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Des villes de tentes apparaissent dans toute l'Amérique

PETER ZAY/ANADOLU AGENCY/GETTY IMAGES

Des villes de tentes apparaissent dans toute l'Amérique

Le problème des sans-abri et le chômage est prophétisé de devenir beaucoup plus grave.

Des campements de sans-abri apparaissent dans les villes du pays. À San Francisco, les autorités locales ont compté 649 tentes au début de la pandémie de la COVID -19.   Aujourd'hui, ils estiment que le nombre de tentes soit plus que 1,400 dans toute la ville. La situation est similaire à Boston, Los Angeles, New York, Philadelphie, Portland, Reno et Seattle. Le taux global de sans-abri en Amérique n'a augmenté que de 2 pour cent pendant la pandémie de la COVID -19 , mais il pourrait augmenter davantage maintenant que le moratoire sur les expulsions prend fin. La raison principale pour laquelle les villes de tentes se répandent est que les centres d'hébergement pour sans-abri américains pratiquent la distanciation sociale. Cela signifie que les refuges ne peuvent pas accepter un grand nombre de personnes, de sorte que les personnes refusées dorment dans la rue, dans les embrasures de porte, sous les viaducs et dans des tentes plutôt que dans des refuges désignés.

Selon un rapport du Ministère de logement et de développement urbaine, « 2020 marque la première fois depuis le début de la collecte des données que le nombre de personnes sans abri, parmi les sans domicile fixe, est supérieur à celui des personnes hébergées ».

Et les personnes qui vivent dans ces villes de tentes ne se limitent pas à des mendiants avec une poussette. Petula Dvorak, journaliste au Washington Post, a noté qu'un campement de sans-abri à Washington, D.C., comprenait des planches à repasser, des fauteuils, des matelas à deux places, des barbecues, une table de salle à manger avec des sièges rembourrés, un globe décoratif posé sur une caisse de lait, et une commode Queen Anne, inclinée comme s'il s'agissait d'une chambre principale juste à l'extérieur de la tente. La plupart de ces personnes n'ont manifestement jamais dormi à l'extérieur.

Les fonctionnaires fédéraux ont tenté d'atténuer la crise de sans-abri qu'ils ont provoquée avec leurs fermetures draconiennes et leurs politiques de distanciation sociale en imposant un moratoire sur les expulsions, déclarant que les propriétaires ne pouvaient pas expulser les locataires qui ne payaient pas leur loyer. Maintenant que ce moratoire inconstitutionnel sur les expulsions prend fin, Goldman Sachs estime que 3,5 millions de personnes pourraient perdre leur logement. Il ne fait aucun doute que certaines de ces personnes déménageront bientôt leurs commodes dans un campement de sans-abri.

Une quantité choquante d'excréments, d'urine et d'aiguilles a été collectée dans les villes de tentes, ce qui fait craindre que ces campements ne propagent des maladies et des drogues dans les zones environnantes. Certains les ont comparés aux bidonvilles qui ont apparu pendant la Grande Dépression. Mais ces analystes ne réalisent pas que la Bible prophétise que les temps difficiles deviendront bien pires que pendant la Dépression.

Le regretté Herbert W. Armstrong a fondé le magazine La Pure Vérité en 1934, pendant la Grande Dépression. Mais même avant de fonder ce magazine, il a écrit un article pour The Messenger of Truth [Le messager de la vérité] en 1931 intitulé « Qui est à blâmer pour les temps difficiles ? » Son article a révélé que le chômage de masse est en fait prophétisé. Bien sûr, M. Armstrong ne réalisait pas encore que la Grande Dépression ne fût vraiment qu'une répétition générale pour la dépression prophétisée à venir, mais les écritures qu'il a citées s'appliquent toujours. Il a écrit :

[Zacharie 8 : 7-9] décrit un temps encore futur où le Seigneur ramènera Son peuple à Jérusalem, et ils seront Son peuple et Il sera leur Dieu. Puis, à partir du [verset 10], nous lisons : « Car avant ce temps, le travail de l'homme ne recevait pas sa récompense, et le salaire des bêtes était nul ; il n'y avait point de paix pour ceux qui entraient et sortaient, à cause de l'ennemi, et je lâchais tous les hommes les uns contre les autres ». Ainsi, clairement, le Dieu des cieux savait et nous a déclaré il y a plus de 2,000 ans, par l'intermédiaire de Son prophète Zacharie, qu'en ces jours angoissants, juste un peu avant le rétablissement de Son règne sur Son peuple à Jérusalem, il y aurait un chômage général et répandu. Jamais auparavant il n'y a eu un tel chômage général et mondial. Il touche tous les pays de la Terre.

Cette prophétie décrit le chômage (« le travail de l'homme ne recevait pas sa récompense ») et les conflits civils (« et je lâchais tous les hommes les uns contre les autres »). Une prophétie d'Ésaïe indique que juste avant le retour de Jésus-Christ, le comportement pécheur des Américains conduira à une révolution si dévastatrice que personne ne voudra gouverner : « Je leur donnerai des jeunes gens pour chefs, et des enfants domineront sur eux. Le peuple sera opprimé ; l'un s'élèvera contre l'autre, et chacun contre son prochain ; le jeune homme attaquera le vieillard, et l'homme de rien celui qui est honoré. Alors un homme saisira son frère dans la maison paternelle ; Tu as un manteau, sois notre chef, et prends en main ces ruines ! Mais, en ce jour-là, celui-ci répondra, disant : Je n'y saurais porter remède ; il n'y a dans ma maison ni pain ni manteau ; ne m'établissez pas chef du peuple. Car Jérusalem s'écroule, et Juda tombe, parce que leurs paroles et leurs actions sont contre l'Éternel, pour braver les regards de sa majesté » (Ésaïe 3 : 4-8). Cela décrit une époque où tout le monde est opprimé, et où il sera difficile de trouver de la nourriture ou des vêtements.

Dieu promet bien de passer une dernière fois près de l'Amérique pour donner à la nation une chance de se repentir (Amos 7 : 8), mais cette fenêtre de temps ne restera pas ouverte longtemps. Pour comprendre ce que Dieu veut que les Américains apprennent des effets économiques dévastateurs résultant de leur manque actuel de leadership, lisez « L'Amérique n’a aucune aide » et « Que se passera-t-il une fois que Trump retrouvera le pouvoir ? » par le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry.

LA TROMPETTE EN BREF

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