “derby” par Nordin Jbari, éphémère joueur de l’équipe nationale belge reconverti en consultant, a accouché de violentes émeutes, à Bruxelles dans le centre-ville, mais aussi à Liège où un commissariat a été pris d’assaut. A Borgerhout, district de la ville d’Anvers, un drapeau belge a été arraché à la fenêtre d’un habitant, devant une foule extatique : n’y a-t-il pas symbole plus criant d’une population immigrée qui ne s’est jamais intégrée au pays d’accueil ?

On ne pourra trouver d’excuses aux délinquants : la Belgique n’a jamais mis les pieds au Maroc, ne l’a pas colonisé et ne pourrait donc être tenue pour responsable d’une éventuelle rancoeur historique. Le plat pays est même particulièrement — en réalité trop — généreux envers les nouveaux venus qui bénéficient, sur son sol, d’une myriade d’aides et qui peuvent vivre comme à peu près bon leur semble.

Pendant une semaine, les médias n’avaient eu de cesse de présenter la rencontre sous le signe de la fraternité entre Belges et Marocains : il ne fallait pas être devin pour comprendre que leurs titres accrocheurs allaient mal vieillir. Leurs circonlocutions langagières au moment de relater les faits (voitures brûlées, dégradation du mobilier urbain, violences contre les forces de l’ordre…) auront été à l’avenant : il n’y aurait eu qu’une « minorité de casseurs » gâchant la fête des pacifiques supporters marocains et permettant aux populistes une « honteuse récupération ».

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la Trompette dit...

Beaucoup d’européens se méfient de plus en plus d’un taux d’immigration élevé à cause des défis à la fois sécuritaires et culturels que cela entraîne. À mesure que ces défis se généralisent et s’ajoutent aux autres crises, encore plus d’individus vont désirer un dirigeant plus fort et une politique migratoire plus sévère. Cela ouvrira le chemin au genre de dirigeant dont la Trompette met on garde depuis des décennies. Dans « Le Saint Empire romain s’expose au public—en grand ! » le rédacteur en chef de la Trompette a écrit :

Une tendance que vous devriez surveiller de près se développe en Europe. Les Européens sont assiégés par des immigrants du Moyen-Orient, de plus en plus de populations musulmanes au sein de leurs paysages urbains, remplis de mosquées et de minarets, de quartier de leurs villes se transformant en des enclaves musulmanes où la police locale n'ose plus entrer, même des attentats terroristes islamiques. …

La prophétie biblique indique clairement : bientôt, les Européens obtiendront exactement ce qu'ils demandent, un autre dirigeant, un type de Charlemagne. Cet homme viendra au pouvoir et s'imposera comme un homme fort sur toute l'Europe. Il détournera effectivement l'Union européenne !

Les crises que l’Europe traverse en ce moment finiront par aider l’ascension d’un tel dirigeant. Pour comprendre tous les détails de cette prévision, lisez Un dirigeant allemand fort est imminent, par Gerald Flurry.