«Vous ne pouvez pas dire que Balzac est un génie créateur, seul Allah l’est» : l'édifiant témoignage d'une enseignante face à la normalisation de l’idéologie islamiste à l’école
Elle sort du silence. Une note de service aux chefs d'établissements au sujet de l'interdiction de l'abaya et du qamis a été envoyé ce jeudi par le ministre de l’Education Gabriel Attal. A compter de cette rentrée des classes, il ne sera plus possible de porter cette longue robe traditionnelle, ainsi que sa version masculine, à l'école.
Une décision, qui n’a pas manqué de relancer le débat sur la laïcité. A gauche, on s’insurge contre une prescription «stigmatisante». A droite, on se réjouit d’une mesure qui aurait dû être appliquée bien plus tôt. Mais parmi le corps enseignant, le problème semble beaucoup plus profond.
Pour la plupart des gens, la laïcité est menacée par Islam. Mais en fin de compte, ce ne sera pas l’Islam qui mettra un terme à la laïcité ; ce sera le christianisme renaissant. Dans « Le Saint Empire romain s’expose au public—en grand ! » le rédacteur en chef de la Trompette souligne le conflit actuel entre l’Islam et les valeurs européennes traditionnelles. Il écrit :
Une tendance que vous devriez surveiller de près se développe en Europe. Les Européens sont assiégés par des immigrants du Moyen-Orient, de plus en plus de populations musulmanes au sein de leurs paysages urbains, remplis de mosquées et de minarets, de quartier de leurs villes se transformant en des enclaves musulmanes où la police locale n'ose plus entrer, même des attentats terroristes islamiques.
Et de plus en plus d'Européens recherchent des solutions dans leur propre histoire. Plus spécifiquement, leur histoire religieuse.
La Bible avertit qu’un homme fort à l’image de Charlemagne et un dirigeant spirituel au Vatican vont travailler ensemble pour ressusciter le Saint-Empire romain afin de faire face aux enjeux actuels, surtout la menace posée par l’Iran et l’islamisme radical. Pour tout comprendre, lisez L'Allemagne et le Saint Empire romain.