Un autre juge agit à l'encontre de l'administration Trump, pourparlers entre Israël et la Syrie, Trump se rend au centre du Texas

Le chef des services de renseignement allemands a changé de poste pour devenir ambassadeur d'Allemagne au Vatican. Dans le monde obscur des intrigues, c'est une histoire qui attire l'attention.

Un juge fédéral a une nouvelle fois annulé la décision de l'administration Trump concernant la citoyenneté de naissance. L'arrêt s'applique à l'ensemble du pays – bien que la Cour suprême ait interdit aux juges de prononcer des injonctions à l'échelle nationale. Le juge Joseph Laplante a accordé à l'affaire le statut d'action collective. L'effet est identique à celui d'une injonction nationale. Cela signifie que toute personne née aux États-Unis a la citoyenneté, quelle que soit la situation migratoire de ses parents. La décision annule la décision du président Trump du 20 janvier qui refusait la citoyenneté aux bébés nés de parents sans citoyenneté ou sans résidence permanente légale.

La Cour suprême a limité le recours aux injonctions à l'échelle nationale dans un arrêt rendu le 27 juin (6 contre 3). À l'époque, Samuel Alito avait écrit une opinion concordante, avertissant que les juges essaieraient de contourner la décision. « Cette décision va déclencher un tsunami de recours collectifs destinés à réaliser ce que les injonctions nationales permettaient autrefois », a-t-il écrit, appelant les tribunaux à « respecter scrupuleusement » les règles entourant les recours collectifs, qui pourraient sinon devenir une « porte dérobée » pour les injonctions universelles.

« Le pouvoir judiciaire ne doit pas devenir un organe de décision politique enveloppé dans des formalités procédurales », a-t-il déclaré. « La réparation doit être adaptée aux parties devant le tribunal — et non à la nation dans son ensemble. »

La facilité avec laquelle cette affaire a été transformée en action collective suggère que cela deviendra le nouvel outil des juges de district pour ne pas tenir compte du président. La Cour pourrait être amenée à se prononcer à nouveau sur des questions plus générales concernant les recours collectifs.

Le soutien de la Cour suprême à Donald Trump réalise une prophétie biblique clé.

Israël a-t-il accepté la paix avec la Syrie ? Le président syrien Ahmed al-Charaa a tenu une réunion secrète avec le conseiller israélien à la sécurité nationale, Tzachi Hanegbi, a rapporté mercredi la chaîne d'information libanaise al-Mayadeen.

La Syrie renoncerait à ses revendications sur le plateau du Golan en échange de la reconnaissance du nouveau gouvernement par Israël. La Syrie créerait également trois « zones tampons » au sud du pays, où son armée serait limitée à la détention d'« armes légères ».

Nous avons écrit en début de semaine sur la tendance d'Israël à se rapprocher du nouveau régime en Syrie. Le gouvernement syrien dirigé par Charaa est principalement composé d'une faction djihadiste anciennement affiliée à Al-Qaïda ; nous avons conclu qu'il serait naïf de faire confiance à de telles personnalités. Pourtant, il semble que Charaa recherche activement le contact avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et son entourage, en offrant tant de concessions pour donner à Israël pratiquement tout ce qu'il pourrait désirer dans le cadre d'un accord de paix, alors il serait difficile pour Israël de refuser.

Cependant, la prophétie biblique prévient que la confiance d'Israël en la Syrie sera trahie. Le Psaume 83 : 7 mentionne les Hagaréniens, les anciens habitants de la Syrie moderne, dans le contexte d'une alliance du temps de la fin formée dans le but « qu'on ne se souvienne plus du nom d'Israël » (verset 4). Parmi les autres peuples mentionnés, tels que les Ismaélites, figurent les Émirats arabes unis et des pays arabes avec lesquels Israël entretient déjà des relations étroites. Grâce à ces accords de paix, Israël n'est pas seulement témoin de l'essor de l'alliance du Psaume 83 — il contribue également à la construire. L'article du rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, « Une faille mortelle dans les accords de paix au Moyen-Orient », explique plus en détails.

AUTRES NOUVELLES

Le président Trump s'est rendu vendredi dans le centre du Texas, où le nombre de morts s'élève à 120 et où 170 personnes sont toujours portées disparues.

Troubles au Pakistan : Des hommes armés ont assassiné neuf personnes lors d'un attentat contre deux autobus dans la région pakistanaise de Baloutchistan aujourd'hui. Les hommes armés ont ciblé des habitants de la province pakistanaise du Pendjab, traînant neuf d'entre eux au sol pour ensuite les assassiner. Les luttes incessantes du Pakistan contre le terrorisme, tant islamiste que séculier, en font la puissance nucléaire la plus vulnérable du monde. On se demande sérieusement ce qu'il adviendrait des armes nucléaires pakistanaises si les différentes insurgences prenaient suffisamment d'ampleur.

Le télescope spatial James Webb a fêté hier son troisième anniversaire. La NASA a publié une nouvelle image de la nébuleuse de la Patte de Chat pour marquer sa troisième année de fonctionnement. « Trois ans après le début de sa mission, le télescope Webb continue d'être à la hauteur de sa mission, révélant des aspects de l'univers jusque-là cachés, depuis le processus de formation des étoiles jusqu'aux galaxies les plus anciennes », a déclaré Shawn Domagal-Goldman, de la NASA. « En battant sans cesse ses propres records, Webb révèle également des choses inconnues auxquelles les nouvelles générations de missions phares devront s'attaquer. Les questions soulevées par Webb sont tout aussi passionnantes que les réponses qu'il nous apporte. La nouvelle image est une image appropriée, utilisant le détecteur proche infrarouge du satellite pour voir à travers la poussière qui a obscurci les images précédentes. Pour plus de contenus de la NASA, cliquez ici, y compris une vidéo qui vous guide à travers l'image.